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Les problèmes psychologiques

 

 

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Plusieurs personnes ont un problème ou une difficulté particulière qui leur cause un inconfort certain ou même une souffrance psychologique (soit dans certaines situations seulement, soit dans la vie en général) qui les empêche d’être heureux en toute circonstance. De nos jours ces problèmes sont nombreux et très variés (timidité excessive, trouble bipolaire, bégaiement, stress, anorexie, phobies de toutes sortes, etc.).

L’image ci-dessus suggère qu’un problème (ou même une simple difficulté) nous retient prisonnier aussi sûrement que des barreaux de prison. En fait c’est comme si on était né en prison; alors on n’a JAMAIS connu la formidable joie de la liberté. Mais de dire ça n’aide pas, alors continuons.recto verso

Comme je ne suis pas psychologue, mon but n’est pas de diminuer la souffrance psychologique de telle ou telle personne,   mais de comprendre ce qui la cause. Avant tout, il faut savoir que, du point de vue philosophique, toute chose a un aspect positif ET un aspect négatif, même les problèmes et les difficultés (comme une feuille de papier qui a un recto ET un verso). Alors, en quoi AVOIR UN PROBLÈME peut-il être une chose utile? C’est ce que je vais tenter d’expliquer dans les lignes qui suivent.

Quand j’étais plus jeune j’ai souffert d’une forme de timidité qui se manifestait dans deux circonstances particulières: pour parler aux filles, et pour parler en public (c’était peut-être de la blabla-phobie, qui sait?); cette timidité a été l’occasion d’entreprendre une recherche qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui: non seulement quelqu’un de parfaitement à l’aise quelles que soient les circonstances, mais en plus de TOTALEMENT heureux. Or puisque je suis “comme tout le monde”, si ça été possible pour moi il est évident que ça l’est pour toi aussi.

Des problèmePROBLÈMESs, TOUT LE MONDE en a (à des degrés divers); certains peuvent croire qu’il n’ont aucun problème, mais c’est seulement parce qu’ils se connaissent mal (d’où ce blog); en fait, avoir un problème contribue grandement à notre bonheur (à la condition de le résoudre, bien sûr). C’est comme l’élève à qui le prof donne des problèmes à résoudre: il peut rouspéter mais il doit les résoudre quand même, et c’est en le faisant qu’il progresse. Comme avoir un problème est désagréable, on cherche tout naturellement à le résoudre, et après l’avoir résolu, on s’aperçoit qu’on est plus heureux qu’avant. La DIFFICULTÉ (ou le problème) nous a donc permis de progresser en nous donnant plus d’expérience.

On a donc BESOIN d’avoir des problèmes dans la vie car c’est en les résolvant qu’on apprend à être heureux. Et tout problème PEUT être résolu (un problème insoluble, ça n’existe pas). Et puisque TOUT LE MONDE a un problème, on ne devrait donc pas en souffrir (à moins de croire qu’il est normal de souffrir dans la vie, comme la religion qui dit que la Terre est “une vallée de larmes” où nous expions “le péché de notre ancêtre Adam”).

Or ce n’est pas ce qu’on voit: pour beaucoup “PROBLÈME” et “BONHEUR” sont deux mots qui ne vont pas ensemble. Ce qui est faux: l’important dans la vie n’est pas d’être sans problème, mais d’être heureux; et on peut être heureux QUELLES QUE SOIENT LES CIRCONSTANCES. Alors si on souffre d’avoir tel ou tel problème, c’est parce qu’on n’en comprend pas le sens.

Tant qu’on croit qu’un problème est une mauvaise chose, on cherche à le dissimuler afin de paraître “comme tout le monde” et faire cela est très énergivore. Il suffit d’expliquer À QUOI sert un problème, et le tour est joué; bien sûr, le problème est encore là, mais on n’en souffre plus (on est même confortable avec lui), ce qui libère une quantité significative d’énergie (tu peux admettre que faire semblant d’être “comme tout le monde” demande énormément d’énergie, non?). Et toute cette énergie libérée peut être utilisée pour se débarrasser définitivement de cet “empêcheur de danser en rond” afin de “bien fonctionner socialement”. Mais “bien fonctionner socialement” n’est que le début, même si beaucoup s’en satisfont. On peut pousser la chose beaucoup plus loin. pommes

En fait certains (encore une minorité, mais grandissante) veulent plus que “bien fonctionner en société” puisque la société est en train de faire faillite; ils veulent être heureux TOUT LE TEMPS (alors qu’en société il y a une sorte d’alternance entre l’état heureux,  et l’état “non heureux” -triste, fâché, etc.,). Être tout le temps heureux, est-ce que c’est possible? Est-ce qu’il y a des exemples? Eh  bien oui, il y en a (pour autant que je sache, ils ne sont pas encore très nombreux, mais il y en a). Et TRÈS BIENTÔT il y en aura des millions, tout naturellement, car ce sera “la saison de l’Homme”.

Sur un pommier il y a des milliers de pommes. Et toutes deviendront rouges dans les mêmes semaines; c’est que la saison est arrivée. Quelques unes mûriront un peu avant les autres, comme pour leur montrer que le temps est venu. Pour une raison que j’ignore “ma pomme est rouge”. Ça me permet de te dire: “Prépares-toi, frère, ça va être l’heure”.

Tout le monde cherche à être heureux dans la vie (je ne connais personne dont le but est de devenir malheureux), et on essaie toutes sortes de choses pour cela (richesse, pouvoir, etc.). Et à force de chercher, un jour on s’aperçoit d’une chose surprenante, que rien ne nous préparait à croire, et qui nous laisse bouche bée: chacun de nous est DÉJÀ pleinement heureux et les difficultés et problèmes ne font pas partie de nous (personne n’est né timide, claustrophobe, etc.): pour une raison ou une autre, ces choses sont apparues au cours de la croissance; ça ne fait pas partie de notre développement normal, et ça cache ce que nous sommes réellement*: quelqu’un de parfaitement heureux.

*  RÉELLEMENT.  J’ai  souvent  dit  que  nous  vivons  dans les APPARENCES (qui nous empêchent de connaître la RÉALITÉ). La réalité, c’est que nous sommes tous DÉJÀ heureux au plus profond de nous, et les problèmes cachent cette RÉALITÉ.

C’est un peu comme les vêtement: pour utiles qu’ils soient, ils empêchent de voir que sans eux nous sommes NUS; en fait nous sommes si habitués à porter des vêtements que nous oublions que c’est la nudité qui est la chose naturelle et que les vêtements sont AJOUTÉS à cette nudité (de la même façon que nous vivons dans les APPARENCES, et que ces apparences nous empêchent de voir la RÉALITÉ).

Tout se passe comme si toutes nos difficultés étaient des AIDES pour nous faire découvrir notre vraie nature (qui est bonheur total): on travaille à les résoudre et quand elles sont résolues, on se rend compte qu’on est plus heureux (on s’est débarrassé d’une chose, on a fait pas vers LE VRAI MOI).

Quand on comprend à quoi servent les problèmes, ils ne peuvent plus nous faire souffrir, mais ils sont encore là; dans le prochain article je dirai comment s’en débarrasser définitivement.

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3 commentaires:

witney18 a dit...

Hello, tout le monde veut être heureux et chacun s'y prend à sa manière même s'il tombe dans des pièges, des illusions..On ne peut pas juger - Ensuite tout est là, en nous et on a oublié, on va dire..bravo pour tes articles, je repasserai, bonne continuation !

Alice a dit...

Bel exposé sur l'acceptation des problèmes ... c'est vrai : on en a tous ! :-)
Me réjouis de lire la suite. Tu me préviendras ?
Bonne fête nationale des patriotes ! @+

Jigé a dit...

Alice, je prépare deux textes: "L'état sans problème" qui sea publié dans 2 jrs env. et "Les extra-terrestres, est-ce que ça existe?" vers la fin du mois.

Suis allé sur le site de Yasmine. Merci du lien. frmallo

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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