Heureux “à temps plein”

 

 

 

 

Tournesol_thumb_thumb_thumb_thumb_thJe te salue ami

Si on y pense, il y a UNE SEULE chose qui soit primordiale dans la vie de tous les Hommes: LE BONHEUR. Partout dans le monde tout ce que tout le monde fait, c’est parce qu’il croit que ça va le rendre plus heureux. Montres-moi quelqu’un dont le but dans la vie est d’être malheureux. Sachet de 100 pieces d'or

Si on désire richesse, notoriété ou puissance, c’est qu’on croit que cela peut nous aider à être plus heureux. Même le masochiste aime souffrir parce que ça le rend heureux (il ne fait pas ses “trucs maso” pour être plus malheureux); et si le braqueur de banques braque les banques, ce n’est pas parce qu’il veut aller en prison, c’est parce qu’il raisonne que ARGENT = BONHEUR et qu’il veut obtenir de l’argent rapidement. 

Si tout ce qu’on fait, c’est pour être plus heureux, on peut se demander pourquoi il n’y a pas plus de gens heureux alors (après tout, l’humanité a eu des millénaires pour trouver le bonheur). Je te rassure tout de suite: des gens PLEINEMENT heureux il y en a; ils ne sont pas encore très nombreux, mais il y en a.

En fait le bonheur n’est pas un inconnu pour nous, et presque tout le monde connaît des moments où il est heureux; mais ces moments de bonheur alternent avec des moments où il ne l’est pas (il est triste, fâché, etc.) On peut appeler cet état d’alternance “bonheur à temps partiel”: parfois heureux et parfois non. Cette alternance heureux/malheureux est si courante qu’on croit même que c’est protozoairel’état normal (“Tout le monde sait que c’est comme ça la vie”).

Eh bien, non! C’est peut-être la vie telle qu’elle est PRÉSENTEMENT, mais la vie, ça évolue (la vie aujourd’hui est très différente de celle du protozoaire). Et comment évolue-t-elle? PAR À COUPS, puis elle assimile sa nouvelle acquisition pendant des milliers d’années. Nous sommes justement à la veille d’un de ces changements soudain de conscience. Ce changement est dans l’air, beaucoup de gens sentent que “ça ne peut plus continuer comme ça, il faut que ça change”. Seulement, ils ne savent pas COMMENT ça va changer; alors ils disent “fin du monde” ou “fin de l’Homme”. Mais ce n’est pas ça du tout, au contraire: le monde s’apprête à devenir très beau et intéressant (comparé au monde  d’aujourd’hui).

Que l’on ne se méprenne pas, ça ne veut pas du tout dire que tout le monde sera super heureux d’un coup de baguette magique. Ce n’est pas comme ça! Ce qui va se produire (et qui n’est pas là présentement), c’est que tout d’un coup les conditions vont changer (comme si depuis des milliers d’années on était dans une tempête, et tout d’un coup la tempête est finie): alors ce qu’on fait avec difficulté deviendra très facile. Mais c’est formidable! Et naturel!

Tout le monde ne se retrouvera pas dès le début avec une nouvelle conscience. Non. Seulement ceux qui le VEULENT (et qui prouvent leur VOLONTÉ par une recherche). La majorité ne sera pas intéressée par la nouvelle conscience (du joiemoins dans les premières années ou dizaines d’années). Mais pour TOUT LE MONDE SANS EXCEPTION la vie sera plus facile; il y aura une JOIE qui est absente dans notre monde terne. D’ailleurs c’est cette JOIE qui me semble être LA chose la plus importante.

TOUT CELA EST CERTAIN DE SE PRODUIRE DANS UN AVENIR RAPPROCHÉ (les signes annonciateurs sont DÉJÀ présents parmi nous): c’est ABSOLUMENT inévitable. La question est donc de savoir quand (il est difficile de répondre puisque notre aspiration –ou notre manque d’aspiration- a le pouvoir de hâter ou de retarder quelque peu LE moment). Mon impression est que si ce changement se produit trop vite, le changement de condition peut causer beaucoup de dommages (il y a déjà beaucoup de catastrophes dans le monde). C’est pour éviter cela autant que possible que c’est si long.

Si ce changement collectif nous semble trop loin (quelques dizaines d’années peut-être), il y a quelque chose que nous pouvons faire individuellement. Être heureux, ça s’apprend. On ne naît pas avec le réflexe du bonheur: il faut apprendre. Mais c’est ce changement collectif qui m’occupe, et pas l’aspect individuel. Que Pierre ou Jacques trouve son “paradis personnel et individuel” est certes très valable, mais cela m’intéresse peu. Ce qui m’intéresse, c’est “à quelle condition la Terre peut redevenir un paradis terrestre afin que tout le monde soit heureux”.

Je suis TOUT PRÈS de le savoir: j’en parlerai bientôt. Faire que ça devienne une réalité, par contre, ne dépend d’aucun individu (pas plus qu’on ne peut ordonner à la nuit de disparaître pour laisser place au matin); mais quand L’HEURE EST VENUE la nuit se termine d’elle-même et le jour apparaît.

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1 commentaire:

  1. Recherche. Du Spleen de Baudelaire à l’expressionnisme allemand d’Egon Schiele
    1869 à 1918
    Tableaux comparatifs.

    Notes :
    Revisiter les classiques? Très peu. Baudelaire, une sorte d'exception. Arriver à faire des liens
    entre les travaux de Baudelaire, Nietzsche, Freud et jusqu'à Egon Schielde (expressionnisme
    allemand), mort en 1918. Éléments contextuels divers...Elaborer des
    tableaux comparatifs de leurs œuvres. Ce qui est redevable de ce qui s'est fait ou contemporain.


    Repères chronologiques en vrac
    1869 : œuvre posthume. Le Spleen de Baudelaire
    1878 : « Humain trop humain » de Nietzsche
    1913 : « Totem et tabou » de S. Freud
    1916 : Planing familial aux USA grâce à Margaret Sanger (1879-1966)
    1918 : Mort d’Égon Schiele, peintre de l’expressionnisme allemand
    1919 : Ouverture de la Maison G. Chanel, rue Cambon

    1939 : Mort de Freud



    1968 : Mai 68, 1969, année érotique
    1971 : « Le choc du futur » d’Alvin Toffler
    1975 : « Small is beautiful » de Schumacher

    2011 : « Les chocs du passé », Youkali
    40 ans après le choc de Toffler

    L'histoire comme rétroviseur

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