Demandes et tu recevras

Cet adage populaire est très exactement vrai. Lorsqu’on demande on est sûr de recevoir, et ceux qui ne demandent pas, pourquoi devraient-ils recevoir une réponse?

Donc le « demandes et tu recevras » est littéralement exact. Encore faut-il savoir demander (et savoir quoi demander). Quelqu’un qui a un téléphone mais qui ne sait pas s’en servir (qui ne sait pas signaler par exemple) ne peut raisonnablement pas s’attendre à contacter celui à qui il veut parler. Et dans notre monde individualiste on n’a pas besoin de téléphone, car qui appellerait-on puisqu’on croit qu’on est seul pour régler ses problèmes?

Dans l’univers il existe de multiples plans d’existence (et le plan physique n’en est qu’un : le plus bas). Ça veut dire que sur des plans supérieurs de conscience, des êtres (connus ou inconnus) sont très intéressés à ce que tout aille bien dans l’univers. ET CHACUN DE NOUS EST UNE PARTIE DE L’UNIVERS, alors ils sont très disposés à aider. Seulement il faut demander, dire qu’on a besoin d’aide. Si on ne demande pas, ils ne devinent pas, n’est-ce pas. Alors il ne faut pas se gêner pour demander.

Ces êtres sont un peu comme des semeurs. On peut semer à la volée : peut-être une graine tombera-t-elle dans une terre fertile, qui sait? Ou on peut planter une graine bien précise à un endroit bien précis : alors les résultats sont extraordinaires de précision.

Qui sont ces « aidants »? Tout dépend de quel plan ils agissent (les différents plans de conscience sont très nombreux, et étagés en quelque sorte –du plan matériel au plan divin où tout est harmonie). Ce peut être un proche décédé qui veille sur nous; ou (si nous sommes Chrétiens) ce peut-être un saint en qui nous avons particulièrement confiance, ou encore un des nombreux anges, etc. Peu importe de qui il s’agit ou s’il nous connaît personnellement : l’important est de DEMANDER.

Mais demander n’est que la première partie de la chose. Après il faut écouter (lorsqu’on demande, la réponse vient toujours, mais souvent on ne le sait pas car on n’écoute pas). Et il faut écouter sans présumer d’avance ce que sera la réponse. Par exemple, une personne malade demande la guérison; parfois elle sera guérie et parfois, non; mais dans tous les cas la réponse est venue, et on s’aperçoit toujours après que c’est toujours la meilleure réponse pour soi (mais ce n’est pas nécessairement la réponse qu’on attendait). Les Anciens étaient plus sensibles à cela et parlaient de foi (foi veut dire vision, mais de nos jours le mot foi est synonyme de croyance aveugle).


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