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Ouroboros



De tous les peuples sur Terre aujourd’hui les Occidentaux sont à la fois ceux qui sont le plus éloignés du divin (= de ce qui est universel) et ceux par qui une vérité plus grande peut prendre racine dans l’humanité. Permets-moi de dire pourquoi.

L’évolution, c’est quelque chose qui avance par définition. La vérité aussi, n’en déplaise à certains peuples qui sont attachés à la vérité d’hier (selon eux la vérité n’évolue pas, seule la manifestation de la vérité peut évoluer). Ce qui fait qu’ils sont fidèles à leur « tradition », c.a.d. à une certaine idée de ce que leurs sages du passé considèrent comme LA vérité. Et cela les a menés à un immobilisme incapable d’évoluer.

On ne peut taxer les Occidentaux d’immobilisme. De marche ignorante, oui; c’était prévisible puisque pour pouvoir marcher librement, ils se sont débarrassés de toute tradition (même de la tradition chrétienne, à laquelle ils ne sont attachés que de nom).

Dans la Grèce de l’antiquité, les philosophes représentaient par un serpent qui se mord la queue (qu’ils appelaient Ouroboros) les différents cycles, pour bien montrer qu’après la fin (queue) est un nouveau commencement (tête). Ainsi, les heures les plus sombres (nuit) sont aussi les plus proches du jour nouveau. C’est un cycle perpétuel dans un renouvellement constant (dans l’exemple jour/nuit on remarquera que ce n’est pas le même jour qui succède à la nuit et recommence indéfiniment, mais que puisqu’il y a marche du temps, c’est un NOUVEAU jour qui commence. Ainsi on peut être certain que l’époque de ténèbres spirituelles que nous traversons présentement sera suivi d’une nouvelle aube pour l’humanité (et non d’une fin de l’Homme ou d’une fin du monde comme le croient quelques-uns).

Or les Occidentaux sont si éloignés de la vérité qu’ils sont comme la queue de notre Ouroboros. Mais la queue est très proche de la tête. Ces Occidentaux me font penser à du compost : à l’origine c’est des détritus, mais ils sont recyclés de telle façon qu’ils sont admirables pour nourrir la nouvelle pousse. Il n’y a pas les Occidentaux d’un côté, et les Orientaux de l’autre. Non! Il y a UNE humanité. Et c’est cette humanité qui va bientôt se découvrir des capacités insoupçonnées. Les Occidentaux ne sont pas meilleures que le reste de l’humanité; simplement le changement doit commencer quelque part, n’est-ce pas. Et, pour les raisons que j’ai dites, ils remplissent (ou rempliront TRÈS bientôt) toutes les conditions.






L'EGO




Les différentes religions et les différentes spiritualités1 semblent avoir fait de l’ego l’ennemi à abattre. Elles ont raison en un sens puisque le sens de l’ego est très limitatif : ego veut dire MOI et tant que je suis moi, je ne peux pas être l’autre (LES autres en fait); l’ego, dont nous sommes tous affublés (sauf de rares exceptions) compense cela en parlant d’empathie (MOI qui se met à la place de l’AUTRE); mais pas d’ego veut dire aucune distinction entre moi et l’autre (ou en d’autres mots JE suis l’AUTRE).

Cette idée d’abolir l’ego (Il y a un obstacle, alors abolissons-le et ce ne sera plus un obstacle) m’apparaît comme l’idée d’une humanité dans l’enfance (très mal comprise en plus). Pas étonnant que ça soit si difficile et que ça donne si peu de résultats : c’est contre nature, ce qui veut dire que CE N’EST PAS NATUREL. Pas étonnant non plus que nous croyons si mal en Dieu (si tant est qu’on y croit) : on ne peut pas se débarrasser de l’ego (c.a.d. de NOUS), donc débarrassons-nous de Dieu.

Il y a une façon beaucoup plus simple (et naturelle en plus) de dépasser la limitation
de l’ego, et qui est à la portée de tout le monde. Mais simple ne veut pas dire plus facile. Tout ce que j’appelle moi fait partie de mon ego, et plus d’ego veut dire plus rien de cela (sinon c’est accepter de changer à la condition de rester le même). Moins enthousiaste? C’est un peu comme un enfant qui refuserait de grandir et de devenir adulte : non seulement c’est anti naturel mais en plus ce n’est pas possible.

La façon naturelle est d’agrandir ce JE graduellement de sorte qu’il englobe de plus en plus de personne (en conscience bien sûr). Et u
n jour Je m’aperçois que je suis tout le monde; sans m’en apercevoir je me suis universalisé. Les résultats valent amplement l’effort demandé (100 fois plus). En fait c’est comme la différence entre un enfant et un adulte. Et agrandir l’ego ne veut pas du tout dire avoir un gros ego (MOI je suis plus important que TOI); ça signifie prendre de plus en plus de personnes en soi, ne pas sentir clairement que je finis ici et que l’autre commence là (ça ne veut pas du tout dire que je n'existe plus, mais que je ne fais plus de distinction entre moi et les autres. C'est ce que j'ai appelé soi ici et soi là bas et c'est cent fois mieux que maintenant.

Ce qui suit est authentique et s’est passé il y a plusieurs années déjà. Un abonné du câble (que je connais bien) avait des ennuis avec la réception de son téléviseur. Il appelle la compagnie du câble qui lui envoie un technicien. C’était un jeune homme de race noire (un black comme disent les Français; je crois que les Américains ne distinguent pas le noir car ils disent « un homme de couleur ») que l’abonné n’avait jamais vu. Or, tout le temps qu’il était là (env. ½ heure), pour une raison inconnue –ou pas de raison du tout, peut-être par pure grâce- régnait dans la pièce une atmosphère d’une harmonie2 inconnue (ce n’est pas du tout ce que l’on entend habituellement par ce mot) qui fait qu’il était IMPOSSIBLE qu’il y ait la moindre mésentente entre eux.

Voici des remarques après-coup, suivies d’une tentative d’explication:
* Cette harmonie n’émanait ni de l’abonné du câble ni du technicien
et ne rayonnait pas vers l’autre.

* Elle remplissait la pièce et tous deux baignaient dans cette atmosphère (comme l’eau du bain ou l’air qui nous entoure).

* Ces deux hommes ne se connaissaient pas. De plus ils étaient de races différentes. Et pourtant il y avait entre eux une sorte de fraternité (plus qu’une fraternité en fait). Et c’était réciproque. L’abonné a même senti pendant tout ce temps que le technicien était comme son fils.

* Pendant tout le temps qu’a duré l’expérience il était impossible qu’il y ait le moindre dérangement ou le plus petit malaise dans le corps.

Cette harmonie n’appartient à personne en particulier –ou elle appartient à tout le monde- (comme l’air que nous respirons). En réalité, ceux qui ont l’expérience de cette harmonie n’ont pas l’impression qu’elle leur appartient (tout comme le mental n’appartient pas à l’un ou à l’autre, mais est une faculté de l’humanité).

Si cela devient notre perception normale, il ne peut plus y avoir de conflit ou de guerre entre les pays; il ne peut plus y avoir mésentente ou querelle entre les individus; il ne peut plus y avoir de malaise ou de dérèglement dans le corps. C’est impossible.

Personnellement, depuis une quinzaine d’années, de nombreuses circonstances (début de maladie, mal de tête lancinant, douleur horrible dans le bas du dos, etc.) m’ont prouvé qu’un tout petit peu de cette "harmonie" règle avantageusement tous les désordres corporels. Ce n’est pas que ça guérit: ça «irréalise» la maladie dit Satprem (l’harmonie étant là, la maladie –ou le mal- ne peut plus exister). J’ai eu aussi quelques débuts de conflit/mésentente avec d’autres personnes; et là aussi le résultat est extraordinaire: on appelle l’harmonie, et instantanément (pas au bout de 10 ou 20 min. de concentration) la situation est réglée à l’avantage de toutes les personnes concernées (pas à mon seul avantage). Encore une fois, tout se passe comme si, en présence de cette harmonie, le conflit ne peut pas exister. EXTRAORDINAIRE. Et simple, simple: on n’a pas l’impression qu’il faille faire de grandes choses pour que ça consente à intervenir (pas de concentration, méditation, etc.) Alors on comprend que quoi qu’il arrive, on est en totale sécurité.

Cela est certain de venir dans un avenir assez proche (de la même façon qu’un adolescent deviendra adulte un jour, qu’il le veuille ou non). L’Homme n’a pas toujours existé. Un jour, il y a peut-être 3 ou 4 millions d’années, un singe est devenu le premier humain. Ça s’est passé réellement. Et un jour un Homme deviendra « l’Homme après l’Homme ». Tous les signes montrent que c’est pour bientôt. L’humanité-enfant va devenir l’humanité-adulte.

C’EST LA SAISON DE L’HOMME


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1. RELIGION et SPIRITUALITÉ son très différentes : les diverses religions occupent une strate supérieure du mental (tout comme la science pure d’ailleurs) tandis que les spiritualités du monde entier sont universelles et au-delà du mental (par exemple, il est possible d’opposer Islam et Christianisme, mais pas Zen et Confucianisme). Le Bouddhisme est un peu différent puisqu’il est à la fois religion et spiritualité. 2. Je l’appelle HARMONIE car c’est sa qualité principale il me semble (mais non la seule cependant) et ça n’a RIEN à voir avec l’harmonie habituelle. Je crois que c’est en quelque sorte le sens de l’unité où toutes les composantes d’un tout fonctionnent comme un tout (par exemple les individus ne sont pas indépendants mais agissent comme s’ils faisaient partie d’UNE espèce humain





L'homme qui cherchait des réponses


Je ne suis ni mystique, ni spiritualiste, et encore moins sage (ceux qui aiment les étiquettes diraient que je suis un «matérialiste de l’esprit»). Je suis un homme ordinaire, qui a eu une enfance ordinaire, occupé un emploi ordinaire, etc. Mais j’ai un secret E.X.T.R.A.O.R.D.I.N.A.I.R.E : j’ai découvert par hasard (si l’on croit au hasard) le secret du bonheur permanent. Et ce secret, je veux le partager avec toi, frère.

J’ai traversé la vie avec une question: qu’est-ce qui peut me rendre heureux? Et j’ai frappé à plusieurs portes:
non, les drogues n’apportent pas le bonheur; l’occultisme non plus. J’ai passé des années et des années à ouvrir et fermer des portes: non, le bonheur n’est pas là... là non plus (on procède par élimination, comme Dalida qui disait: "L'argent ne fait pas le bonheur; mais je ne le sais réellement que depuis que je suis riche"). Et à force de fermer des portes, je me suis rapproché de LA porte. Oui, j’ai étudié sérieusement la spiritualité (ça fait partie de ces portes fermées définitivement). Ces pauvres spiritualistes, il m’a toujours semblé qu’ils avaient un secret, mais qu’il fallait abandonner le monde pour l’avoir. Or, ce monde, j’y suis très attaché! Alors j’ai continué à chercher. Un jour j’ai eu ma réponse. Et j’ai vu que le bonheur n’a de valeur que s’il est partagé. Alors j’ai écrit tous ces textes pour tenter de dire la formidable joie qui attend patiemment que nous la trouvions.

On m'a mis au monde sans me donner le mode d'emploi. Quelques années plus tard j'ai ap
pris que j'irais à l'école. Alors je me suis réjoui: enfin, on va m'apprendre quelque chose! Là, on m'a appris à lire et à écrire, du français et des mathématiques, puis plus tard, de la chimie et de la physique. Mais la physique DE QUOI merde? Et tout ce que j'apprenais, c'était RIEN. Un jour, je devais avoir 15 ans, j'ai décidé que si personne ne m'apprenait la seule chose qui compte (comment être heureux dans la vie) je l'apprendrais par moi-même. Et j'ai cherché, cherché. J'ai essayé tant de choses, pendant tant d'années. Entretemps je me suis aperçu qu'on ne m'enseignait pas à être heureux parce qu'on ne le sait même pas. Alors j'ai résolu que si je trouvais la réponse, je la partagerais.


J'ai traversé la vie sans comprendre: je faisais la chose à ne pas faire, disais la chose à ne pas dire. Et je ne savais pas pourquoi. Puis un jour j'ai compris et il faut que la vie n'apparaisse plus naturelle pour que l'on cherche désespérément autre chose (mais qui soit vivant bon sang!) Et tous ces gens, connus ou inconnus, ne sont pas différents de moi: eux aussi cherchent à être heureux. Moi j'ai trouvé la réponse (peut-être parce que ma recherche était plus intense); bien sûr que c'est chacun qui doit trouver son bonheur, mais on peut dire où chercher, non? (Un doigt pointe vers la lune; ne regardes pas le doigt -dicton zen)

On entend parfois le dicton populaire: "cherches et tu trouveras". Je suis en mesure de te garantir, frère, que c'est vrai, LITTÉRALEMENT. Pour chacun. Je ne suis pas spécial; je suis un être humain comme toi; et si c'est possible avec moi, pourquoi ça ne le serait pas avec toi? Tout dépend de ce que l'on cherche. CHERCHES ET TU TROUVERAS. DEMANDES ET ON TE DONNERA.

UN JOUR CE SERA PLUS BEAU QUE NOS PLUS BEAUX CONTES DE FÉE




La forme vraie


La forme n’est qu’une simple apparence. Et puisque nous ne voyons habituellement que la forme des choses, cela veut dire que nous ne voyons RIEN de la réalité telle qu’elle est. La spiritualité nous dit depuis des siècles (ou des millénaires) que le monde est illusion1 et que nous ne voyons que l’apparence des choses, et la science ne nous enseigne-t-elle pas qu’il n’y a rien qui ressemble à une montagne, une maison ou un homme, mais que tout est fait d’une unique chose : des atomes2 (et un atome de rose ou un atome de granit, c’est la même chose). Chacun est donc relativement différent de la façon dont les autres le perçoivent (parfois légèrement, parfois très différent) : cela ne dépend pas du tout de nous mais de celui qui nous perçoit; nous, en essence, sommes le même.

Mais de la forme à l’essence d’un être ou d’une chose, il y a de nombreux états d’être (échelons). Par exemple lorsqu’on naît on « revêt » une épaisseur de plus (le corps), puis lorsqu’on meurt on s’en dépouille. C.a.d. que notre forme purement physique est très analogue mais légèrement différente de notre forme dans le monde directement au-delà. C’est la forme de ce monde « immatériel »3 que j’appelle LA FORME VRAIE.

Il y a très longtemps trois femmes que j’ai connu4 (à différentes époques et qui ne se connaissaient pas entre elles) ne me voyaient jamais en rêve (c.a.d. quand leur mental est endormi5) tel que je suis physiquement : elles me voyaient toujours avec des yeux « d’un bleu magnifique et rayonnant de lumière » dit l’une d’elles. Or je n’ai pas les yeux bleus mais gris-verts.

Mais nous ne voyons personne tel qu’il est réellement. JAMAIS. Nous ne voyons qu’une apparence. Et comment voyons-nous? Avec le mental, pardi ! Mais puisque ce mental est subjectif6 (moins que l’émotion, mais subjectif tout de même) il ne voit rien tel que c’est réellement. Si nous voulons vraiment voir le monde objectivement, il faut aller au-delà du mental (ce n’est pas si difficile; on ne sait généralement pas parce qu’on n’a pas appris comment faire : il faut apprendre, c’est tout).
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1. « LE MONDE EST ILLUSION » ne veut pas du tout dire qu’il n’existe pas, mais que nous le percevons faussement. 2. Atome minuscule qui est source d’une énergie formidable. D’ailleurs ÉNERGIE est la même chose que VIE/CONSCIENCE mais vu du monde matériel. 3. Immatériel comparé à la matière. En lui-même ce monde est parfaitement matériel, et deux personnes qui se rencontrent se reconnaissent très bien, peuvent se toucher, etc. 4. Il y a eu peut-être de nombreuses personnes mais seulement ces trois me l’ont dit. 5. On peut en tirer une conclusion intéressante : LE MENTAL NE VOIT PAS LES CHOSES TELLES QU’ELLES SONT, il ne les voit que mentalement (plus, plus tard). 6. Si subjectif que 10 témoins d’un crime donneront 10 descriptions différentes du criminel.








Le paradis terrestre




On nous a dit qu’il y a deux paradis : d’un côté le terrestre d’où Adam1 fut chassé (pour avoir mangé une pomme!), et de l’autre le céleste, celui où nous espérons aller après notre mort (car il existe bel et bien nous promet la religion –elle peut promettre ce qu’elle veut, personne n’est revenu nous dire si c’est vrai!) Donc il y aurait deux paradis et nous n’avons accès ni à l’un ni à l’autre.

Comment qualifier notre vie? Certainement pas de paradisiaque car nous n’avons pas accès au paradis. Infernale non plus car il y a de bons moments tout de même, non? Ah! Ça y est! J’y suis! La religion ne dit-elle pas que nous sommes ici pour expier une sorte de péché originel qu’aurait commis notre ancêtre Adam jadis et que la vie sur Terre n’est qu’une «vallée de larmes»: le vrai paradis est après la mort seulement –si je n’ai pas fait de "péché"; alors là j’ai le droit de jouer de la harpe et «chanter les louanges du Seigneur» pour toute l’éternité; youppi, quel bonheur!

Excusez-moi mais je suis comme Thomas : je ne croirai que lorsque je pourrai voir. Et pas avec mes yeux intérieurs, avec mes yeux de chair, ceux de tous les jours. Et s’il n’y avait pas deux paradis, le terrestre et le céleste? S’il n’y en avait qu’un seul? Auquel cas les conséquences seraient formidables. Tout d’abord, plus besoin de mourir pour aller au paradis: c’est partout autour de nous, nous sommes en plein dedans. Il n’y a qu’à apprendre comment y avoir accès2. Ce n’est pas très difficile et c’est tout à fait naturel; en fait ce n’est pas facile non plus, mais ça c’est parce que nous n’avons pas appris les simples règles: il faut apprendre, c’est tout (et c’est aussi simple que de suivre les conseils d’un guide pour gravir une montagne). Autre conséquence –qui découle de la première- toutes les religions deviennent inutiles: le paradis, nous y sommes; pas besoin de prêtres, pasteurs ou imams pour nous servir d’intermédiaires.

Mais le plus beau, c’est que nous sommes toujours heureux (pas besoin d'attendre d'être mort). Bien sûr il y a encore des hauts et des bas, mais c’est très différent; les hauts sont moins hauts et les bas, moins bas : tout est plus harmonieux, moins extrême. D’ailleurs tout cela change complètement de nature; les hauts sont une sorte de leçon et les bas, une autre sorte de leçon. On apprend de tout, c’est formidable. Et tous les contacts (avec les choses et les êtres) nous remplissent d’une joie particulière. Et c’est tout le temps comme ça, ce qui fait qu’il n’y a pas un instant où nous ne sommes pas heureux.

Et nous comprenons intimement les mots VIVRE DANS LE PARADIS. Voilà, frère, la découverte merveilleuse que tu vas faire. UN JOUR CE SERA PLUS BEAU QUE NOS PLUS BEAUX CONTES DE FÉE.

Maintenant tout est différent
Et pourtant tout est resté le même
Dicton zen

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1. En hébreu Adam est un nom collectif qui désigne l’être humain (l’espèce entière), et Ève (héb. Evah) la Nature universelle, qui fait intimement partie de lui. Alors la Nature, poussée par l’évolution (nahash, le serpent), poussa le singe à évoluer er à devenir Homme, en distinguant ce qui est bien et ce qui est mal (= manger le fruit de l’arbre du bien et du mal). La religion qui fit du serpent le symbole du Tentateur et du Mal s’adressait à une humanité dans l’enfance, et comme à tout enfant, on lui raconte une histoire; aujourd’hui l’humanité a vieilli et n’a plus besoin qu’on lui raconte des histoires mais de comprendre. 2. TOUS les animaux (du protozoaire au primate) vivent dans le paradis terrestre (mais ils ne le savent pas car ils n’ont aucun moyen de le savoir; d’ailleurs ça leur paraît très naturel car ils ne connaissent pas d’autres mondes). SEUL l’Homme ne vit pas dans le paradis terrestre.



L’hypothèse Gaïa







Quand j’ai voulu rédiger ce texte, j’ai commencé par une brève recherche sur internet, et j’ai constaté que ce qu’on appelle l’hypothèse Gaïa et le nom de James Lovelock sont largement connus dans le monde. L’hypothèse Gaïa1 résulte des travaux de James Lovelock2 dans les années 1969-1972 aux États-Unis selon laquelle la Terre serait un vaste un organisme vivant qui régule toutes les formes de vie qu’elle a produite. Or Lovelock n’était ni mystique ni rien de ce genre. Il travaillait comme ingénieur à la NASA.

Autrement dit si nous sommes vivants c’est que la Terre l’est. C’est d’une telle évidence : si la Terre était une planète morte, nous n’existerions même pas. De nos jours nous ne croyons pas que la Terre soit vivante. Nous sommes logiques, et à bas les superstitions : tout le monde sait que la Terre n’est pas un être vivant, c’est seulement une planète qui est nous sert d’habitat. Tellement logiques en fait que nous salissons notre propre habitat par la pollution3 et que nous volons ses richesses sous prétexte d’exploitation4.

Les Anciens étaient plus sensibles à cela. Ils parlaient de la Terre-mère et la vénéraient. De nos jours même des peuplades que nous considérons comme peu évolué (par rapport à NOUS occidentaux bien sûr!) –comme les Amérindiens ou les Inuits- ont un profond respect pour la Terre dont ils ne sont qu’une infime partie. Quant à nous occidentaux il n’est même pas question de vénérer la Terre, mais simplement de la respecter.

Puisque nous nous targuons de logique, il faut en tirer toutes les conclusions. Le simple fait que nous ne pensons même pas à respecter Celle qui nous a donné la vie devrait nous éclairer quant au jeune âge (donc à l’immaturité) de l’espèce humaine. Alors que serait une humanité adulte?

Le petit catéchisme nous apprend que Dieu est tout, et la Genèse raconte comment Il a tout (univers, planètes, plantes, animaux, Hommes) créé HORS de Lui –à partir de RIEN- . Donc Il est tout, mais après avoir créé tout cela Il n’est plus tout; à moins que… que veut dire ce « à partir de RIEN »? S’Il a tout fait avec rien ça ne peut signifier qu’une seule chose : c’est qu’Il a créé tout cela EN LUI. Mais alors, s’Il a créé tout cela en Lui et qu’il n’y a rien en dehors de Lui, ça veut dire que TOUT est potentiellement5 divin. Donc chacun de nous est divin (potentiellement bien sûr puisque présentement l’humanité n’est pas encore complètement développée : ce n’est qu’une « humanité dans l’enfance »).

Alors la vraie question est : comment nous, que l’Église a qualifié de « pauvres pécheurs », pouvons-nous devenir effectivement divin »6? Je répondrai à cela dans un autre article. En attendant souvenons-nous qu’il y a seulement le divin7 et rien d'autre, donc que la Terre et tout ce qu’elle contient (nous aussi) est divin aussi (et digne d’amour). Pour celui « qui a des yeux pour voir » l’hypothèse Gaïa est l’évidence Gaïa.
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1. Pour plus de détails, voir l’encyclopédie online Wikipedia. 2.Voir James Lovelock sur Wikipedia. « La plupart d’entre nous ont le sentiment que la Terre est plus qu’une boule minérale ayant à sa surface une mince couche d’air, d’océan et de vie. Nous sentons que notre appartenance est ici, comme si cette planète constituait vraiment notre foyer. En pensant de cette manière les anciens Grecs ont donné le nom de Gaïa à la Terre » J. Lovelock (The Ages of Gaïa) 3. Tout le monde se souvient de l’Exxon Valdez, de l’Erika, de l’Union Carbide à Bhopal ou de Tchernobyl; sans compter les « incidents mineurs ». 4..Les Hommes sont même devenus si efficaces qu’ils ont trouvé le moyen de prendre les richesses de la Terre plus vite qu’elle ne peut les produire, de sorte qu’elle s’appauvrit peu à peu. 5. Je reviendrai dans un autre article sur ce « potentiellement » car là il y a beaucoup à dire. 6. Nous croyons même qu’il est normal qu’il y ait des hauts et des bas dans la vie. 7. Avec Sri Aurobindo je préfère utiliser le mot « DIVIN » car on a mis tellement d’imbécilités dans le mot DIEU qu’il veut tout dire et ne rien dire.




Jésus et le Christ


À l’époque où j’ai parlé du
karma quelqu’un m’a littéralement demandé pourquoi Jésus avait été crucifié : « il avait sans doute un mauvais karma et il n'a eu que ce qu'il méritait ». Moi qui ne suis pas chrétien, j’ai dû lui expliquer la différence entre Jésus et le Christ.

Le karma existe DANS LE MONDE PHYSIQUE SEULEMENT. Le mot karma signifie « action et conséquence »1; et il n’y a QUE dans le monde physique (pour nous, sur la Terre) que nos actions aient une conséquence (et c’est par la conséquence qu’on peut apprendre). Par exemple je remarque que si je me fâche dans une situation donnée cela ne m’aide pas du tout à y faire face (et il y a des répercussions désagréables sur mon corps) et peu à peu je suis amené à être plus serein. Grâce à la conséquence de mon geste, j’ai « appris » quelque chose : je suis devenu plus serein. Lorsque je suis « mort » (très vivant, mais ceux qui ont encore un corps disent ‘mort’ simplement parce que je n’ai plus de corps) je n’ai plus cette possibilité de m’améliorer : je suis comme je suis et si telle situation me rend habituellement colérique, eh bien, je me fâche, c’est tout; c’est mon caractère, je suis comme cela.

Donc le karma m’est très utile pour apprendre, et comme Dieu n’a pas besoin d’apprendre (apprendre quoi? Il sait tout), le karma lui est inutile. Ça vient peut-être comme une nouvelle pour certains mais Jésus était un être humain comme toi ou moi. Un jour il a pris conscience de sa divinité intérieure (= il est denu comme Dieu) et on l’a appelé le Christ (l’oint, le béni). Dieu est présent en chacun de nous. Il a créé TOUT ce qui existe, non? Donc nous aussi! Et Dieu est partout, voit tout, peut tout (omniprésent, omniscient et omnipotent dit littéralement le petit catéchisme). Et comme Il nous a créé à son image, dit la Bible, nous sommes tout cela aussi (omniprésent…)

On nous a dit que le Christ est le « Fils unique Dieu ». Mais chacun de nous est unique. Et Fils de Dieu, ne veut-il pas dire ENGENDRÉ PAR DIEU? C’est bien notre statut à tous, non? Donc nous sommes tous POTENTIELLEMENT Fils unique de Dieu. La différence entre le Christ et nous c’est que Lui savait qu’il était divin, alors que pour nous ce n’est qu’un POTENTIEL pas encore réalisé/effectif.

Nous sommes en démocratie, il paraît; ça veut dire que TON idée vaut MON idée, etc. Alors comment se fait-il qu’une organisation nommée Église catholique prétende dire ce qui est bien et ce qui est mal pour NOUS? Évidemment ce n’est pas une démocratie, c’est une théocratie : c.a.d. que des Hommes comme toi et moi prétendent nous dire la parole de Dieu. Et cette organisation (qui a INVENTÉ cette histoire de ciel et d’enfer pour nous faire peur) a bâti son empire de domination autour de la divinité d’un seul homme. Et au lieu de nous enseigner que chacun de nous est potentiellement divin (puisqu’il a été créé par celui qui a toutes les qualités), elle a préféré nous dire que nous sommes « de pauvres pécheurs ».
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1 Un Parisien pointilleux converti au Bouddhisme m’a fait remarquer que le mot sanscrit KARMA veut dire « action » et non « action et conséquence ». Il a tout à fait raison : c’est littéralement exact. D’ailleurs le
Wikipedia dit que le mot Karma vient du sanscrit कर्म (de la racine kri) et signifie acte, action. Mais comme une action sans conséquence ça n’existe pas, c’est moi qui au rajouté ce terme pour bien faire comprendre ce qu’est le karma (et je me fiche passablement du « littéralement ».




L’acteur et son personnage




Quelqu’un m’ayant demandé un jour si on survivait à la mort du corps, je m’aperçus que ce sujet était mal compris, même si j’avais constaté depuis longtemps qu’il suscitait un intérêt indéniable (ou à tout le moins une curiosité certaine –et prometteuse)1. Comme c’est un sujet que je connais bien, permets-moi de t’exposer ce que j’en comprends afin que tu puisses former ta propre opinion.

Pour moi la vie présente n’est qu’une infime partie (et une manifestation terrestre) de la Vie2 une et éternelle perpétuellement présente sur son propre plan d’existence. Pour rendre cela plus compréhensible j'utilise la comparaison de «l’acteur et son personnage3». Cela demande une explication. Dans un sens l’acteur n’est pas autre que son personnage puisque c’est lui qui l’incarne. Mais il est également vrai de dire que le personnage est différent de l’acteur. Dans film LE PARRAIN, Marlon Brando incarne Don Corleone, un parrain de la mafia; ce n’est pas Marlon Brando qui fait partie de la mafia, c’est son personnage. Quand son rôle est fini l’acteur ôte («se dépouille de») son maquillage ou son costume -ou son MASQUE- et retourne chez-lui. Et il est prêt à tenir éventuellement un autre rôle.

Puisque nous sommes le personnage, tout ce qui nous arrive dans la vie n’arrive qu’au personnage, mourir aussi. L’acteur, lui, survit à son personnage. Mais l’acteur, c’est nous aussi. Nous savons que les gens «meurent» et qu’un jour ce sera notre tour. Mais ce n’est pas dramatique du tout: c’est la fin d’un rôle pour l’acteur, mais ce n’est pas la fin de l’acteur. ET NOUS SOMMES AUSSI L’ACTEUR.

Alors pour répondre à cette personne qui posait une question sur la survie: Oui! Quelque chose de nous survit. Mais ce n’est pas ce que l’on croit (c’est cent fois mieux). Et comme tout ce qui est intérieur4 (comme les sentiments, les émotions, les pensées) survit très longtemps à la mort du corps –des siècles souvent- la «personnalité» (= le personnage) survit au corps physique, avec tous ses souvenirs terrestres, son caractère, etc. Ce n’est pas parce que le corps est mort que tout cela disparaît (ce n’est pas parce que notre radio ne fonctionne plus qu’il n’y a pas de musique; on ne l’entend plus, c’est tout).
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1. Un de mes livres (Seulement la Vie) qui traite de « la vie après la mort » a été téléchargé plus de 850 fois en moins de 3 mois (sur ce site uniquement). 2. Au moyen de la majuscule je distingue la Vie globale (que la religion appelle « Vie éternelle ») et la vie présente qui n’en est qu’une infime partie; Vie et vie sont donc deux mots différents. 3..Dans la Rome antique on appelait « per sona » (résonner à travers) le masque de l’acteur à la bouche proéminente qui lui permettait d’être entendu à travers tout l’amphitéâtre. De même on peut conclure que sommes LE PERSONNAGE. Mais nous sommes aussi (inconsciemment la plupart du temps) L’ACTEUR qui incarne le personnage. 4. C’est intérieur par rapport au corps purement physique, mais par rapport à l’âme (= l’acteur), c’est «3 cm sous la surface» nous dit Satprem.



La boite vide

Récemment je participais à un forum philosophique sur la conscience et quelqu’un déclara que la conscience1 préexiste au monde physique. Immédiatement cela provoqua un tollé de protestations dans le forum. J’aimerais dire ici pourquoi je pense que c’est vrai.

En fait c’est simple (il n’y que le mental pour croire que c’est compliqué; ce pauvre mental complique tout, même ce qui est simple)2 et je prendrai ici l’exemple de la graine d’arbre puisque tout le monde le connaît; une toute petite graine contient, caché en elle pourrait-on dire, l’arbre tout entier, et à mesure qu’elle pousse l’arbre se manifeste.

Bien sûr, certains blasés diront que c’est un simple processus de croissance : c’est la graine qui en se développant devient arbre. Mais ça, c’est seulement parce qu’ils ne voient pas la merveille. C’est quoi au juste un processus de croissance? Souvent quelque chose de mature a commencé par être tout petit. Et peu à peu le petit est devenu grand. Mais c’est fantastique! Ce chêne magnifique a commencé par être une graine minuscule? Pour qu’un tout petit gland devienne cet arbre majestueux, il a bien fallu que quelque chose s’ajoute qui ne soit pas eau et ensoleillement. Pour que ça puisse s’ajouter, il a bien fallu que ce soit là au départ.

Sri Aurobindo a parlé quelque part d’une « in-volution » qui précède l’évolution. Si la matière est une boîte complètement vide, je te mets au défi de l’ouvrir et d’en sortir la conscience. ON NE PEUT SORTIR D’UNE BOÎTE QU’UNE CHOSE QU’ELLE CONTIENT DÉJÀ. Ce monde matériel peut manifester la conscience (ou la vie : c’est la même chose) parce qu’elle y était déjà en potentiel. Et si elle y est déjà, c’est nécessairement qu’elle existait avant la matière, non?
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1. On doit savoir que Conscience et Vie sont synonymes (ce n’est que la philosophie –issue du mental- qui distingue ces deux choses). 2. La science même, fille du mental, complique terriblement les choses et pour chaque question à laquelle elle trouve une réponse, elle s’en pose dix nouvelles, de sorte qu’elle ne progresse qu’à pas de tortue (selon elle c’est un processus de croissance NORMAL qui va de l’inconnu au connu.





L’océan et les gouttes d’eau


Un jour que je parlais de « la vie après la mort » une de mes amies cita quelqu’un : « Nous sommes comme des petites gouttes d'eau en suspens, qui se seraient formées au sommet d'une vague, nous sommes issus de l'océan d'énergie qui se trouve en dessous ». Comme j’utilise moi-même l’exemple des gouttes d’eau et de l’océan, ça m’apparut immédiatement fort exact. Je vais te dire ce que j’en comprends, ainsi ton point de vue sera-t-il enrichi du mien.

Récemment dans un forum de discussion sur la philosophie j’ai déclaré que nous ne sommes que très accessoirement 6 milliards d’individus; en réalité il y n’a qu’UNE espèce humaine (composée, bien sûr, de 6 milliards d’individus). La plupart étaient d’accord mais je pouvais voir à leurs réponses qu’ils ne comprenaient pas et d’ailleurs cela ne semblait pas les concerner (ça devrait pourtant puisque pas d’espèce humaine = pas d’individus, donc pas de NOUS). En lisant mon article sur
la Vie, il devient évident que l’espèce humaine (donc tous ses individus) est intimement rattachée à toutes les formes de vie puisqu’il n’y a QU’UNE Vie, qui se manifeste sur Terre par une diversité extraordinaire.

Or chaque individu se croit isolé et indépendant des autres parce qu’il est enfermé dans un sac de peau qu’il appelle son corps. Mais c’est faux! (ou à tout le moins ce n’est qu’une apparence1. C’est ce que j’appelle l’étape des « gouttes d’eau ».

Pas besoin de réfléchir longtemps pour se rendre compte que nous dépendons des autres pour notre survie-même : le garagiste a besoin du médecin, du policier, du fermier, etc. Et à son tour le médecin a besoin de tous les autres… Autrement dit les gouttes d’eau indépendantes que nous croyons être font partie d’une même vague. Puisqu’une ville/société est comme une « vague » formée de multiples gouttes d’eau, force nous est de concevoir que toutes ces vagues (villes et pays) appartiennent à une masse d’eau si immense qu’elle les englobe toutes. Il y aurait donc un océan de vie, en quelque sorte.

Cet océan est sous-jacent, puisque nous ne le voyons pas : nous ne pouvons voir qu’une multitude d’êtres humains et d’animaux de toutes sortes. Mais il est facile d’en déduire son existence et que sans lui nous n’existerions même pas. Ces vague n’ont aucune existence propre : elles dépendent de l’océan pour leur existence-même. Si l’on sait décoder: Dieu (ou un créateur) existe certainement PUISQUE nous existons (montrez-moi quelqu’un qui sait qu’il n’existe pas).

J’en conclus que ce que nous croyons est si peu important. L’un croit au Dieu créateur, l’autre à Allah; peu importe : sans cet océan qui leur donne l’existence ils ne seraient même pas là pour avoir telle ou telle croyance. Même l’agnostique ne pourrait pas dire qu’il ne croit en rien s’il n’y avait pas cet océan qui lui permette de le dire.
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1. La spiritualité n’a pas cessé de dire que nous ne connaissons pas la vie telle qu’elle est, mais que tout n’est qu’une apparence; et la science nous apprend qu’il n’y a rien qui ressemble à une montagne, une maison ou un Homme, mais qu’en réalité tout est constitué d’une unique chose : des atomes (et un atome de granit ou un atome de rose c’est la même chose).






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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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