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Un monde merveilleux

 

 

 un monde merveilleux

 

 

 

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JE TE SALUE AMIle monde est illusion

Oui je sais, j’en ai déjà parlé; mais au risque de me répéter je vais le redire tant c’est fondamental. Contrairement à ce qu’on croit ON NE VOIT PAS LE MONDE TEL QU’IL EST, on le voit tel qu’on PENSE qu’il est. La spiritualité (qui a étudié cela en détail) l’a dit: “Le monde est illusion”. Mais bien qu’on croie comprendre, on ne sait pas vraiment ce qu’est une ILLUSION.   Comme on est certain que le monde existe, on a tôt fait d’oublier cette phrase saugrenue ou de croire qu’elle est “insensée” (au sens bouddhiste: qu’elle n’a pas sens).

Mais il faut comfemme coupéeprendre le sens du mot “ILLUSION”. Ça ne veut pas DU TOUT dire que le monde n’existe pas; bien sûr qu’il existe, mais on ne le voit pas comme il est réellement. En fait, tout ce qu’on voit est “déformé”, une sorte d’illusion: on ne voit que des APPARENCES de réalité (la “vraie” réalité nous échappe complètement); en fait, c’est un peu comme un ILLUSIONNISTE qui me montre une femme coupée en deux, alors qu’en réalité elle n’est pas coupée du tout. La vérité est qu’on vit dans des APPARENCES qui nous empêchent de voir la RÉALITÉ (tout à fait comme si on pouvait très bien voir tous les détails d’un masque, mais qu’on soit incapable de voir le visage sur lequel il est plaqué). Alors il faut apprendre à voir les choses telles quelles sont en réalité (c’est ce que j’appelle “changer de regard” ou “voir autrement”). 

“Changer de regard” ne veut PAS DU TOUT dire qu’on ne verra plus les objets coutumiers, les êtres qu’on a appris à apprécier, les maisons, les arbres et tout ce qui nous est familier. NON! On voit encore tout cela, mais on le voit TEL QUE C’EST EN RÉALITÉ. Et la RÉALITÉ est mille fois plus belle que les APPARENCES qu’on voit d’habitude. Comme dit le zen: “Maintenant tout est différent, mais rien n’a changé”. Autrement dit, quand l’illusion se dissipe on voit automatiquement la réalité sur laquelle l’illusion/apparence était plaquée.

Pas étonnant qu’on ne soit pas TOUT LE TEMPS heureux: comme on ne voit pas le monde tel qu’il est réellement, nos actions sont déphasées par rapport à LA RÉALITÉ, et au lieu d’être TOUT LE TEMPS heureux, on est parfois heureux et parfois non, en alternance. Il faut donc connaître le mécanisme de la perception, ce qui permettra de savoir pourquoi on ne perçoit pas les choses “telles qu’elles sont vraiment”. Dès lors la solution nous apparaîtra clairement, et nous saurons quoi faire pour être heureux CONTINUELLEMENT (sans effort particulier et tout naturellement).organes des sens

Le mécanisme de la perception est passablement connu. On prend connaissance du monde par les cinq sens (la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher et le goût), et les organes des sens (yeux, oreilles, nez, bouche et peau) sont reliés par des nerfs au cerveau (siège du mental); mais les perceptions des sens ne nous parviennent pas directement: elles transitent par notre faculté mentale, qui les examine, analyse, interprète, puis nous fait part de ses conclusions*. Si on veut avoir une idée exacte du monde dans lequel on vit, il est donc très important que tout cela (sens et mental) fonctionne correctement.

*  Plusieurs personnes considèrent que nous ne sommes qu’un corps et que le “MOI” est fabriqué par le cerveau; il en découle que quand le corps meurt, il n’y a plus de “moi” (un peu comme un appareil radio: lorsqu’il ne fonctionne plus, je ne peux plus entendre l’animateur, naturellement -mais ça ne veut pas dire qu’il est mort); cela résulte simplement d’un manque de CONNAISSANCE DE SOI, ce qui est courant de nos jours (et c’est aisément corrigeable).

Or à moins d’être aveugle, sourd, etc, les sens fonctionnent bien; donc, rien à redire de ce côté-là. Mais on ne peut pas dire la même chose de la faculté mentale: elle interprète les messages des sens selon ce qu’ils sont POUR ELLE, puis nous en fait part; le feu par exemple: s’il brûle ma maison, je le trouve mauvais, et s’il cuit mon repas, je le trouve bon; mais en lui-même le feu n’est ni bon ni mauvais, il brûle, c’est tout (le mental COLORE tout ce qu’il perçoit; à cause de lui, on ne voit RIEN tel que c’est EN RÉALITÉ).

Le mental est incapable de voir la réalité des choses que lui montrent les sens; il ne peut voir que ce que ces choses sont POUR LUI (c’est donc un obstacle pour agir correctement). Mais rien de ce qui existe n’est inutile. Le mental nous trompe, certes, mais il le fait par INCAPACITÉ plutôt que par mauvaise volonté: il n’y en a pas deux comme lui pour distinguer le bien et le mal; simplement dans ce cas-ci, il n’a pas à dire si telle ou telle perception sensorielle est “bien” ou “mal”: elle EST, c’est tout (sans distinction de bien ou mal); dans ce cas, se baser sur les “interprétations” du mental pour agir est source certaine d’erreur. Selon un dicton: “Le mental est un bon serviteur, mais un mauvais maître”; mais qui est le maître qui a le mental pour serviteur?

Ici on doit parler du “MOI ordinaire” et du “MOI profond”. Dans les deux cas, c’est du même “MOI” dont il s’agit, la différence n’en étant pas une de nature mais de “stade de croissance” (exactement comme un enfant qui, en grandissant, devient  un adulte: il s’agit de la croissance de la même personne). Le “MOI ordinaire” (ou simplement: “le MOI”), tout le monde le connaît puisque c’est ainsi qu’on se désigne soi-même.  Le “MOI profond” par contre peu le connaissent car le plus souvent on n’a pas encore atteint ce stade de développement/croissance (sauf rares exceptions). De ce qui précède on peut déduire que celui qu’on appelle “MOI” aujourd’hui prendra de la profondeur et de l’ampleur en grandissant (tout à fait comme un enfant qui n’a pas terminé son développement).

On sait maintenant que si on ne vit pas dans la réalité, c’est à cause de notre faculté mentale, qui est subjective (bien moins que les sentiments, mais subjective tout de même); elle est bien INCAPABLE de nous dire comment est le monde (elle n’est pas faite pour cela), par contre elle est très utile pour autre chose. Mais cette faculté mentale nous réserve encore bien des surprises.

Ce mental est TRÈS CAPABLE, il a des capacités INOUÏES qu’on ne soupçonne même pas; présentement, les librairies foisonnent de livres du style “Les pouvoirs du mental”; OUI, aujourd’hui on peut très peu, alors si quelqu’un ou quelque chose peut quelque chose, c’est un POUVOIR (pour nous bien sûr, et c’est le signe d’une humanité dans l’enfance). Quand on sera devenu ce que j’appelle “LE MOI PROFOND” (et que la spiritualité appelle le soi), le mental aura un “vrai” pouvoir comme, par exemple, le pouvoir de faire qu’on se sente toujours en sécurité et heureux quelles que soient les circonstances.

Pour des raisons de croissance c’est assez long (“l’humanité dans l’enfance” d’aujourd’hui doit d’abord devenir une “humanité adulte”); par contre, c’est très NATUREL: le MOI est certain de devenir “le MOI profond” un jour (tout comme un enfant qui, en grandissant, devient adulte). Si on connaît plus ou moins l’histoire de notre espèce, il devient évident que celle-ci est plus dans l’adolescence que dans la petite enfance (l’Australopithèque –l’Homme tout juste sorti du singe- est un exemple d’une humanité-bébé, Neanderthal et Cro-Magnon sont des exemples d’une humanité dans la petite enfance, et nous aujourd’hui faisons partie d’une humanité adolescente); mais attention: à la toute fin de l’adolescence (un souffle, et elle devient adulte), c.a.d. que c’est IMMINENT (c’est DÉJÀ fait en principe; il s’agit de le rendre EFFECTIF –un peu comme si on avait déjà des graines de fleurs et qu’il fallait seulement les planter pour qu’elles poussent).

L’âge du commercialisme et de la consommation touche à sa fin  (il ne faut pas se laisser tromper par son APPARENTE vigueur actuelle, qui peut changer très rapidement). L’humanité DANS SON ENSEMBLE est sur le point de prendre un virage pour le mieux. (Ça toujours été possible pour quelques individus méritants, mais cette fois-ci c’est l’espèce entière qui s’apprête à “monter de classe” –sans mérite particulier, simplement parce que le temps est arrivé).  

NOUS NOUS PRÉPARONS À ENTRER LITTÉRALEMENT DANS UNE NOUVELLE ÈRE

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Rendre heureux rend heureux

 

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JE TE SALUE AMI

De nos jours un peu partout dans le monde, l’être humain tourne carrément le dos au bonheur. Ça veut dire que, quand on connait le fonctionnement du monde, espérer être habituellement heureux (ce qui est tout à fait légitime) est non seulement impossible, mais en plus, on s’éloigne du bonheur au fur et à mesure de nos actions (plus on agit et moins on est heureux).

Le fait que l’humanité n’aie pas encore atteint la paix, l’harmonie et le bonheur après tous ces millénaires, toutes ces tentatives infructueuses (sans parler des “systèmes sociaux” de toutes sortes) devrait nous mettre la puce à l’oreille: il y a quelque chose de terriblement erroné dans ce que nous faisons.  Bien sûr, la situation n’est pas du tout désespérée et ne le deviendra pas: l’être humain est suffisamment intelligent pour remarquer cette absence de paix véritable, et sera forcé de réagir bien avant “le point de non-retour” (comme toujours il ne réagira que lorsque la situation lui semblera suffisamment catastrophique –ce qui est imminent).

Ça ne peut pas continuer comme ça, il faut absolument que quelque chose change, mais comme il n’est pas encore réaliste d’espérer un changement global de l’humanité (qui est sûr de venir BIENTÔT), la seule action possible demeure l’action individuelle. L’Homme n’est pas un paresseux, et lorsqu’il s’y applique il n’y a pas de difficultés/problèegal2mes qu’il ne peut résoudre. Mais il manque de vision claire pour savoir QUOI FAIRE (c’est pour cela que c’est si long). 

Contrairement à ce que laisse entendre la démocratie, on n’est pas tous égaux: chacun est UNIQUE et différent de tous les autres (ce qu’il y a d’intéressant dans la démocratie, c’est que pour la première fois tout le monde a les mêmes droits). C’est comme les enfants d’une même famille: certains ont 2-3 ans, d’autres, une dizaine d’années, et d’autres encore sont dans l’adolescence; bien que tous aient les mêmes droits (à exister et à s’exprimer), ces enfants ne sont pas égaux –à cause même de la courbe de croissance qui leur est commune.

Quelle action individuelle peut amener un comportement qui engendrera un état de bonheur habituel et durable chez soi? Voilà qui serait intéressant de savoir. En fait il est très facile de le savoir si on procède par élimination: habituellement chacun recherche (ou essaie de bâtir) son propre bonheur; de toute évidence ça ne marche pas, puisque personne n’est heureux de façon continuelle; même si quelqu’un est relativement heureux, c’est un bonheur qui alterne avec des événements “non heureux” (difficultés de toutes sortes, situations contraires ou même hostiles, événements malheureux, etc.), et dès lors qu’il alterne, ce n’est plus un “bonheur habituel”, mais un bonheur partiel. Que faire alors puisque ce qu’on veut, c’est être TOUT LE TEMPS heureux?

Simple, il suffit de changer d’attitude (donc de comportement) pour faire l’exact opposé de ce qui ne fonctionne pas, et l’on débordera BIENTÔT de bonheur et de joie. De quel changement de comportement s’agit-il donc? Est-ce difficile? Est-ce même possible? Eh bien OUI, c’est possible, et c’est tout à fait NATUREL (mais on ne peut pas dire que ce soit facile parce que NOUS ne vivons pas d’une façon qui soit naturelle). De tous temps il y a eu quelques Hommes déterminés qui ont réalisé cela, et ils ont qualifié leur état de “bonheur transcendant”, de “joie ineffable” ou de “félicité divine”. APPRENONS COMMENT FONCTIONNE LA NATURE, PUIS CONFORMONS-NOUS Y, ET ÊTRE HABITUELLEMENT HEUREUX DEVIENDRA FACILE ET NORMAL (= la norme).

Présentement, le modèle que propose la société est “L’INDIVIDUALISME” (qui est basé sur l’idée que “je dois bâtir mon propre bonheur, car personne d’autre ne le fera pour moi). Comme on l’a vu, on sait maintenant que cela ne fonctionne pas. Alors pourquoi ne pas essayer le contraire: chercher D’ABORD à rendre les autres heureux (un genre d’entraide ou de solidarité)? De prime abord on n’en comprend pas la logique: est-ce une sorte d’altruisme? Mais alors s’il est vrai que ma priorité est mon propre bonheur, on doit admettre que la priorité de chacun des autres est aussi son propre bonheur. Dès lors il devient évident qu’un altruisme quelconque ne peut être une solution valable (quoi qu’en disent la religion et la spiritualité). La solution est donc ailleurs.

ProbabimagesCAE5DVODlement à cause du jeune âge de l’humanité, généralement on s’y prend très mal: on croit que DEVENIR RICHE (ou avoir du pouvoir, être populaire) va nous rendre  heureux. Alors on s’efforce d’obtenir ces choses (et si on y investit du temps, on les obtient). Mais ça ne marche JAMAIS (les gens riches ne SONT PAS plus heureux, ils ont des problèmes de riches, c’est tout).  Puis un jour on commence à comprendre qu’ON RÉCOLTE CE QU’ON A SEMÉ: je ne peux pas m’attendre à être heureux (ou avoir de la joie) si je n’en ai pas semé AU PRÉALABLE.

Être heureux est extrêmement simple quand on sait COMMENT (et ça s’apprend). Mais tout d’abord il faut savoir que personne n’est malheureux de façon absolue; nous connaissons TOUS des moments de pur bonheur parfois. Donc premier point: le bonheur n’est pas un inconnu pour nous. On n’a donc pas à créer le bonheur de toutes pièces, il faut seulement apprendre à le développer, c’est tout. COMMENT? QUOI FAIRE? La réponse nous est donnée dans une ancienne maxime: “FAIS AUX AUTRES CE QUE TU AIMERAIS QU’ON TE FASSE”. Bon, mais c’est qui “LES AUTRES”?

Les autres, ce n’est pas “TOUT LE MONDE”. Bien sûr, on est 7 milliards d’Homo sapiens sur cette bonne vieille Terre, mais soyons réaliste: on ne rencontrera jamais le paysan afghan ou l’ouvrier chinois, pas plus qu’on ne connaitra tous les gens de toutes les villes, ni même tout le monde de la ville où on habite. La religion le dit: aimez votre PROCHAIN; mon PROCHAIN c’est quelqu’un qui m’est proche. L’important n’est pas DU TOUT de s’occuper de tout le monde, mais de favoriser (et d’encourager) le bien-être des gens qu’on connaît. On change d’attitude, OUI, mais il faut le faire GRADUELLEMENT: on commence par le conjoint et les enfants, puis on élargit le cercle: famille et belle-famille, amis et connaissances, patrons et collègues, etc.

Comment “vouloir le bonheur de l’autre avant le mien” peut-il me rendre heureux? Chaque fois qu’on fait quelque chose pour quelqu’un d’autre (n’importe qui) cela amène une joie intérieure IMMÉDIATE. La répétition d’un geste de même nature devient une habitude. Pour être heureux de façon “habituelle”, il suffit donc de prendre l’habitude de faire ces petits gestes qui rendent heureux.

Peu à peu on passe ainsi de MOI à TOI (TOI étant tout ce qui n’est pas MOI). (À bien y penser, ce TOI est peut-être à l’origine de tout ce blabla pédant sur l’altruisme, qui sait?). “MOI” –ÉGO- est comparable à un échafaudage. Comme on l’a vu ailleurs: “Un échafaudage, c’est très utile pour ériger un édifice; mais dès que celui-ci est terminé on l’enlève (et l’édifice ne s’écroule pas). De même pour l’être humain: l’égo de Bernard est très utile pour qu’il devienne… Bernard (et non Paul ou Luc). Mais ça y est, Bernard existe maintenant: il peut donc se débarrasser de l’égo (devenu inutile), et il demeurera “reconnaissablement” Bernard (sans égo, il est encore lui-même et ne retourne PAS à l’indifférenciation originelle)” -extrait de L’altruisme.  Passer d’un mouvement centripète (égoCENTRIQUE) à l’EXPANSION d’un mouvement vers “ce qui n’est pas MOI” engendre AUTOMATIQUEMENT un état de bonheur.

Ce qu’il faut, c’est d’avoir à coeur le bonheur de notre PROCHAIN, et de le lui montrer par de petits gestes (comme, par exemple, lui sourire, lui dire un mot d’encouragement, faire quelque chose pour lui, lui consacrer du temps, le remercier, dire qu’on est fier de lui, qu’on l’aime; chacun trouvera par lui-même ce qui lui fait plaisir). Évidemment, penser à l’autre au lieu de penser à “MOI” d’abord est un complet renversement de tout ce que je savais (ou plutôt croyais savoir) sur ce qui peut me rendre heureux (j’appelle cela “changer de regard” –d’attitude ou de perspective).

Mais ce n’est pas tout. Il faut tenir compte de ce qu’on appelle “la réciprocité” (qui engendre un sentiment mutuel). Si je montre à telle personne que son bien-être m’intéresse au plus haut point, cette personne ne voudra pas être en reste et s’efforcera à son tour de me faire plaisir; c’est tout à mon avantage car, au lieu d’une (1) personne qui cherche à me rendre heureux (moi-même), il y en aura plusieurs: toutes les personnes que je m’efforce de rendre heureux. On peut comparer cela à notre corps: nous avons un seul corps, qui est composé de beaucoup d’organes (et chaque organe voit à ce que le corps soit au maximum de ce qu’il peut faire).

Je suis responsable de mon prochain, et mon prochain est responsable de moi.

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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