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La saison de l'Homme














Tempus fugit irreparabile (le temps fuit, irréparable) s’écriait Virgile constatant que le temps gâché est à jamais perdu. Rabelais, cet écrivain français à la nature bienveillante et humaine, quant à lui, nous rappelle que «le temps mûrit toutes choses». Il y a quelques mois j’ai écrit un article dans ce sens (voir Le temps est notre allié). En fait TOUT ce qui existe peut être utilisé pour notre plus grand bonheur, le temps n’y fait pas exception. Les Anglais parlent de timing et les agriculteurs, plus terre-à-terre et pragmatiques, de saison: C’est la saison des pommes.

Dans un verger on trouve des centaines de pommiers, et sur chaque arbre, des milliers de pommes mûrissent lentement à la faveur des semaines ou des mois (c.a.d. du temps). Presque toutes deviendront rouges, sucrées et délicieuses dans les mêmes jours. C’est que c’est la saison. Quelques unes mûriront un peu avant les autres, comme pour marquer le début de la saison, et de rares retardataires nous apprennent que la saison touche à sa fin.

Pour une raison que j’ignore ma pomme est rouge. Ça me permet de te dire: «Attention, c’est l’heure!» L’heure de l’Homme est arrivée. Qu’est-ce qui va se passer? Je ne sais pas, mais il VA se passer quelque chose. Ça ne peut plus continuer longtemps comme ça, n’est-ce pas: c’est presque au point impossible déjà. Tout le monde sent que quelque chose doit se passer. Mais QUOI? Il FAUT savoir. Après tout, ça nous intéresse: c’est NOTRE avenir à tous, non? Quelquefois je semble voir: UN JOUR CE SERA PLUS BEAU QUE NOS PLUS BEAUX CONTES DE FÉE. Puis ça passe, et de nouveau je suis avalé par la grisaille quotidienne.

Et ils disent que je suis idéaliste. Mais mon idéalisme est plus réel que leur supposé réalisme à courte vue. Ils croient même qu’il est normal que la vie soit faite de hauts et de bas. Le malheur, c’est que la vie perpétuellement heureuse, rares sont ceux qui y croient. Ils préfèrent leur sombre réalisme, à une vision ensoleillée. On ne peut les blâmer: après tout, il n’y a guère d’exemple de cette vie toujours souriante puisque ce n’est pas encore ici. Mais ils ont tort. Une vision, c’est la semence de demain; il faut la nourrir cette semence-là. Et elle croîtra, c’est fantastique, comme si y croire la nourrissait et l’encourageait à croître. La merveille de demain est à nos portes. Accueillons-là.

MÛRIR: VERBE TRÈS INTÉRESSANT QUI REND LES FRUITS DÉLICIEUX ET LES HOMMES PLUS MATURES.

Un jour, il y a quelques millions d’années, un singe est devenu un premier Homme. ÇA S’EST RÉELLEMENT PASSÉ UN JOUR. Puis les millénaires ont passé. Et maintenant le cycle se répète. Un Homme deviendra un premier «Homme après l’Homme». C’est sûr d’arriver. Les anciennes prophéties ont bien prédit cela; mais c’était toujours pour plus tard. Et maintenant ça y est! Nous y sommes! Réjouissons-nous: LA SAISON DE L’HOMME EST ARRIVÉE.




















L'Homme de désir







Ce texte est la suite de L’HOMME DU TORRENT







Dernièrement j’ai expliqué que notre état habituel en est un de pantin/jouet de la vie (cf. L’Homme du torrent). Mais à chaque génération des hommes1 et des femmes DÉSIRENT se prendre en main, et travailler à être le maître de leur destin; on les appelle les Hommes de Désir2 parce qu’ils brûlent du DÉSIR de se libérer, ou bien ils ne peuvent plus supporter d’être le jouet de la vie; sur la mer de la vie, ils veulent piloter le bateau de leur propre destin. C’est de cela que j’aimerais parler aujourd’hui.

Tout d’abord, on ne peut se libérer que si on se sent entravé (sinon de quoi se libérer?) Un préalable nécessaire à la «libération» est donc de sentir que c’est la vie qui décide pour nous3. Je ne suis pas libre de déterminer mon propre destin. Est-ce qu’il va m’arriver un événement heureux ou un événement malheureux (est-ce que je vais connaître tel succès, est-ce que ma maison va brûler), je ne le sais pas car ce n’est pas moi qui décide, c’est la vie. Quand je prends conscience de cet état de pantin, je deviens conscient aussi que c’est la même chose pour tous. Je ne suis pas le seul dont la vie est déterminée: les autres le sont aussi.

Alors naît en moi une formidable solidarité avec ceux que j’appelle «les autres». Je pressens (plus que je ne le sens réellement) que nous sommes tous reliés. Bien sûr, chacun de nous est un individu séparé des autres individus par un sac de peau. Mais c’est mal vu, c’est une APPARENCE déformée de la réalité.

On m'a appris que mon corps, et le corps de tout le monde est fait d’atomes. Or il n’y a rien de plus semblable à un atome qu’un autre atome. Un atome, ça bouge continuellement. Ça vibre sur place, bien sûr, mais aussi ça se déplace. Les atomes qui composent mon corps seront donc dans Bernard, Paul ou André la minute suivante, et leurs atomes seront en moi. Donc la réalité montre que je suis l’autre et que l’autre est moi. Ce qui fait qu’il n’y a pas mes atomes ou ses atomes (ça c’est l’illusion): il y a LES atomes, qui composent le corps de tout le monde et de tout ce qui existe (mais ici je me limite au monde humain). Qu’est-ce donc qui me différencie de Paul, Bernard ou André alors? Mon esprit?

Si je peux avoir telle pensée et Bernard, une pensée opposée, et Paul, une autre pensée encore, c’est bien parce que nous avons tous la même chose en commun: le mental ou faculté de penser. Et nous arrivons tous à une conclusion différente parce que nous sommes partis de prémisses différentes. Mais nous raisonnons de la même façon et c’est identiquement la même logique qui nous anime. Pourquoi y a-t-il tant de pensées différentes alors? En fait il n’y en a qu’une mais nous sommes si petits et si étroits que chacun ne peut en contenir qu’une toute petite partie (qu’il appelle MA pensée). Que chacun aie différentes pensées, c’est normal; mais croire que LA NÔTRE est la seule vraie prouve que nous sommes encore très petits; de plus c’est extrêmement limitatif.

Il est cent fois plus intéressant (et instructif) de garder sa pensée (puisqu’elle nous est utile), tout en voyant/comprenant que tous les autres ont raison aussi: ça vous élargit le cerveau! As-tu déjà réfléchi à ceci, ami: si tout le monde avait la même idée/conception des choses ou pensait identiquement la même chose, il n’y aurait pas besoin d’être 6 milliards: un seul suffirait.

Un de mes amis blogueurs, agnostique, m’a raconté une chose intéressante: un jour, lors d’une soirée sociale il a brièvement rencontré une jeune fille. Un peu plus tard, elle lui apprend qu’elle s’adonne à la spiritualité (et pour elle cela EXCLUE les agnostiques). Alors elle lui a tout simplement dit qu’il ne sera «épanoui» que lorsqu’il aura «compris». J’ai trouvé cet exemple intéressant parce que ce symptôme d’intolérance est largement répandu (si répandu en fait qu’on croit que c’est normal). La vérité (je n’aime pas ce mot qui a souvent servi à justifier les stupidités des Hommes) est que la distinction agnostique/spiritualiste ne sert aux uns qu’à exclure les autres.

On trouve même cette forme d’intolérance parmi les spiritualistes de différentes Écoles. Il y a un peu plus d’un an j’ai fait une recherche par centre d’intérêt (spiritualité) et j’ai écrit à plusieurs. Or je me suis rapidement aperçu d’une chose curieuse: des disciples de tel gourou se sentent souvent supérieurs aux disciples d’un autre gourou ou croient que leur sadhana –discipline spirituelle- est la meilleure (bien sûr ils ne le disent pas ouvertement, mais en lisant entre les lignes on perçoit une sorte de suffisance). Attention: on ne voit pas du tout cela d’un maître spirituel à un autre, mais uniquement parmi leurs disciples respectifs.

Alors que la chose importante, c’est l’être humain, sans considération de matérialiste ou de spiritualiste. TOUS LES HOMMES cherchent à être heureux; les matérialistes cherchent d’une façon, et les spiritualistes, d’une autre façon, c’est tout. Si on regarde au-delà des apparences, on remarque qu’il y a une INTERDÉPENDANCE absolue entre les individus, et seul un sac de peau, que nous appelons notre corps, peut donner l’illusion d’être séparés (ce n’est qu’une APPARENCE); en réalité nous sommes tous reliés. Et de même que notre corps est formé de nombreux organes, ainsi l’espèce humaine est formée de nombreuses «familles» (chacune formée de milliers ou millions d’individus répartis partout sur la Terre).

Si je résume, l’Homme de désir, c’est celui qui veut voir la Réalité (= Dieu) que cachent les apparences. Cette Réalité est tout ce qui existe, par définition (donc les Hommes aussi). Alors exclure un seul Homme, c’est exclure une partie de la Réalité. Et travailler à voir au-delà des apparences, c’est travailler à voir le divin partout (donc notre propre nature divine).
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1. Au moyen de la majuscule, je distingue l’être humain (Homme) et le mâle humain (homme) ; homme et Homme sont donc deux mots distincts. 2. DÉSIR est ici synonyme d’ASPIRATION; c.a.d. que c’est un élan de l’âme (généralement inconscient) et non du cœur (centre émotif). 3. C’est inévitable, mais ça ne peut être que temporaire puisque c’est un simple processus de croissance, la vie ne décidant pour l’Homme que parce que celui-ci est incapable de décider pour lui-même; plus tard, l’Homme a vieilli et peut œuvrer à son propre destin (tout comme des parents décident d’envoyer leur enfant à l’école sans lui demander s’il est d’accord ; puis plus tard, quand le fils a grandi, c’est lui-même qui s’inscrit à l’université et choisit ses cours).

















L'Homme du torrent





Ami lecteur je te salue

Tout le monde aimerait que la vie soit «un long fleuve tranquille» où on n’aurait aucun souci, une santé inaltérable, un conjoint et des enfants idéals, etc. Mais ce n’est jamais comme ça. En fait ça ne PEUT PAS être comme ça car le mental est ainsi fait qu’il a absolument BESOIN d’avoir un problème à résoudre pour pouvoir trouver la solution, et ainsi apprendre et progresser (exactement comme l’élève qui ne résout des problèmes que si on lui en donne ou comme le policier protège la loi parce que le criminel la brise). Pas de problème à résoudre = aucun progrès possible pour l’Homme (voir
Trouver la solution) et si on étudie l’histoire de l’humanité, on ne peut que remarquer qu’il doit son admirable progrès à une succession de guerres, d’épidémies et de problèmes divers qu’il a dû résoudre.

Bien sûr, on préfèrerait avoir une vie facile et sans problème. Mais les problèmes, c’est précisément ce qui nous fait avancer (en apprenant à les résoudre). Ça nous est donné par la vie, et c’est une grâce. Alors «prenons la vie à bras le corps» comme j’ai lu sur un blog. Nous, humains, distinguons des événements heureux et des événements malheureux dans la vie (selon que nous les trouvons agréables ou non). C’est excellent pour agir, faire quelque chose, prendre des mesures ou des décisions; mais pour connaître la vie, c’est pitoyable: ça ne nous montre que l’APPARENCE des choses et pas les choses telles qu’elles sont réellement. La vie telle qu’elle est n’est pas morcelée en AGRÉABLE ou DÉSAGRÉABLE, elle est COMPLÈTE, sans cette différenciation. Alors prendre la vie à bras le corps, ça veut tout simplement dire l’accepter à 100%, pas accepter seulement ce que nous trouvons agréable.

Au lieu d’un long fleuve tranquille, la vie ressemble donc davantage à un torrent impétueux où nous sommes ballottés comme un bouchon de liège. Nous sommes entraînés de-ci de-là, virevoltant et tournoyant, tournant à gauche ou à droite au gré du courant. Où allons-nous aboutir? Impossible de le savoir car nous n’avons aucun contrôle sur le courant (c.a.d. sur la vie). Nous ne sommes donc pas le maître de notre vie. Dit poétiquement: sur l’océan de la vie, impossible de piloter notre bateau là où nous voulons aller. La vérité est que nous sommes le pantin de la vie. Bien sûr, si nous savons nager, nous pouvons nous diriger plus ou moins dans la direction souhaitée; alors nous pouvons croire que nous contrôlons la situation. Mais c’est faux! Nous sommes encore entraînés par le courant.

Peut-être la femme que nous aimons nous a-t-elle quitté? Ou nous avons perdu notre emploi (seule source de revenu)? Ou encore un des milliers de "coups bas" de la vie nous est-il tombé "comme une tuile" sur la tête? Et nous essayons de réparer la chose (de la seule façon que nous connaissions). Mais on a tout faux! La vérité est qu'il n'y a aucune circonstance contraire. JAMAIS. Tout va dans le sens. Il n'y a AUCUNE exception. C'est mal vu: nous ne voyons qu'une APPARENCE de réalité (une illusion, dit la spiritualité).

Nous sommes donc à la merci de la vie. «À la merci» est trop fort; disons plutôt que nous dépendons du bon gré de la vie. Tout à fait comme un jeune enfant qui dépend de sa mère pour tout ce qui concerne sa vie (nourriture, vêtements, etc.) Quel que soit son âge tout homme/femme fait partie d’une humanité dans l’enfance (adolescente plutôt, l’Homme de Néanderthal ou de Cro-Magnon représentant un spécimen d’une humanité dans l’enfance). Chacun de nous est donc un enfant-hunain. Mais un enfant ne sera pas toujours un enfant; un jour il sera adulte.

Notre statut en est donc un de pantin et non d’Homme libre. Mais ce n’est pas inévitable. Prochainement je dirai comment on peut devenir le maître de sa vie (dans un texte intitulé L’Homme de désir) et j’expliquerai que nous sommes tous ENFANTS DE LA TERRE (voir
Notre mère la Terre). Or connais-tu une mère qui refuserait d’aider son enfant?












Pub ou partage?






Ami lecteur je te salue

Depuis plusieurs mois je visite des blogs presque tous les jours. Il y a ceux qui ne répondent pas et dont je n’entends jamais plus parler (peut-être 50% je crois). Et parmi ceux qui répondent une très forte majorité trouve une sorte d’intérêt dans mon blog consacré à une certaine forme de spiritualité; alors ils lisent mon blog de temps en temps. Et il y a ceux que j’appelle LES ENTHOUSIASTES (très minoritaires) qui dévorent en quelques jours ou semaines tous les articles de mon blog.

Enfin, il y a ceux, très rares (2 cas à ce jour), que j’appelle RÉFRACTAIRES. Il y a quelques jours une personne n’a pas aimé ma démarche (qu’elle qualifie de pub moche) et a réagi fortement. Cette démarche est précisément ce dont je veux parler aujourd’hui.

Ceux qui me connaissent savent que pour moi il n’y a pas des blogs plus intéressants que d’autres. Lorsqu’on lit avec le cœur, ils sont tous très intéressants, et on apprend beaucoup, c’est formidable (ou bien on a un plaisir immense à voir les peintures/dessins/photos affichés). Dans mes explorations des blogs, je laisse généralement une carte de visite et une invitation à venir sur mon blog. Je laisse toujours «ces amis inconnus» libres de venir sur mon blog, et je n’ai aucune ambition personnelle à avoir un blog fréquenté ou achalandé.

Or une femme que j’ai visité a remarqué que j’utilisais le même message pour tout le monde (elle visite probablement le même type de blogs que le sien car en fait j’en utilise une dizaine «standards» que parfois je personnalise et parfois non). J’ai cru comprendre que ce qui l’avait fâchée, c’était qu’elle avait reçu le même message qu’elle avait vu ailleurs.

Nous sommes 6 milliards sur la Terre, et nous puisons tous chaleur et lumière de UN soleil. Or ce soleil n’a pas 6 milliards de manières de briller; il n’en a qu’une, et cela nous fait du bien à tous. Alors, est-il surprenant que je laisse le même message (ou presque) à chacun? L’important n’est-il pas l’effet encourageant que cela produit et les formidables connaissances que je retire de "mes visites"?

Rien n’est négatif à 100%, ça veut dire qu'il y a du positif partout; c'est vrai pour cette personne aussi. Par exemple, elle a un blog formidable où j’ai appris plein de choses sur ses humeurs et sa vie personnelle (ça m’intéresse toujours énormément de voir comment sont les gens). De plus, si j’écris ce texte aujourd’hui, c’est bien grâce à elle; alors je l’en remercie. Enfin j’ai appris beaucoup de toute cette affaire (mais c’est trop personnel pour que j’en parle ici); disons simplement que son attitude réfractaire –légitime en soi- m’a donné plus d’expérience, ce qui me sera utile éventuellement.

Je suis naïf (ou plutôt idéaliste) car la vie m’a enseigné que tout le monde est profondément bon (qu’on me montre quelqu'un qui pense vraiment qu'il est foncièrement mauvais). Il n’y a aucune exception, et cette personne non plus; simplement de toute évidence nous avons des intérêts divergents (comme l'eau et le feu qui sont tous deux intéressants; mais ne les mettez pas ensemble: ils sont incompatibles). Alors j’ai voulu lui expliquer ma démarche. Erreur fatale! Cette personne qui a textuellement dit que JE LA FAISAIS CHIER, que mon message est MOCHE et que j’envahissais son blog avec de la pub, a dit que je devrais faire du télémarketing.







Seulement la Vie



Nous savons que notre corps n'est pas éternel: inexorablement il vieillit et un jour il sera incapable de supporter la vie (il mourra disent ceux qui ne voient que les apparences).

Mais que se passe-t-il après cette prétendue mort? Il n'y a plus de MOI, disent certains. Les religions, elles, nous promettent une vie éternelle (elles peuvent promettre ce qu'elles veulent: personne n'est revenu pour nous dire si c'est vrai). Et d'autres encore croient à une forme ou une autre de réincarnation, tandis que la science, prudente, dit qu'elle ne sait pas car elle manque de preuve. Qu’en est-il au juste?


Ce livre donne une réponse intéressante sur ce qui se passe après cette vie; je ne dis ce qui est vrai pour moi car c'est mon expérience. À toi de voir si cela peut t'être utile.


SEULEMENT LA VIE est un livre d’une centaine de pages sur la Vie globale et éternelle dont la vie présente n'est qu’une manifestation.

Le texte est illustré de nombreuses images, animations et éléments multimédias pour une lecture des plus agréables.


Poids total: 9,05 mo



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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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