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Meilleurs voeux

Tournesol

 

Salut ami,

Déjà décembre, le temps file à toute allure: je n’ai pas vu l’année passer et c'est déjà le dernier mois, celui où on souhaite toutes sortes de bonnes choses à nos amis (les vrais et les virtuels).

Qu’est-ce qu’on souhaite à nos amis? Dire: “Joyeux Noël et Bonne Année”, ça fait “TRADITION DES FÊTES” mais moi, je ne suis pas très traditionnel, alors… Y a des gens qui ajoutent “…et le paradis à la fin de vos jours”,  mais le paradis, est-ce que ce n’est pas maintenant que ce serait bien, pourquoi attendre “la fin…”?

Je n’ai jamais été très conformiste, alors qu’est-ce que je pourrais souhaiter qui ne fasse trop cucu? D’autant plus que c’est des amis virtuels: je les aime bien mais la plupart je ne les connais pas vraiment, je ne fais que les lire et eux me lisent.

 

(Ah! je sais…)

Depuis très jeune, y a une chose qui a toujours été très importante pour moi: être bien (heureux). Alors pour la nouvelle année je te souhaite encore plus de bonheur.

JG

P.S. Je serai de retour début janvier avec deux articles sur les désordres alimentaires (“L'obésité, une approche philosophique” et “L'anorexie, maladie des apparences”).

 

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Se réincarner

  réincarnation

 

Tournesol

 

 

Je te salue ami.

La plupart des Occidentaux croient qu’il n’y a qu’une vie unique et que, comme au cinéma, lorsque c’est écrit FIN, eh bien le film est fini. La plupart, mais pas tous. Une minorité (qui croît rapidement) dit croire à la réincarnation: ils croient qu’avant ce film, il y a eu d’autres films, et qu’après, il y en aura d’autres encore. Puisque la réincarnation ne fait pas partie de notre bagage culturel, il n’est pas étonnant que ça donne lieu à des incompréhensions de toutes sortes. Personnellement je me souviens de ma méconnaissance du sujet quand j’étais plus jeune. Maintenant que j’en ai une meilleure compréhension, je voudrais dire en quoi cela consiste afin de dissiper tout malentendu.

LES CHRÉTIENS ET LA RÉINCARNATION

Selon Marie-France James, près de 25% des baptisés en Occident adhèrent à l’idée de réincarnation. Si cette idée est si répandue  dans le grand public, ajoute-t-elle, c’est à cause de l’intérêt exercé en Occident par les spiritualités orientales et leurs dérivés ésotériques et psychiques.

Qui est Marie-France James?

Théologienne canadienne née en 1943, elle est docteur ès-lettres de l'Université de Paris et vice-présidente du Centre d'information sur les nouvelles religions de Montréal. (Wikipedia)

Elle a raison, bien sûr, mais mon explication est différente. Si beaucoup d’occidentaux sont obligés de chercher des réponses sur la réincarnation auprès des spiritualités orientales, c’est qu’ils n’en ont trouvé aucune dans le christianisme. Cette religion (qui a supprimé elle-même la croyance en la réincarnation) ne doit s’en prendre qu’à elle-même si aujourd’hui nous cherchons des réponses ailleurs.

Les faits historiques, les voici: jusqu'au 6e siècle la Bible contenait de nombreuses références à la réincarnation et cette croyance était largement répandue chez les Chrétiens d'alors. Mais comme tous les Hommes, ils avaient tendance à remettre tout effort à plus tard ("Oh ce défaut-là je le surmonterai dans ma prochaine vie"). Alors au 2e Concile de Constantinople en 553 les cardinaux d’alors décidèrent d'expurger de tous les livres de l'Ancien et du Nouveau Testament toute mention de la réincarnation et de décourager cette croyance. C'est depuis ce jour-là que les Chrétiens ne croient plus à la réincarnation.

 

QUI SE RÉINCARNE?

Si on y pense ce n’est pas Alain, François ou Lucie qui était chevalier, princesse ou je ne sais quoi dans une vie antérieure, c’est l’âme (le “VRAI MOI”) qui est Alain aujourd’hui,  qui était Jehan hier, etc. En fait, la réincarnation c’est simple:  comme le vrai moi est éternel (= sans commencement ni fin) et que la personne que je suis (ou plutôt que je crois être) ne dure qu’une centaine d’années, si ce vrai moi veut ou doit revenir sur Terre, il (je) doit prendre un nouveau corps. Autrement dit, le “vrai” moi d’Alain est beaucoup plus lui qu’Alain lui-même: il vit TOUJOURS alors qu’Alain ne vivra qu’une centaine d’années, il est TOUJOURS heureux alors qu’Alain est parfois heureux et parfois malheureux, il a des aptitudes inouïes comparées à celle d’Alain lui-même, etc.

LE “VRAI MOI”: “il” ou “je”?
C’est définitivement JE. Mais comme il est un inconnu pour nous, et pour le différencier du moi ordinaire (l’ego), je dis souvent IL. D’ailleurs le nom le dit: LE VRAI MOI (le mental l’appelle l’âme –en ignorant ce que c’est réellement).

Il y a toutes sortes d’histoires de gens qui se souviennent d’avoir été untel à telle époque. Personnellement je n’ai aucun souvenir de ce genre, et pourtant j’ai le souvenir d’avoir toujours existé et je sais qu’il n’y aura pas de fin. Je vois aussi que tout le monde est éternel aussi, mais que peu en sont conscient (en fait la plupart croient qu’ils vont mourir un jour, simplement parce que leur corps va mourir).

Il existe une technique pour se souvenir des personnes qu’on a été, mais c’est long et difficile, et je n’en ai jamais vu l’intérêt: l’important pour moi, c’est d’avoir grandi à travers chacune de ces personnes, pas de savoir de qui précisément il s’agissait (tout comme je suis un adulte aujourd’hui, mais il n’est pas nécessaire que je me souvienne de tous les repas qui m’ont permis de grandir).

Quelques personnes qui croient à la réincarnation m’ont déjà dit: “Je suis une vieille âme”. C’est à la fois vrai et faux car toutes les âmes sont éternelles (vieilles et jeunes à la fois, c.a.d. sans âge).

QU’EST-CE QUE CETTE “ÂME” QUI SE RÉINCARNE?

Le mot “âme” me fait penser à RELIGION, et je ne suis pas quelqu’un de religieux. Pourtant je suis conscient de cette “âme”, je l’appelle “le zenvrai moi” ou “le moi véritable” car l’impression est d’être moi-même enfin. Ça ne change pas la vie de tous les jours, sauf que je suis BEAUCOUP plus moi qu’avant (comme si j’avais découvert quelque chose qui me permet d’être moi-même). Exactement ce que dit le zen: “maintenant tout est différent, et pourtant tout est pareil”.

La spiritualité, qui a étudié sérieusement la question, dit “plus moi que moi”. Seulement, comme c’est une partie (intime et centrale) de soi que l’on ne connait pas encore, on a avantage à en devenir conscient (il y a même des gens qui croient que le vrai moi n’existe pas). Quand on devient conscient de cela, on voit que c’est en tous, mais qu’ils n’en sont pas conscient. On n’a plus alors qu’un désir: que ce soit conscient partout (le vrai moi EST conscient –et même super conscient- mais c’est nous qui n’en sommes pas conscient).

Pour expliquer la différence entre le “moi” et le “véritable moi” j’utilise souvent l’exemple de l’acteur. L’acteur est différent de son personnage du moment, et pourtant c’est lui qui l’INCARNE pour un temps. Le vrai moi (qui est encore inconscient) est comme cet acteur, alors que le moi ordinaire (celui que chacun PENSE qu’il est) est en fait le personnage. 

 

POURQUOI SE RÉINCARNER?

La Terre est un lieu où on apprend (une sorte d’école). Le moi véritable est sans âge (sans naissance et sans mort), mais sa connaissance est théorique seulement. Dans KARMA j’ai expliqué qu’on apprend par la conséquence de nos actions. Or de tous les plans d’existence, seulement dans le plan matériel les actions ont-elles des conséquences. Sur tous les plans d’existence sauf le plan matériel les actions n’ont pas de conséquence. C’est pourquoi pour apprendre/connaitre les choses on doit s’incarner.

“Par exemple, la colère. Tout le monde sait qu’on ne doit pas se fâcher, mais qui ne s’est pas fâché à un moment ou un autre? Si je me fâche contre quelqu’un, il ne sera pas bien disposé à mon égard; et si c’est contre un événement, ça ne m’aidera sûrement pas à lui faire face. De plus ça se répercute sur le corps car l’esprit et le corps sont interdépendants. Dans le cas de la colère, j’aurai tendance à souffrir du bas-ventre ou des intestins (parfois immédiatement et parfois ça s’accumule et la conséquence vient plus tard). Peu à peu je suis amené à être plus serein.” (extrait de KARMA).

Mais quand “je suis mort” supposément (très vivant mais ceux qui ont un corps disent “mort” simplement parce que je n’ai plus de corps) si quelque chose me fâche, eh bien je suis fâché: je suis comme cela, c’est tout, c’est mon caractère. Comme il n’y a pas de conséquence, je n’ai aucune possibilité de changer. Pour le faire, je devrai naitre sur Terre (apprendre en jouant un personnage).

Dans le monde matériel, notre perspective est fausse et nous voyons tout à l’envers. La spiritualité dit même que “le monde est illusion”. Ça veut dire que nous le percevons faussement, et j’ai consacré plusieurs articles pour dire que nous ne voyons pas les êtres et les choses tels qu’ils sont vraiment mais À TRAVERS nos lunettes mentales déformantes (en réalité, ils sont cent fois plus beaux).

SE RÉINCARNE-T-ON PARCE QU’ON “DOIT” OU PARCE QU’ON “VEUT”?

Le veut-doitmoi véritable est très conscient (beaucoup plus que nous), mais il sait si peu au début (avant de s’incarner). Pour apprendre il doit prendre un corps et venir sur terre. D’abord “on” l’y envoie, puis, plus tard, il s’incarne volontairement, car il apprend énormément de cette façon.

C’est comme un élève qui va à l’école: au début ses parents décident pour lui: “tu iras à l’école”, puis il y va de plus en plus volontairement: “Y a tous les copains, on va se marrer”; rendu à l’université, il n’est pas question que ses parents décident des cours qu’il va suivre: c’est lui qui s’inscrit, étudie, etc.

 

PEUT-ON REVENIR EN ANIMAL?

C’est comme si l’on demandait: “Lorsqu’on est adulte, est-ce qu’on peut redevenir un enfant?”. Non, on ne peut pas, ce serait régresser, retourner en arrière; de plus il n’y aurait aucun intérêt à le faire. Certaines religions bouddhistes de l’Asie du sud-est (surtout au Cambodge et au Vietnam) enseignent qu’on peut revenir dans une plante ou un animal. Ici il faut savoir que les religions populaires bouddhistes ont mal compris la spiritualité bouddhiste (qui sont deux choses TRÈS différentes). Pratiquement, ce n’est pas exact, mais il y a une bonne raison à cette croyance.

Il existe une solidarité de tout ce qu’on appelle LE VIVANT qui est si forte qu’elle saute même la barrière des espèces. C’est ainsi que végétaux, animaux et humains sont INTERDÉPENDANTS puisqu’ils plongent leurs racines à la même source (dans le même océan): la Vie (voir LA VIE).

Certaines religions bouddhistes traduisent le fait que c’est la même Vie qui anime tous les êtres (quelle que soit l’espèce) en disant que nous pouvons renaitre dans un arbre ou un animal.

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Le bonheur qui dure

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TournesolJe te salue ami

Aussi loin que je me souvienne, une question était primordiale pour moi: “Comment être heureux dans cette vie?” (voir L'homme qui cherchait des réponses, Pourquoi moi?, et Un doigt pointe vers la lune…). En grandissant, j’ai constaté que la vie est une alternance de moments heureux et de moments malheureux. Ma question n’était donc pas résolue, mais j’avançais et peu à peu dans cette alternance j’ai découvert à quelle condition on était heureux ou malheureux, ou en d’autres mots, “qu’est-ce qui rend heureux et qu’est-ce qui rend malheureux?bonheur 2

Aujourd’hui je suis pleinement heureux (du matin jusqu’au soir, tous les jours et sans fluctuation). Ça n’abolit pas les hauts et les bas de la vie (sauf que les hauts sont moins hauts et les bas, moins bas: tout est moins extrême, plus harmonieux). C’est comme un courant de joie à l’arrière-plan de tout ce que je fais. Heureux, oui, mais je ne serai pleinement satisfait que lorsque ce monde sera devenu un lieu de bonheur perpétuel, alors j’ai décidé d’étudier à quelle condition il pourrait le devenir. Dans cette recherche, j’ai fait des découvertes extraordinaires (et incroyablement simples). C’est cela que je veux dire aujourd’hui.

À la base, il y a une chose: le mental. Cette faculté mentale qui nous a permis d’accomplir tant de belles choses, qui distingue aisément ce qui est bien et ce qui est mal, nous empêche aussi d’être heureux (PLEINEMENT HEUREUX). “Le mental fut une aide, le mental est l’obstacle” écrivait Sri Aurobindo il y a 100 ans. On ne peut pas blâmer ce pauvre mental: il n’est pas fait pour nous rendre heureux, il est fait pour AGIR (découvrir, faire des choses). Il a bien essayé de nous rendre heureux, mais il ne peut pas: tout son effort n’a réussi qu’à créer un consumérisme qui rend notre vie plus facile mais qui est loin de nous apporter le bonheur. L’ennui, c’est qu’il croit encore qu’il peut nous rendre heureux, mais il ne sait même pas quoi faire pour cela. Bien sûr, ce mental est de bonne volonté: il ne veut que nous protéger des dangers du monde. C’est pour cela qu’il y a tout ce réseau de nerfs relié au cerveau (un crabe ne l’a pas). Mais en nous coupant des dangers du monde, il nous a coupé DU MONDE.

Alors nous ne communiquons plus qu’à travers le mental (et le mental DÉFORME la réalité).  Dans une conversation à Satprem, Mère comparait l’action du mental à une pelure d’oignon: “une pelure d’oignon c’est terriblement mince, mais rien ne passe à travers”. Si Olivier ne peut communiquer avec Denis que par (= à travers) des mots, c’est à cause du mental. La “télépathie” (mot inventé par le mental pour dire que ça communique sans ses moyens) est une chose tout à fait naturelle pour le “vrai moi” au-delà du mental, mais impossible (ou très rare) pour l’espèce humaine car ce cher mental –qui n’y connait rien- l’assure que ce n’est pas possible (et bien sûr, nous nous empressons de l’écouter: “c’est le mental qui l’a dit”).

Tout le monde veut être heureux. Or nous avons vu que ce n’est pas possible avec le mental. Il n’y a donc qu’UNE SEULE solution: cherchons quelque chose d’autre qui le peut. Est-ce possible ou sommes-nous condamnés pour toujours à cette alternance joie/peine? Ce blog s’appelle “CONNAISSANCE DE SOI”. Cela laisse sous-entendre que je ne me connais pas réellement, et que j’aurais peut-être avantage à le faire. Une partie encore inconnue de nous (donc inconsciente) est le véritable moi (“plus moi que moi” dit la spiritualité) et le sage nous exhorte à découvrir ce véritable moi (que le mental appelle “âme”): “Deviens-ce que tu es”.

Pour la découvrir, il suffit de chercher (mais CHERCHER réellement, intensément, AVOIR BESOIN, comme quelqu’un qui se noie a besoin d’air). Bien sûr, au début, personne n’a une telle intensité d’aspiration: il faut apprendre . Ce n’est pas facile (surtout au début) et c’est long –des années- mais c’est très naturel par contre.

L’être humain (à cause de son mental) a l’habitude d’agir (faire par lui-même). Alors il médite, fait une sadhana (discipline spirituelle) ou une autre, et s’efforce d’élever sa conscience vers ce à quoi il aspire. Mais pourquoi “S’ÉLEVER”? S’élever implique que ce que je veux n’est pas déjà ici: je dois donc me détacher du monde temonderrestre pour trouver ce à quoi j’aspire. Ici, il me semble toucher du doigt un défaut de la spiritualité. C’est comme s’il y avait DEUX mondes pour eux: notre monde, plein de haine, de violence et de crime (donc plein de souffrance) et un monde “divin” rempli de joie, d’harmonie et de bonheur.

La science ne commet pas cette erreur; pas de monde divin pour elle, qu’un seul monde: le nôtre. Certes, c’est un monde violent, mais ce ne sera pas toujours comme ça (croit-elle). Elle croit même qu’avec son propre progrès, l’humanité progressera. Mais la science n’existe que parce que le mental existe (pas de mental = pas de science), et nous avons vu que le mental est INCAPABLE de rendre l’Homme heureux.

Quoi faire alors? Est-ce qu’il y a quelque chose qui puisse rendre l’Homme parfaitement heureux? On a vu plus haut que science et spiritualité ont TOUTES DEUX des points forts et des limitations, alors peut-être que l’union de ces deux serait bénéfique pour l’Homme.

Mais  si on cherche le vrai moi (l’âme) en faisant taire le mental (par la méditation par exemple) c’est très long”. C’est peut-être que l’on ne cherche pas de la bonne façon. Si je veux acheter une télé ou un frigo, il faut que j’aie les moyens, personne ne va m’aider; mais dans cette recherche du véritable moi personne n’est seul, il y a une aide efficace. La rose ne fait fait aucun effort pour croître et s’épanouir: elle s’en remet entièrement à la nature pour cela, et elle devient une fleur magnifique sans effort particulier, simplement en étant elle-même.

Mais l’Homme n’est pas “ce qu’il est VRAIMENT”; il est ce qu’il PENSE qu’il est (et la PENSÉE déforme la réalité).  Alors ce qui prend du temps pour lui, c’est d’apprendre qu’il peut s’en remettre à la nature; il est si habitué à faire les choses par lui-même qu’il n’a pas le réflexe de s’en remettre à la nature. C’est comme ces matérialistes: ils ne croient pas qu’il y a une aide effective, alors s’ils veulent progresser, ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Parfois ça marche (quand on est assez persistant) et parfois ça ne marche pas; mais dans tous les cas, c’est difficile.

Je voudrais tellement qu’on sache comme ça peut être facile (moi, ça m’a demandé des années pour m’en apercevoir). Pas besoin de suivre une discipline spéciale (méditation profonde ou pas de méditation): on fait comme on a l’habitude de faire, mais avec une différence: une volonté (toujours présente et ACTIVE), un BESOIN (“c’est ça que je veux, et je n’arrêterai pas de le chercher tant que ce ne sera pas là”). RIEN ne peut résister à une telle intensité d’aspiration. Toutes les qualités sublimes que les spiritualistes ont mis dans un divin loin de la terre, ces qualités sublimes auxquelles les matérialistes ne croient pas, c’est ICI, dans notre monde, qu’il faut les trouver.

Ma découverte EXTRAORDINAIRE, c’est que le monde ne fonctionne pas en mode linéaire (comme le croit l’être humain) mais en mode global/sphérique. D’habitude nous croyons qu’il faut aller d’une chose à son opposé pour s'améliorer (du mal au bien, de la maladie à la bonne santé, etc.) Mais C’EST MAL VU; ce n’est pas comme ça du tout. TOUT est présent simultanément, et parfois on voit comme ceci ou comme cela.

Si on est malade, par exemple, il ne s’agit pas de COMBATTRE la maladie jusqu’à ce qu’on soit en bonne santé. Non! Tout est là ensemble (la maladie et la santé sont toutes deux ensemble, simultanément) et parfois on voit une chose, parfois son contraire.

Il n’y a pas alternance de moments heureux et de moments malheureux. C’est faux (ou plutôt c’est mal vu). La joie et la peine sont là ensemble, simultanément. Quelques fois on voit la peine: alors on est malheureux. D’autres fois on voit la joie: alors on est heureux. Mais c’est formidable (et simple, simple)! Il n’y a pas de grandes choses à faire pour que la vie soit différente: un simple regard à changer.

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Le cancer, qu’est-ce que c’est RÉELLEMENT?

 

 

 

TournesolJe te salue ami.

La science nous apprend qu’il y a plusieurs sortes de cancer (du cerveau, du sein, des poumons, etc.) En fait tout organe sain peut éventuellement devenir cancéreux. Pour la philosophie, par contre, c’est plus simple: il n’y a pas 56 sortes de cancer, il n’y en a qu’une.

Évidemment, on traite le cancer différemment selon qu’il frappe le cerveau ou les intestins; alors la stratégie de la science est excellente pour le combattre. On reconnait là la notion d’ACTION qui caractérise les Occidentaux. Dans un autre article j’écrivais: “Tout comme les Orientaux admirent la SAGESSE, on peut dire que les Occidentaux aiment AGIR (c.a.d. traduire ce que nous savons en action): dès que nous connaissons une chose, il faut que cela serve à quelque chose; une connaissance qui ne sert à rien est une connaissance inutile pour nous.” Mais le cancer, qu’est-ce que c’est RÉELLEMENT?

Dit en quelques mos: LE CANCER EST L’INDIVIDUALISME DES CELLULES. Pour le comprendre, il faut d’abord expliquer le fonctionnement normal du corps. Le corps, qui est une pure merveille si on y pense, est composé de multiples organes, et chaque organe est formé de millions de cellules. Et tout cela fonctionne comme un ensemble et n’a qu’un but: voir à la bonne marche du corps: les cellules s’assurent que l’organe fonctionne bien, et tous les organes forment UN corps, ce qui fait que nous pouvons agir librement et avec aisance (sans la contrainte d’une mauvaise santé par exemple).

Mais parfois un groupe de cellules ne sert pas au fonctionnement harmonieux du corps: il se développe pour lui-même et non pour l’intérêt du corps.  Au point de vue philosophique on parle alors d’un individualisme des cellules. Si nous observons les sociétés humaines (surtout les populations occidentales), on ne peut pas ne pas remarquer l’hyper-individualisme qui y règne: des millions d’individus n’ont pas à coeur le développement harmonieux de leur société, mais leur bien propre.

On ne peut que constater qu’un plus grand individualisme correspond à une plus grande incidence de cancer. Tout à fait comme si nos villes occidentales souffraient d’un cancer. Présentement le cancer est la première cause de mortalité en Occident. La science a pointé du doigt la cigarette ou un excès de viande rouge. Il ne faut pas se surprendre si la science (matérialiste) ne peut trouver qu’une cause matérielle au cancer: elle n’a pas l’habitude de tenir compte de l’opinion de la spiritualité.

En fait, on ne peut pas le lui reprocher puisqu’à ce jour elle croit encore que spiritualité = religion –depuis qu’une religion intolérante (= qui ne tolère pas qu’on soit différent d’elle) appelée christianisme s’est accaparée du nom de spiritualité (comme si elle avait le monopole de l’esprit). Dans de nombreux autres articles, j’ai démontré que la spiritualité (qui est basée sur l’expérimentation) est BEAUCOUP plus proche de la science (bien que son domaine d’expertise -l’esprit- soit TRÈS différent) et que la religion (dogmatique et archi-conservatrice) va à l’encontre ET de la science ET de la spiritualité.

Mais attention: dire que l’individualisme exacerbé est responsable de ce grave “malfonctionnement” du corps qu’est le cancer ne veut pas du tout dire que seules les personnes individualistes sont atteintes. Au-delà de l’individu, le cancer concerne l’espèce: au-delà des apparences et indépendamment de ce qu’on en pense il y a une solidarité inconsciente entre individus de la même espèce.

Ultimement, toute maladie (le cancer aussi) est un mensonge du corps. Alors ceux qui s’efforcent d’éradiquer les maladies méritent notre soutien.

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Non-agir

 

wuwei 2

Tournesol   Je te salue ami

Dans mon exploration des blogs, je suis tombé par hasard sur la page d’une association franco-chinoise basée à Marseille (LE BLOG DE CHINAFI) qui a publié un texte très intéressant sur le non-agir il y a quelques années. Comme je suis sensible à l’enseignement de nombreux sages, dont Lao-Tseu, cela m’a inspiré le sujet d’aujourd’hui.

Note, hasard

Ceux qui ont lu le Tao Te King savent qu’il y est question de NON AGIR (wúwéi 無爲), mais peu comprennent réellement ce que cela veut dire et encore plus rares sont ceux qui le mettent en pratique; pourtant c’est une chose NATURELLE, et si cela nous semble difficile, c’est que notre façon de vivre n’est pas NATURELLE.

Tout csavoir, agiromme les Orientaux admirent la SAGESSE, on peut dire que les Occidentaux aiment AGIR (c.a.d. traduire ce que nous savons en action): dès que nous connaissons une chose, il faut que cela serve à quelque chose; une connaissance qui ne sert à rien est une connaissance inutile pour nous. En vérité, on remarque que l’être humain en général aime sentir qu’il domine ou contrôle la situation, sinon il sent qu’il est, disons, dominé par elle (c’est très clair chez l’Occidental). En fait, s’il ne contrôle  pas la situation, il sent que c’est quelque chose (ou quelqu’un) d’autre qui le fait, quelqu’un de plus grand que lui; et l’Homme a beaucoup de difficulté à accepter que quelque chose soit plus grand que lui. C’est pourquoi ceux qui croient en Dieu le situent dans un paradis très loin de la Terre, là où ils peuvent l’adorer tout en étant libres de vivre à leur guisnaturee.

Si nous étudions la Nature (pour vivre d’une façon NATURELLE on peut observer la NATURE, non?) on remarque une chose très intéressante. Ni la tulipe ni la rose ne font d’effort pour croître: c’est la Nature qui fournit l’effort, eux n’ont qu’à la laisser faire, et grandir, devenir de magnifiques fleurs. De même le lionceau: pour devenir comme son papa, il n’a pas besoin de s’y efforcer; il ne fait qu’une chose: tous les jours il est lui-même, et un jour, il est un lion majestueux.

Pour l’Homme, c’est différent; il croit qu’il est meilleur que la Nature. Il se croit même indispensable à la bonne marche de la Nature. L’Homme, c’est l’éternel améliorateur. Il peut faire mieux que la Nature, pense-t-il (en fait il est convaincu que s’il ne s’en mêle pas ce ne sera pas bien fait); alors il s’attèle à la tâche, il s’efforce et s’efforce de devenir meilleur (c.a.d. de devenir autre qu’il n’est en réalité).

Mais pourquoi est-ce comme ça? Simple, parce qu’il n’est pas tout. Il suffit de réfléchir: s’il était TOUT CE QUI EXISTE, rien ne pourrait le menacer, plus de danger pour lui, donc plus de peur, personne pour le contredire ou le détester. S’il n’y avait rien à quoi se comparer, comment pourrait-il dire “je suis jeune” ou “je suis vieux”, “je suis malade” ou “je suis en bonne santé”, ou même “je suis vivant” ou “je suis mort”? Tout ce qu’il pourrait dire, c’est “JE SUIS” puisqu’il n’y aurait RIEN d’autre.

Évidemment si on pouvait être tout, ça règlerait bien des problèmes. Mais est-ce possible? Et si oui, comment? EH BIEN OUI, C’EST TOUT À FAIT POSSIBLE. Le comment est partout autour de nous, mais nous ne le voyons pas. La Nature n’est ni stupide ni inconsciente: elle a un plan et sait comment le réaliser. Alors laissons-la faire, laissons-la “fournir l’effort”. Nous pouvons lui faire confiance: c’est bien grâce à elle que l’humanité est née un jour, et c’est encore grâce à la Nature qu’elle atteindra sa pleine maturité. Bien que cela soit assez difficile, cette façon est très naturelle par contre. C’est généralement très long et assez difficile parce qu’il faut apprendre pas à pas à laisser la Nature agir (et ça, ça prend du temps)

Pour la NATURE tout est facile et NATUREL.

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Réseautage social

 

 

Réseautage

TournesolJe te salue ami

On dit que L’HOMME EST UN ANIMAL SOCIAL. Pour l’ANIMAL j’ai mes doutes, mais SOCIAL, c’est absolument certain. Je me suis penché sur cette question, et ce que j’ai découvert est si significatif que je veux t’en faire part, ami. Ma recherche a porté sur une caractéristique humaine qui a toujours existé, mais qu’Internet fait ressortir: son extrême sociabilité. 

J’ai appris entre autres qu’il existe plus de 200 sites web consacrés à permettre à ces messieurs-dames de commumyspaceniquer par clavier interposé. De ce nombre, les deux sites de loin les plus utilisés (Facebook et MySpace) sont basés aux USA et dépassent les 500 millions d’utilisateurs chacun. Les autres sites de réseautage social (social networking) font piètre figure avec seulement (!) quelques dizaines de millions de membres chacun. Le service de miniblog Twitter (litt. “celui qui gazouille”) ne récolte qu’un maigre (!) 190 millions d’utilisateurs mais est le site de réseautage social qui connait la croissance la plus rapide.

Quant à Blogger, je dirais qu’il s’en sort honorablement. Bien sûr ce n’est pas un géant comme MySpace, mais il a une qualité importante pour moi: il n’y a pas de pub (sur Myspace il y en a plusieurs à chaque page). Lancé par Pyra Labs et acheté en 2003 par Google, la pub y est volontaire, et n’est gérée que par AdSense (qui appartient aussi à Google). Moi qui déteste toute forme de pub non sollicitée ou imposée, ce dernier point a été déterminant dans mon choix.

NE PAS CONFONDRE

 

De nos jours, notre style de vie archi-individualiste et l’invention d’Internet ont tendance à mettre en valeur une chose qui n’existait pas il y à peine quelques dizaines d’années: les relations virtuelles. C’est ainsi que des individus qui ne se sont jamais rencontrés, souvent même éloignés géographiquement, communiquent entre eux sans autre but que le simple plaisir de communiquer/échanger. communiquer avec son chien

Remarquons tout d’abord le besoin vital qui pousse tout individu à communiquer avec ses semblables (les rares personnes qui ne le font pas sont considérées comme asociales). Ce besoin est si fortement ancré en nous que quelqu’un qui n’a personne avec qui communiquer conversera avec son chat/chien. De nombreuses personnes ont déjà remarquéCORPS-ORGANES cette caractéristique humaine;  si c’est envisagé de la bonne façon cependant, c’est susceptible de nous faire faire un grand pas en avant dans la connaissance de soi.

Nous savons que l‘humanité est formée de 6 milliards d’individus. Mais est-ce que ça veut-dire quelque chose? Et si oui, quoi? Pour le comprendre, la comparaison avec notre corps peut être avantageuse. Notre corps est formé de multiples organes, mais fonctionne comme une unité: on peut donc dire que chaque organe concourt au bien-être de l’ensemble, et ainsi on peut agir librement, sans contraintes corporelles (une mauvaise santé par exemple). Mais si chaque organe agissait selon sa volonté propre, sans tenir compte des impératifs du corps, il ne faudrait pas s’étonner que celui-ci soit souvent malade, entravant du même coup l’aisance de nos actions.

Si nous reportons notre attention sur la relation individu/humanité pour l’examiner, nous ne pouvons pas  ne pas remarquer l’évidente contradiction de cette situation illogique. Quoi? Tous ces individus n’agissent pas pour le bien de l’espèce mais pour leur bien propre? (Enfin… ce qu’ils appellent leur bien). Pas étonnant que ça aille si mal, et que haine, violence et crimes affligent encore l’humanité.

Le remède est évident (et s’il n’est pas simple, c’est pourtant LE SEUL si nous ne voulons pas disparaitre en tant qu’espèce –et si l’espèce disparait, l’individu disparait automatiquement): nous débarrasser de la frontière invisible qui sépare (et isole) chaque individu de tous les autres, c.a.d. l’ego. Mais il y a peut-être un problème. L’ego a été très utile pour distinguer un individu d’un autre dans cette masse anonyme qu’est l’espèce; alors si je me débarrasse de l’ego, est-ce qu’on me distinguera encore de Richard ou Bernard? Est-ce que je ne retournerai pas à l’indifférenciation originelle? Eh bien, non, aucun risque puisque mon individualité est DÉJÀ formée –depuis longtemps (tout comme enlever l’échafaudage lorsque l’édifice est terminé ne détruit pas cet édifice).

Au contraire, l’ego me SÉPARE des autres, alors travailler à me débarrasser de l’ego, c’est travailler à éliminer ce qui m’isole des autres. Autrement dit, sans ego je ne suis plus un petit individu tout seul dans son coin, je peux être celui-ci, celui-là, celui que je suis et tout le monde. Un individu est tout petit, et maintenant, sans ego, je me suis agrandi à la dimension de l’immensité. L’impression est d’avoir perdu quelque chose qui me limitait.

Et pas de limite veut dire que tout est possible.

 

 

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Phénomène Tanguy

 

tanguy

TournesolJE TE SALUE AMI. Selon Wikipedia, le phénomène Tanguy désigne “un phénomène social selon lequel les jeunes adultes tardent à se séparer du domicile familial ou y reviennent après l’avoir précédemment quitté” (Ce nom vient du film d’Étienne Chatiliez (TANGUY) où le personnage principal vit une situation de ce genre). C’est précisément de cela que j’aimerais parler aujourd’hui.PARAZAITO

Remarquons tout d’abord que ce n’est un “phénomène” que pour nous, Occidentaux (plus une variante au Japon: les “célibataires parasites”) parce que ça va à l’encontre de nos valeurs occidentales: rendre nos enfants autonomes le plus vite possible de façon à ce qu’ils puissent “voler de leurs propres ailes”.

On a pointbaby boomé du doigt la question économique. Les baby-boomers (ceux qui sont nés dans la période du boom industriel qui a suivi la 2e guerre mondiale) n’avaient souvent qu’une idée lorsqu’ils devenaient adultes: s’émanciper de la cellule familiale afin de gagner une indépendance qui leur procurerait plus de liberté de décision/action. Aujourd’hui c’est différent: principalement à cause de la situation économique/financière difficile l’enfant “s’incruste” et tarde à partir (selon leurs parents, qui ne comprennent pas): ce qui fait qu’à 28-30 ans il vit encore chez papa-maman. maroc

Mais la situation économique ne procure qu’une explication partielle; le phénomène Tanguy a des racines beaucoup plus profondes. Dans Immigrants musulmans j’ai dit pourquoi une migration systématique est souhaitable, et j’ai expliqué aussi que ce n’est qu’après 2-3 générations qu’une humanité harmonisée pourra émerger. Exemple: un Marocain qui immigre au Québec. La situation n’est facile ni pour le Marocain ni pour le Québécois de souche. Chacun doit s’habituer à l’autre, et cela cause inévitablement des chocs culturels (du moins les premières années).

Autant nous y faire tout de suite, le “phénomène Tanguy” est là pour rester. Bien que ce phénomène soit de prime abord assez déconcertant, il résulte d’une influence positive qu’ont sur nous les fils et filles d’immigrants nés dans nos pays (il ne nous est pas transmis directement par eux, mais c’est l’effet qui découle de leur présence parmi nous). PAS DE FILS D’IMMIGRANTS NÉS ICI = PAS DE PHÉNOMÈNE TANGUY.

Pour tous les peuples sauf les Occidentaux (et les Japonais), le “phénomène Tanguy” n’existe pas. Au contraire, le sens de la famille est beaucoup plus développé, et les parents seraient amèrement déçus que le fils (ou la fille) ne reste pas avec eux le plus longtemps possible. En fait, pour beaucoup d’immigrants la question du départ du fils ou de la fille n’est même pas envisageable (sauf pour se marier).

La question culturelle est donc double: d’une part, le Québécois de souche comprend difficilement, mais est forcé de constater que l’immigrant marocain a des valeurs très différentes des siennes; d’autre part le Marocain fait une constatation semblable sur son pays d’accueil. Dans un premier temps il y a donc incompréhension mutuelle, ce qui rend la cohabitation difficile. Mais plus tard (souvent des années plus tard) on remarque une sorte d’ajustement réciproque. Chacun a appris à admettre l’autre (sinon à le comprendre).

Le problème commence quand le fils, né dans le pays d’accueil du père, désire faire comme ses amis Québécois et avoir son propre appartement. Pour les parents c’est intolérable: ça ne se fait tout simplement pas. D’autant plus que dans le pays d’origine, ils n’ont souvent pas de filet social, pas de “rentes pour personnes âgées”. Pour eux c’est simple: quand les enfants sont jeunes les parents s’en occupent, et quand les parents sont âgés, les enfants s’en occupent. C’est ça la famille. Un pays où les enfants ne s’occupent pas de leurs parents âgés, ils ne comprennent pas, tout simplement.

Tout comme nous ne comprenons pas que “les enfants, on s’en occupe tant qu’ils ne sont pas prêts à partir”.

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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