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L’AIDE (2) “La Providence” ou l’aide partout

 

 

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Seule la religion nous a parlé de ce qu’elle appelle “la divine Providence”, la science (qui connaît encore si peu) n’ayant trouvé aucune preuve d’une quelconque forme d’aide intérieure. Mais cette expression religieuse des plus vagues ne dit rien de ce dont il s’agit vraiment, et comme cette chère Église ne comprend pas elle-même ce qu’elle prétend nous enseigner, il n’est pas étonnant que nous en ayons une idée complètement erronée. 

Je me substitue donc à elle le temps d’un article. Mais d’abord une mise en garde: toi et moi sommes UNIQUES, alors ce qui est vrai pour l’un n’est pas nécessairement vrai pour l’autre; bien sûr ce que je dis est vrai POUR MOI car c’est MON expérience, mais toi seul peut savoir si c’est vrai POUR TOI;  c’est donc À TOI de sentir si ce que je dis peut être utile POUR TON PROGRÈS.

Lorsqu’on pense à “la Providence”, on imagine que “Dieu”, dans Sa grande bonté, nous fournit ce qu’il nous faut pour vivre (un peu comme un Homme donne à manger à son chien). C’est du moins ce que je comprend de l’enseignement de madame l’Église: un Dieu tout-puissant qui trône au CIEL (où au Ciel? Ça personne ne sait: quelque part “en haut”), et qui de là, garde un oeil paternel et protecteur sur sa créature humaine habitant la  Terre (“une vallée de larmes” où nous “expions le péché de notre ancêtre Adam” dit-elle littéralement). Puisque le ridicule ne tue apparemment pas, je réclame le droit de dire mes propres stupidités.  Voici donc ce qu’est “la providence” POUR MOI (je peux me tromper bien sûr, mais ça ne peut pas être pire que  les inepties de “la très sainte Église”).

maman-et-bebeUn bébé a besoin de sa maman pour tout ce qui le concerne (il est si impuissant que  si personne ne s’occupe de lui, il meurt). L’humanité aussi est une espèce très jeune (elle n’a que 3-4 millions d’années alors que la Terre en a 4,5 milliards), et  il y a NÉCESSAIREMENT quelqu’un (ou quelque chose) qui s’assure qu’elle aie tout ce qui est nécessaire à sa croissance et son développement: la Nature (que la religion appelle “La Providence”). C’est comme un oeuf (de poule): le vitellus (le “jaune”) ne deviendra embryon, puis foetus et finalement poussin, que s’il y a une quantité suffisante d’albumine (le “blanc”) pour assurer son développement. De même l’humanité ne peut croître et se développer que si elle a de l’aide pour cela.

La Nature la mène facilement à son plein développement (au moyen de sa stratégie de développement: l’évolution). Quand elle était bébé (Australopithèque) c’était facile: attentive au besoin de son enfant humain, elle n’avait qu’à produire tout ce qui lui fallait pour vivre. Plus tard (Cro-Magnon), en plus de faire la même chose, elle encouragea son développement intellectuel. Puis les siècles se sont écoulés et les générations se sont succédées; l’humanité a grandi. De nos jours, l’humanité n’est plus un jeune enfant, mais pas encore un adulte: plutôt un adolescent. Mais attention, pas n’importe quel adolescent, un à la toute fin de l’adolescence: un souffle, et elle tombe du côté adulte.

Et comme tout adolescent*, l’humanité d’aujourd’hui a besoin de prendre ses distances avec sa mère (la Nature), car elle se prépare à être une humanité adulte.

*  HUMANITÉ ADOLESCENTE.  De nos jours notre conception de la Nature est si erronée qu’on ne la considère plus avec le respect qu’on doit à sa mère (celle à qui on doit la vie), mais comme une chose mécanique et sans vie dont on peut légitimement exploiter les ressources. On croit même que la Nature, c’est “les p’tits oiseaux, les lacs et les montagnes”. Mais non, ça c’est LA NATURE MATÉRIELLE (son corps); elle a aussi tout un aspect d’intelligence, de sagesse et de conscience. Il faut dire que les toutes dernières recherches de la science montrent que la terre est une entité vivante. C’est encourageant pour l’avenir de l’espèce: ça montre que l’âge adulte n’est pas loin. Quand elle sera adulte, l’humanité  reviendra vers sa mère la Nature (mais comme un collaborateur, non comme un enfant qui a besoin d’elle).

Des trois formes d’aide, c’est la seule qui soit si automatique qu’on n’aie pas besoin de DEMANDER pour la RECEVOIR (mais il faut savoir qu’elle existe, sinon elle est là mais on ne SAIT pas qu’on peut en bénéficier librement). Où qu’on regarde, cette forme d’aide y est; c’est partout autour de  nous, littéralement; on baigne dedans, ça nous colle à la peau tellement c’est proche, mais on ne la voit pas. En fait, on ne voit pas les choses telles sont (un peu comme la forêt qu’on ne voit pas parce que les arbres la cachent). Cela parce qu’on ne sait voir que les APPARENCES, et pas la RÉALITÉ (c’est pourquoi j’ai dit qu’il fautchanger de regard”, “voir autrement”).recolter-ce-qu-on-seme 

Notre époque est très intéressante à cet égard: c’est comme si les circonstances nous criaient: “Mais vous ne voyez donc pas que telle action amène nécessairement tel résultat?” (ON RÉCOLTE CE QU’ON A SEMÉ). Alors c’est simple: on est en train d’apprendre à voir et à agir différemment (et plus on apprend, plus les circonstances sont “amicales” et “coopérantes”). Fantastique! Et simple,  SIMPLE! Chacun s’évertue (et parfois s’acharne) à se construire une vie agréable où il est relativement confortable et heureux. En fait l’humanité est si jeune qu’on connaît très mal la vie: elle est ainsi faite que chacun peut être heureux automatiquement, du simple fait d’être vivant. On respire, et c’est du bonheur qu’on respire (lorsqu’on connaît/comprend la vie).

On n’a pas à  se battre contre la vie pour “se tailler une place au soleil”: la vie est DÉJÀ DE NOTRE COTÉ, il faut s’en apercevoir, c’est tout. Pour s’en apercevoir, facile (pour nous les Hommes): il n’y a qu’à l’étudier (apprendre comment elle fonctionne) -mais il n’y a pas beaucoup de gens qui veulent l’étudier, la plupart n’y voyant aucun intérêt car la vie, ils croient  déjà la connaître (quoique de nos jours ils soient de plus en plus nombreux à essayer de la comprendre). Alors on dort n’importe comment, on mange n’importe comment: on vit n’importe comment (il y a même des gens qui pensent que pour dormir il suffit de s’étendre sans bouger et de fermer les yeux, ou que manger veut dire avaler des aliments); après ils vont voir le médecin: “Docteur, je souffre d’insomnie (ou d’indigestion); que dois-je faire?”. On SOUFFRE PARCE QU’ON NE CONNAÎT PAS LA VIE (on ne sait pas comment elle fonctionne); quand on la connaît, LA VIE EST SOURCE DE BONHEUR, pas de maladie/difficulté (“de souffrance” comme disent les bouddhistes). Quelqu’un qui SAIT comment fonctionne la vie ne sera jamais blessé par elle (tout comme quelqu’un familier avec le maniement des armes ne se blessera jamais avec son pistolet).

Apprendre ce qu’est la vie est facile; en fait, c’est comme si la vie faisait tout pour qu’on la connaisse/comprenne. Ces dernières années ont été riches d’enseignement pour nous. Nous avons appris par exemple qu’il y a une telle interdépendance entre notre environnement et nous, que s’il vient à disparaître, nous disparaîtrons aussi, AUTOMATIQUEMENT. Et comme nous ne voulons pas disparaître, nous serons amenés à protéger notre environnement. Intéressant, non?

La vie, c’est facile, mais il faut apprendre comment elle fonctionne pour maximiser les bons résultats de façon à être heureux tout le temps; simple, non? Et chacun (sans aucune exception) a tout ce qu’il faut pour “apprendre comment elle fonctionne”. De tous temps il y a eu de rares individus qui savaient cela, et ils ont été heureux au-delà de tout ce qu’on peut imaginer; mais cette fois-ci ce n’est pas seulement “de rares individus”, c’est tout le monde (l’espèce entière): collectivement on va “monter de classe”, sans mérite particulier, simplement parce que c’est le temps: LA SAISON DE L’HOMME EST ARRIVÉE.

La vie est sur le point de devenir merveilleuse. Merveilleuse, comment? En fait, on continue de faire comme d’habitude (prendre son café du matin, lire le journal, promener le chien) mais avec une petite différence, et cette “petite différence” change tout. Un peu comme l’arrivée du printemps: après le long hiver, soudain c’est l’arrivée du temps chaud (le soleil est plus fort, la neige fond, les journées allongent, l’air est agréable et la température, plus chaude). LA NATURE FAIT, et toutes les créatures qui dépendent d’elle (dont l’Homme) s’adaptent aux circonstances (l’Homme enlève son manteau et porte des tenues plus appropriées, est enclin à se montrer plus sympathique et plus souriant avec ses semblables, etc.).

C’est la même chose pour l’humanité (à une toute autre échelle). Depuis des milliers d’années l’Homme est si habitué à ce que les choses soient difficiles qu’il ne peut pas croire qu’un jour ce sera différent (“C’est comme ça la vie; soyez raisonnable enfin”,  “Il faut souffrir pour être belle”: OUI, IL FAUT SOUFFRIR, c’est cela le malheur). TU GAGNERAS TON PAIN À LA SUEUR DE TON FRONT”, “TU ENFANTERAS DANS LA DOULEUR”: toute la souffrance du monde tient en ces phrases. Mais c’est MAL compris; en fait, le temps n’était pas venu pour qu’on comprenne autrement.

On est tellement habitué à souffrir qu’on ne peut pas imaginer qu’un jour ce sera différent (c’est imminent). Le monde est fait de joie. Cette joie/bonheur est la VRAIE chose et la souffrance est PLAQUÉE sur la vie (comme un masque est plaqué sur le visage et nous empêche de le voir).  Présentement c’est une période de transition (assez chaotique) où la vie est plus facile, mais où ce n’est pas encore la joie. Comment ce sera?

Comme dit le zen: “maintenant tout est différent, et pourtant rien n’a changé”. C’est comme si présentement on voyait tout à travers des lunettes sombres, et tout à coup les “lunettes noires” nous sont arrachées des yeux. Tout d’abord on cligne des yeux car on est tellement habitué à voir la noirceur que cette lumière soudaine nous aveugle. Assez vite cependant, on s’habitue et on voit une chose puis une autre: TOUT ce qu’on voyait avant on le voit encore, sauf que maintenant tout est super beau (c’est ce que j’appelle le “changement de regard”).

Et la Terre n’est pas “une vallée de larmes”, c’est simplement “une terre non cultivée” dont nous avons hérité. Gageons qu’ayant trouvé la joie, nous en ferons un jardin magnifique (un véritable “paradis” où il ne sera plus nécessaire de mourir avant de pouvoir y aller).

VIENS FRÈRE, PRENDS MA MAIN, ET VIENS RIRE AVEC MOI SUR UNE TERRE HEUREUSE ET BELLE.

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L’AIDE (1) C’est quoi?

 

 

 

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Il y a quelque temps une personne qui signait ANONYME a fait un étrange commentaire/demande sur un de mes articles:  ça commençait par “j’ai besoin de ton aide…” et finissait par: “…Aidez-moi s.v.p.”. Comme je suis quelqu’un de peu sociable, je n’ai pas répondu. Mais dans un deuxième temps je me suis dit: pourquoi ne pas me servir de cette demande assez inusitée comme prétexte pour parler de “L’AIDE”?  

EN APPARENCE cette personne avait fait tout ce qu’il fallait (demandes et tu recevras): elle sentait qu’elle avait besoin d’aide et en demandait.  Pourquoi  n’en a-t-elle pas reçu alors? C’est simple: elle s’est trompée de cible:  je ne suis pas un altruiste occupé à aider les autres, simplement comme j’ai une approche des choses assez originale, je tiens un blog où je dis ce que je pense, et si une chose ou une autre te semble utile POUR TON PROGRÈS, alors tu peux l’utiliser librement, mais ne me demandes pas de t’aider: je ne suis pas du genre “JOSÉPHINE, ANGE GARDIEN”. C’est comme quelqu’un dont la maison brûle, et qui téléphone au hasard, espérant recevoir de l’aide (“Tiens, celui-là a l’air gentil, je vais lui demander”). Mais non, pour éteindre un feu, ce n’est pas Jigé qu’il faut appeler, c’est les pompiers (mais comme je ne suis pas un “insensible au coeur de pierre”, j’indiquerai à cette personne ANONYME comment elle peut s’aider elle-même).

Cet article est en trois parties:  aujourd’hui, définition de l’aide; puis, “les conditions pour recevoir de l’aide” et “le collectif humain”. Alors, existe-t-il de “l’aide”, ou chacun est-il seul pour résoudre les inévitables problèmes de la vie? On remarque que la notion d’AIDE varie beaucoup selon les individus. Les gens religieux pensent tout de suite à PROVIDENCE ou ANGE GARDIEN, tandis que pour les matérialistes, il n’y a pas d’aide d’une quelconque dimension spirituelle: chacun est responsable de ses actes et doit s’aider lui-même (s’il peut). Et si ces conceptions étaient toutes deux vraies? Le matérialisme et la spiritualité seraient donc deux façons différentes (opposées EN APPARENCE seulement) de considérer la même chose: notre monde. Est-ce possible que les choses soient si simples (et qu’elles ne nous APPARAISSENT compliquées que parce que nous compliquons tout)?  

La logique mentale est très simpliste: soit il y a de l’aide soit il n’y en pas; mais en fait c’est beaucoup plus intéressant (et complet) que cela. Selon la logique “globale” ou “relative”, une chose peut très bien être et EN MÊME TEMPS ne pas être -ou être vraie et EN MÊME TEMPS son contraire être tout aussi vrai (un peu comme la théorie vibratoire de la lumière ne contredit pas la théorie corpusculaire mais toutes deux ensemble contribuent à préciser ce qu’est la lumière). Comment expliquer, par exemple, que tuer quelqu’un soit mal pour toi et moi, mais bien pour le soldat, si on ne fait pas intervenir cette “logique relative”’? Cette perception unitive tendrait à prouver que matière et esprit sont deux aspects COMPLÉMENTAIRES de la même chose (comme le recto et le verso d’une même feuille –et c’est la feuille qui nous intéresse, pas seulement le recto ou seulement le verso), les gens religieux ET les matérialistes ayant tous deux raison; c.a.d. que Providence et Anges Gardiens existeraient réellement et EN MÊME TEMPS, c’est à chacun de s’aider.

À supposer qu’il y ait effectivement de l’aide, quelle forme cela peut-il prendre? Est-ce une aide personnelle (quelqu’un de très puissant et bien disposé à notre égard par exemple) ou une aide impersonnelle (comme l’oxygène qui nous permet de vivre)? Le mot ANGE GARDIEN suggère que c’est définitivement “QUELQU’UN” de très bienveillant (et d’invisible) qui veille sur soi pour une raison inconnue, tandis qu’avec le mot PROVIDENCE on ne sait pas trop si c’est personnel ou impersonnel: c’est quelque chose ou quelqu’un qui s’assure que nous ayons tout ce qu’il faut pour vivre (à la condition d’en être conscient –ce qui est rarement le cas de nos jours).

Si on est matérialiste on ne croit pas aux anges gardien ou à la providence, et on ne s’attend pas à recevoir une quelconque forme d’aide “spirituelle”; il n’y a que soi-même pour se sortir d’un éventuel pétrin, ce qui est intéressant (mais incomplet) puisque si on a trop tendance à se fier à un “ange gardien” pour arranger les choses, on risque de ne pas apprendre à le faire soi-même. Présentement, NOUS APPRENONS à faire les choses par soi-même, mais c’est DANS UN AVENIR PROCHE que cela nous sera utile (tout comme la petite fille qui joue avec sa poupée se prépare à s’occuper d’un vrai bébé PLUS TARD).

La simple logique nous indique qu’il y a nécessairement une forme d’aide: simplement, on en est ou on n’en est pas conscient, c’est tout (et si on nie qu’il y ait de l’aide, c’est qu’on n’en est pas conscient). Cette “AIDE” (qui existe RÉELLEMENT et est TRÈS efficace) est omniprésente mais prend une de trois formes selon notre stade de croissance (ces stades sont les mêmes pour l’humanité dans son ensemble ou pour l’individu humain). Ce texte explique les deux premières forme d’aide; la troisième  (s’aider soi-même) sera traitée dans la partie 3 –présentement elle n’est disponible que pour l’individu, mais le sera pour tous (l’espèce entière) TRÈS BIENTÔT (tout comme le soleil brille POUR TOUT LE MONDE et non pour une classe de gens ou un “peuple élu” seulement). Cette notion d’aide est difficile à comprendre pour nous à cause de l’individualisme  (en fait elle est simple, mais nous avons une façon de comprendre qui complique tout).

Tout d’abord l’aide est PARTOUT autour de nous, nous baignons littéralement dedans (un peu comme le foetus baigne dans quelque chose qui le nourrit et lui permet de croître: le liquide amniotique). Simplement, comme nous vivons dans les APPARENCES (et non dans la RÉALITÉ) nous sommes incapables de percevoir cette aide (= on est incapable de voir la forêt parce que les arbres la cachent).

Tout comme un bébé est impuissant à prendre soin de lui-même, et qu’il y a NÉCESSAIREMENT quelqu’un qui s’occupe de lui sinon il crève (le plus souvent ses parents), pareillement PERSONNE ne vient dans ce monde seul et sans aide: il y a NÉCESSAIREMENT quelque chose ou quelqu’un qui facilite sa vie (tu admettras que quel que soit son âge, chacun de nous fait partie d’une humanité dans l’enfance). Quelles que soient nos croyances on doit donc admettre  qu’il y a NÉCESSAIREMENT une quelconque forme d’aide (si l’environnement était purement hostile sans rien de favorable, l’humanité n’aurait même pas pu survivre; elle serait morte “dans l’oeuf” pour ainsi dire).

Tout comme les parents aiment et prennent soin volontiers de leur enfant, ainsi il y a des “êtres” qui protègent volontiers chacun de nous. La religion, sensible à cela, les appelle “les anges gardien”. Il ne convient pas ici de dire qui ils sont mais ils répondent TOUJOURS (si nous n’avons aucune réponse, ce ne peut être que parce que nous avons mal demandé et qu’ils n’ont rien entendu).

Dans ce cas le prochain article te sera très utile car il parlera des conditions pour être entendu.

 

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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