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Réflexions sur “Dieu” (1)

Dieu

 

 

 

salut ami3

Tout ce que nous savons sur “Dieu” vient de la bible (un livre écrit il y a… 2000 ans). Autrement dit, nos infos sur le sujet datent tellement qu’elles ne conviennent plus et auraient un besoin urgent d’une “mise à jour”; pas étonnant que nous n’ayons plus qu’une foi plus ou moins superstitieuse en ce que les prêtres appellent “Dieu”*.

* “Dieu” n’est l’objet de notre FOI que parce que nous faisons partie d’une humanité dans l’enfance; bientôt nous n’aurons plus besoin de “croire”: ce sera ÉVIDENT pour tout le monde –tout comme il est évident que le soleil brille.

 Évidemment, “Dieu” n’a pas pris une ride depuis des millions d’années puisque le temps n’existe pas pour lui (“Il” est éternel, dit la bible), c’est les êtres humains qui ont drôlement évolués depuis quelques milliers d’années; bien sûr, aujourd’hui nous ne comprenons pas vraiment qui est ce “DIEU” qui nous aurait créé… “de RIEN ” (selon la bible, “de poussière” ou de “fumée” disent la Torah et le Coran),  mais il suffit que “quelqu’un qui sache” nous le dise pour que nous comprenions aussi.

Il semble que le mot “DIEU” aie le pouvoir de déchaîner les passions: on croit à DIEU de telle façon particulière, que l’on oppose à ceux qui y croient aussi mais de leur “façon particulière” à eux. C’est ainsi qu’un peuple oppose “SA” religion à celle d’autres peuples, et que ce qui devait “relier”* l’Homme à Dieu a amplement servi à attiser l’incompréhension des Hommes (alors que la génétique prouve que nous sommes tous de LA MÊME espèce).

* “RELIER”. Le mot religion vient du latin religio, qui veut dire “ce qui sert à relier”. 

Puisque chaque religion privilégie UN aspect de “Dieu”, on pourrait imaginer que des religions coopèrent et échangent des connaissances sur “DIEU”. Par exemple, les chrétiens mettent l’accent sur un “Dieu” d’AMOUR et de COMPASSION, tandis que les musulmans considèrent son aspect de JUSTICE comme primordial.  “Dieu” étant tout cela (et bien plus encore) on aurait avantage à mettre nos connaissances en commun, non? De cette façon on connaîtrait mieux cet être mystérieux que les prêtres appellent “Dieu”, et on verrait que ce n’est pas si mystérieux que le prétend la religion. C’est même très intime avec tout (j’expliquerai pourquoi dans la 2e partie). 

Mais ce n’est pas ce qu’on voit: COOPÉRER ne fait pas partie du vocabulaire religieux; ce que l’on voit présentement est au contraire une  sorte de rivalité/compétition où chaque religion tient à protéger sa tradition et à se développer le plus possible (c.a.d. à augmenter le nombre de ses fidèles, ce qui lui donne une plus grande importance); mais il y a évolution/progrès et de nos jours, on remarque une chose qui est encourageante pour l’avenir: une sorte de respect mutuel, qui est tout de même bien mieux que l’époque des “Croisades” où Européens et Arabes s’entretuaient simplement parce qu’ils étaient de religion différente.

Évidement, personne n’a jamais “vu” DIEU, mais on peut en connaître beaucoup de choses. ÇA (= “Il”) a créé le monde, non?  Alors mieux on connaîtra le monde, plus on connaîtra “Dieu” (dis-moi ce que tu fais, et je te dirai qui tu es). Et “Dieu” N’EST PAS un “être surnaturel”, c’est ce qu’il y a de plus NATUREL au monde; pour s’en apercevoir, il suffit de “changer de regard”; c’est précisément ce qui est en train de se faire.

“Dieu” N’A PAS créé le monde hors de lui (un peu comme un horloger ferait une horloge). Contrairement à ce qu’on croit généralement, cet être supposément mystérieux a fait tout ce merveilleux univers de sa propre substance*. Bien sûr, les gardiens de la vérité d’hier (= les prêtres de toutes religions) ne seront pas d’accord, mais la vérité de demain sera TRÈS différente de celle d’hier simplement parce que l’Homme même sera très différent (à moins de croire que l’évolution s’arrête à l’Homme). 

* SA SUBSTANCE. Tout ce qui existe a une substance. Ici, c’est une substance encore inconnue, de nature divine (il n’y a que la religion pour dire que “Dieu” est un pur esprit, sans aucune substance). Mais substance ne veut pas du tout dire matière, et il y a des substances plus subtiles que d’autres. Par exemple, l’âme n’est pas faite de matière comme le corps physique, elle est faite de “substance divine”, et comme telle, a des attributs divins (comme l’éternité). L’ennui, c’est qu’on est persuadé qu’on est le corps physique. Même ceux qui croient à l’âme disent que l’on “a” une âme; NON! Nous sommes un être éternel qui “a” aussi un corps de matière. Le corps peut mourir, mais on ne cesse JAMAIS d’exister.

Donc, il n’y a que “Dieu” et RIEN d’autre. Tout est contenu dans ces  quelques mots; il suffit d’en tirer toutes les conséquences pour savoir qui (ou quoi) est “Dieu”. La conséquence la plus importante est littéralement époustouflante, et on doit se la répéter pour être certain d’avoir bien compris; on a beau se frotter les yeux, il n’y a pas d’erreur possible: LE DIVIN est partout, tout ce formidable monde n’est que le divin: toi, moi, et cet autre là-bas, bien sûr,  mais aussi la maison et le chien de la maison, et puis les tulipes du jardin, ces assiettes et la nourriture qu’elles contiennent, TOUT EST LE DIVIN, il n’y a que ça. Pourquoi? Parce que tout est fait de dieu. Mais attention: il y a évolution (= les êtres les choses progressent avec le temps) et le divin qui est en chacun se révèle PEU À PEU (bien sûr, on n’est pas “divin” là, maintenant; il faut apprendre/évoluer). Quand on sait cela, on ne peut plus vivre n’importe comment, c’est impossible. C’est comme si on découvrait que le monde est sacré: dans un sens, le monde que l’on connaît –archi mal, il faut bien le dire- est comme le corps de “Dieu” (ce n’est pas tout à fait exact, mais ça l’est suffisamment pour être utile et aider à comprendre).

On comprend TRÈS mal Jésus. Les chrétiens l’adorent comme Dieu. Bien sûr, il est “le fils unique de Dieu”, mais nous sommes tous unique et nous sommes tous “fils de DIEU” (c’est bien notre père céleste, celui qui nous a créé “à son image”, non?). Mais il y a tout de même une énorme différence entre lui et nous. Jésus (et Mahomet, et Bouddha, et beaucoup d’autres dont l’Histoire n’a pas retenu le nom car ils n’ont pas fondé de religion) a fait une RÉALITÉ de ce qui n’est encore qu’un POTENTIEL pour nous tous. Alors, il faut prendre ce Jésus comme modèle, pas l’adorer. Sur Terre, nous n’expions pas “le péché de notre ancêtre, Adam” comme dit la bible: vie après vie nous nous rapprochons de notre vrai “MOI” qui est fait de la substance même de “Dieu”. C.a.d. qu’il n’y a rien à “bâtir”: il faut seulement devenir ce que nous sommes DÉJÀ dans notre MOI profond (= l’âme).

Pour constater que “Dieu” est PARTOUT, il faut “changer de regard” afin d’apprendre à voir les êtres et les choses tel qu’ils sont VRAIMENT (présentement, on ne voit que  leur APPARENCE; la RÉALITÉ  nous échappe complètement –enfin pas complètement, mais elle nous apparaît très DÉFORMÉE). Nous savons déjà que ce que la religion appelle “Dieu” n’est pas qu’au CIEL et pas sur Terre puisque c’est PARTOUT, mais ce “Dieu” qui est partout, c’est quoi exactement?

Ce sera précisément l’objet de la 2e partie.

Signature3

 

 

 

La recherche du bonheur (3)

Boul. du BONHEUR
salut ami3cas-pratique
Cette 3e partie est entièrement consacrée à exposer les simples règles qui permettent d’être “heureux en toute circonstance”. Notons  que je n’ai suivi aucune voie spirituelle qui permette cela*; je n’ai donc aucune qualification pour guider qui que ce soit. Simplement, tout comme plusieurs ont publié leur “recette du bonheur”, j’ai aussi la mienne; je la donne ici parce qu’elle a fonctionné pour moi.
*  Ça  m’est  tombé  dessus  il  y  a  25  ans  au  sortir  d’un coma de 9 jours consécutif à un AVC qui a laissé le corps physique sévèrement handicapé (voir récit). Cette expérience a été déterminante: j’en suis ressorti “différent/changé” de manière durable et ça été le début d’une formidable aventure intérieure qui continue encore aujourd’hui.
Quand j’étais plus jeune j’ai lu le récit d’un Américain qui était allé en Inde pour trouver un gourou, et il disait que son “maître spirituel” aimait répéter qu’il y avait 3 façons de trouver “DIEU”* (source de bonheur absolu): douleur, douleur, douleur.  Eh bien, contrairement à lui, je suis en mesure d’affirmer que c’est simple, simple, simple (c’est même la chose la plus simple du monde –quand on sait comment). Mais simple ne veut pas dire facile: le bonheur est PARTOUT autour de soi et en soi; il n’est pas caché mais nous ne le voyons pas; il faut donc apprendre à le voir: ça demande un effort soutenu et il faut investir de son temps; MAIS ÇA VAUT MILLE FOIS L’EFFORT INVESTI (s’il n’y a pas plus de gens heureux parmi nous, c’est que nous cherdisney_fighter__donald_duck_by_tohokari_steel-d7eohtdchons le bonheur de la mauvaise façon -normal, puisque nous ne le voyons pas).
*  Dans  mon  prochain  article  je  parlerai de “LA VRAIE NATURE DE DIEU” (“DIEU” est TRÈS différent  de ce que nous dit la religion) et tout deviendra clair. En attendant, considérons que c’est l’origine de tout (y compris du bonheur).
Dans ce texte, je veux montrer qu’être heureux est simple et naturel, c’est NOUS qui ne le sommes pas, ce qui fait que la RÉALITÉ nous échappe –parce que la faculté mentale en nous déforme la réalité* (à cause de la faculté mentale, nous compliquons tout ce que nous cherchons à comprendre, mais  ce n’est que maintenant que nous nous en apercevons). MAIS ATTENTION: bien que la façon dont nous utilisons la faculté mentale nous empêche de voir la réalité (et donc  le bonheur), il ne faut pas en conclure qu’il n’est pas “bon”, c’est nous qui l’utilisons mal (normal, puisque nous faisons partie d’une espèce dans l’enfance). C’est grave: la seule raison pour laquelle nous ne sommes pas encoreheureux en toute circonstance”, c’est parce que nous sommes incapables de voir que le bonheur est partout.
* Par exemple, si le feu détruit notre maison nous le trouvons mauvais, et lorsqu’il cuit notre repas nous le trouvons bon, mais en RÉALITÉ le feu n’est ni bon ni mauvais, il brûle, c’est tout.
Les conséquences sont littéralement ahurissantes car cela bouleverse tout ce que nous croyions savoir: puisque le “bonheur est PARTOUT, on ne peut pas se tromper: où qu’on se tourne, c’est là; quoi qu’on fasse, c’est à notre portée. Il en découle que si nous ne sommes heureux, c’est parce que nous sommes INCAPABLES de voir que le bonheur est partout. LE MENTAL EN NOUS DISTINGUE AISÉMENT LE BIEN DU MAL, MAIS IL EST INCAPABLE DE VOIR L’UNITÉ QUI EST PARTOUT” (c’est comme s’il était très habile pour distinguer les plus infimes détails d’un masque, mais qu’il soit incapable de voir le visage sur lequel celui-ci est plaqué). On cherche donc le bonheur de la MAUVAISE manière; par exemple, on s’efforce de devenir riche ou populaire; bien que cela soit tout à fait légitime, ça n’a jamais rendu personne heureux (les riches ne sont pas plus heureux, ils ont des problèmes de riches, c’est tout). Mais raisonner que BEAUCOUP D’ARGENT = BONHEUR  est un raisonnement simpliste et erroné.
 la source du bonheur

L’expérience m’a appris que, “La source du bonheur est en moi”*. Le fait que, d’un côté, “la source du bonheur est en moi” et d’un autre que “DIEU est la source de tout” (donc du bonheur aussi), nous force à conclure que chacun de nous est divin** (POTENTIELLEMENT, bien sûr).
* En fait, la source de TOUT est en chacun de nous, et on voit le monde tel qu’on est soi-même. Par exemple, quelqu’un qui est généralement soupçonneux verra tout le monde comme un suspect potentiel, et s’il a confiance en lui, fera naturellement confiance aux autres.


** Chez nous ce n’est qu’un POTENTIEL non encore réalisé, mais Jésus, Mahomet, Bouddha (et beaucoup d’autres dont l’Histoire n’a pas retenu le nom car ils n’ont pas fondé de religion) ont fait une réalité de ce potentiel, et sont réellement devenus divins (plus dans “LA VRAIE NATURE DE DIEU” –à paraître ce mois-ci).
Tout le monde peut être “heureux en tout temps” (pour cela il suffit de voir ce bonheur qui est PARTOUT en soi et à l’extérieur de soi). Cet article veut montrer comment apprendre à le voir (mais ensuite c’est à chacun de le mettre en application). L’attitude qui permet d’être “heureux en toute circonstance” N’EST PAS une nouvelle méthode; en fait, la spiritualité la connaît depuis des milliers d’années; mais alors qu’elle n’était applicable que par de rares individus qui remplissaient les conditions, aujourd’hui, en cette fin de cycle, c’est différent: le temps a passé et il  a eu évolution; de nos jours une majorité d’Hommes un peu partout sur Terre peuvent COMPRENDRE cette attitude, et la comprenant, la réaliseront. En fait, c’est une toute nouvelle application de la spiritualité traditionnelle qui permet d’envisager la vie d’une façon inconnue jusqu’à présent, et c’est compatible avec toutes les méthodes (spirituelles  ou non –ou même pas de méthode du tout) puisque son champ d’application est la vie de tous les jours.


nouv. èreL’HUMANITÉ EST DONC VÉRITABLEMENT À LA VEILLE D’UNE NOUVELLE ÈRE, ET TOUS SERONT TOUCHÉS (sans mérite particulier, simplement parce que le temps est venu): quand le soleil se lève, il éclaire et réchauffe TOUT LE MONDE sans exception. Les générations futures n’auront pas tous ces efforts à faire puisqu’ils seront dotés d’une nature heureuse. C’est nous, aujourd’hui (en cette fin de cycle) qui avons un effort à faire si nous voulons être “heureux en toute circonstance”. Il faut se souvenir que TOUT dans la vie peut être source de joie (les petites comme les grandes choses). Mais il faut changer suffisamment pour être capable de s’en apercevoir. C’est ce qui est en train de se faire, et  ça cause tout le désordre que nous connaissons.


Il s’agit d’une façon de voir (et donc de vivre)  dans la RÉALITÉ (on ne voit jamais la réalité car les APPARENCES nous  en empêchent). Voir la réalité n’est pas si compliqué: il suffit de ne pas être obnubilé par les APPARENCES (et cela, nous le pouvons tous –si c’est suffisamment important pour y consacrer temps et effort). Comme nous ne voyons jamais les choses telles qu’elles sont EN RÉALITÉ, il faut en prendre l’habitude (et changer notre vieille habitude pour l’habitude de la nouvelle attitude demande un effort soutenu au début). Découvrir son “moi profond” est à ce prix, et ça vaut mille fois l’effort investi. Un exemple simple illustrera cela très bien: le temps qu’il fait. D’habitude on se sent plus joyeux lorsqu’il fait soleil que lorsqu’il pleut. Autrement dit, ce sont les conditions extérieures qui déterminent si on sera content ou non. Mais ce n’est qu’une APPARENCE qui empêche de voir qu’en RÉALITÉ, les nuages cachent parfois le soleil  (qui lui, brille TOUJOURS) -ceux qui prennent l’avion peuvent témoigner qu’au-dessus des nuages, le soleil est toujours là –de jour, bien sûr). 
 

Avec un exemple aussi simpliste, tout le monde peut comprendre. Mais être “heureux en toute circonstance” est beaucoup plus sérieux que ça: ce n’est pas les conditions extérieures qui sont un empêchement à notre “bonheur complet”, c’est les conditions intérieures. Il s’agit de prendre conscience de toutes les habitudes qui nous empêchent de voir que nous sommes DÉJÀ heureux au plus profond de soi (si le bonheur est PARTOUT autour de soi et en soi, c’est que nous sommes déjà heureux, non?). Et si nous sommes  heureux, tout ceux que nous voyons nous apparaissent suprêmement beaux (un peu comme lorsqu’il fait soleil: tout semble plus clair, radieux). Sur ce blog j’ai souvent parlé de “voir autrement” ou de “changer de regard” afin de voir les êtres les choses d’une manière complètement nouvelle:  tels qu’ils sont réellement. Mais comment, pratiquement, “CHANGER DE REGARD”?


La pratique de cette attitude est assez simple, mais demande vigilance et détermination (qui se développent automatiquement au fur et à mesure du progrès de la conscience). Ce qui est plus important encore que “la technique”, c’est le temps qu’on y consacre. Notre terrain d’exercice sera la vie de tous les jours. On fait tout ce qu’on a l’habitude de faire (acheter le journal, promener le chien, prendre le petit déjeuner, etc.), mais on le fait avec la même attitude de concentration intérieure que pour la méditation. Il s’ait de “goûter” chaque seconde de la vie. À mesure que le regard change, les êtres et les choses qui nous entourent apparaissent différemment, tels qu’il sont vraiment  (c.a.d. que nous voyons la RÉALITÉ, au lieu des APPARENCES comme maintenant) et on s’aperçoit qu’on accordait une importance excessive à des choses qui ne sont qu’accessoires; et si on a un mantra (quelques mots que l’on répète silencieusement, pour nous rapper que “c’est cela que je veux”, alors cela va très vite –relativement). Cette façon de faire n’a rien à envier aux séances de méditation (sauf que cette nouvelle attitude dure toute la journée au lieu d’une heure pour la méditation).


Autrement dit, on “apprend à vivre” (bien sûr, on est vivant, mais on NE SAIT PAS encore vivre –par exemple on croit que pour dormir, il suffit de se mettre au lit et de fermer les yeux); normal, puisqu’on fait partie d’une humanité dans l’enfance. LA VIE TELLE QU’ELLE EST RÉELLEMENT EST TRÈS DIFFÉRENTE: C’EST UNE SUITE ININTERROMPUE DE PETITES ET DE GRANDES JOIES; mais le mental (qui distingue facilement le bien et le mal) est INCAPABLE de voir que TOUT ce qui nous arrive, va dans le sens de notre plus grand bonheur (à cause de la perception déformée du mental, nous sommes persuadés que les bonnes choses nous rendent heureux et les mauvaises, malheureux; autrement dit, la vision mentale est moralisatrice; c’est à cause d’elle que nous ne sommes pas “heureux tout le temps”). (Tout cela deviendra clair quand je parlerai de ce que la religion appelle DIEU).


Mais dire quoi faire pour être heureux est une tâche à la fois ingrate et gratifiante, que je laisse volontiers aux gourous de toutes Écoles occupés à transmettre la merveille qu’ils ont reçu. Ce qui m’intéresse (au plus haut point) est tout autre: TOUTE l’humanité s’apprête à “monter de classe” (et cela par aucun mérite particulier, simplement parce que le temps est venu). C’est SÛR d’arriver, mais personne ne sait précisément quand (cependant on sent que c’est imminent –à l’échelle de l’humanité, bien sûr).
   
 
 

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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