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Les extra-terrestres existent-ils?

 

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Salut ami

Si tu veux savoir si les extraterrestres existent, c’est à un expert qu’il faut demander; moi je ne sais rien des “petits hommes verts”. En fait, j’ai mes propres questions: “Est-ce qu’il y a des ‘madames’ extraterrestres?”,  “Si oui, sont-elles aussi sexy que les terriennes?”, “Ont-elles des seins –combien?”, “Acceptent-elles de faire l’amour avec un terrien?

Mon père disait que pour être un homme il fallait avoir une opinion, n’importe laquelle. Alors j’en ai une, et bien que je sois loin d’être expert en “extraterrestres”, elle est aussi bonne que celle de n’importe qui, et je vais dire ce que je pense de ces messieurs venus d’ailleurs  -façon Jigé bien sûr.

Évidemment, l’idée que l’Homme est seul dans ce vaste univers est saugrenue et absurde, mais je la comprend parfaitement étant donné le jeune âge de l’humanité. C’est comme un enfant unique qui se croit le seul enfant au monde… jusqu’à ce qu’il aille à l’école et découvre qu’il y a des milliers d’autres enfants comme lui.

Comme tout ce qui existe, la question des extraterrestres est extrêmement simple, mais ce sujet semble terriblement compliqué pour les êtres humains, que la question divise: il y a les ufologues et ceux qui se fient sur le grand nombre de témoins oculaires pour y croire, ceux qui pensent qu’on a affaire à des gens technologiquement très avancés qui veulent nous aider, ceux pour qui extraterrestres est synonyme d’envahisseurs plus ou moins monstrueux, etc. Mais ce sont les sceptiques qui m’intéressent le plus.

Ces sceptiques sont très intéressants. Bien sûr, il y en toujours eu, mais à notre époque ils sont SUPER NOMBREUX (en fait notre époque de fin de cycle en est une de scepticisme généralisé). Un sceptique, c’est un monsieur (ou une madame) qui n’a pas confiance au témoignage des autres; il ne croit à une chose que s’il en a lui-même la preuve. Évidemment, on comprend pourquoi: à notre époque individualiste il y a des gens qui se trompent eux-mêmes ou qui trompent sciemment d’autres gens, et les sceptiques veulent se protéger d’eux; normal, non?

Alors ils n’ont confiance en personne, sauf en eux-mêmes, CE QUI EST DÉRAISONNABLE: que penserais-tu de quelqu’un qui, après avoir lu son journal du matin, vérifierait personnellement tous les faits rapportés car il ne fait pas confiance aux journalistes? Ce n’est pas parce qu’il existe des illuminés ou des menteurs qu’il ne faut croire personne. La solution ÉVIDENTE, c’est d’apprendre à distinguer quand on peut croire quelqu’un et quand il vaut mieux ne pas croire, c’est tout. Pour juger une cause un juge prend en compte les divers témoins, pas vrai? Alors pourquoi ce qui est bon pour le juge ne serait pas bon pour le sceptique?

À la question “les extra-terrestres existent-ils?” il existe deux réponses: une réponse courte et une longue. Pour faire une réponse courte, on doit répondre que oui, ils existent (à moins de croire que dans tout cet immense univers, il n’y ait qu’une seule planète qui soit habitée: la Terre). La réponse longue dit la même chose que la courte, mais avec plus de maux (pardon: de mots) et un tas d’explications. T’achèterais une grande maison avec plein d’espace partout, pour n’occuper QUE LE SALON, toi? Non? Eh ben celui qui a fait l’univers non plus, figures-toi; ce monsieur n’a pas fait des milliards et des milliards de planètes pour ne peupler que la terre. Simple question de logique!

Voyons, à quoi donc peut-on comparer l’être humain? À un enfant, tiens!: c’est naturel car, quel que soit son âge, chacun de nous fait partie d’une humanité dans l’enfance. Pour un très jeune enfant l’univers se résume à papa-maman. Plus tard, quand il va à l’école, son univers s’agrandit: il réalise qu’il y a plein d’enfants comme lui, et ils ont tous des “papa-maman. Plus tard encore, il apprend que “l’univers c’est super grand, des milliards et des milliards de planètes”, mais il ne se sent pas interpelé: ce qui l’intéresse vraiment, c’est ce qui se passe autour de lui, sur SA planète (quand ça ne se limite pas à son pays). Ce n’est que lorsqu’il devient adolescent (c.a.d. à la veille de devenir adulte) qu’il rumine des questions existentielles: “et s’il y avait de la vie AILLEURS?”.

Historiquement, l’humanité a suivi le même chemin, connu les mêmes étapes que l’individu humain. Dès ses tous premiers débuts, l’Homme a été occupé à élaborer et développer son individualité et sa personnalité, puis à l’affirmer/imposer aux autres. De nos jours cependant, bien qu’il soit encore terriblement égocentrique (et même individualiste), plusieurs choses indiquent que TRÈS BIENTÔT se produira un changement profond en lui simplement parce le temps est venu (j’appelle cela le “changement de regard” parce qu’il verra les choses autrement). L’une d’elles est ce changement d’attitude vis-à-vis de la vie “d’outre-galaxie”.

Il faut savoir que tous les extraterrestres ne sont pas “à mettre dans le même panier”: tout comme sur Terre il y a différentes races (certaines amies, d’autres ennemies), de même ceux que nous appelons “extraterrestres” sont d’origines diverses et habitent différentes planètes, certains sont bienveillants et d’autres, hostiles.

Depuis quelques dizaines d’années, un peu partout dans le monde, l’Homme cherche à savoir s’il y a de la vie sur d’autres planètes ou s’il est seul dans l’univers. Il y a un siècle à peine, personne de sensé n’aurait posé cette question (sauf quelques excentriques ou de rares amateurs de science-fiction). Et comme s’intéresser à autre chose qu’à ce qui se passe sur sa petite planète est signe que  “l’enfant humain” est maintenant devenu ADOLESCENT, il est facile de prévoir que TRÈS BIENTÔT l’adolescent deviendra  ADULTE. Et lorsqu’on entre dans le monde des adultes, il se passe une chose très intéressante: “ON” NOUS TRAITE COMME UN ADULTE –gageons donc qu’il y aura une réponse bientôt car

L’Homme est à la veille de s’apercevoir qu’il n’est pas LE SEUL ÊTRE INTELLIGENT dans ce vaste univers

 

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Origine et avenir de la science

 

 

l'humanité qui monte

 

 

 

Salut ami

Voici une belle histoire sur l’origine de la science; l’important n’est pas de savoir si elle est vraie, mais “est-ce que ça peut t’encourager à être une meilleure personne?”.

Cette histoire, je l’ai contée à quelqu’un un jour, et immédiatement après, il m’a demandé: “avez-vous des preuves?”. C’est ABSOLUMENT sans importance: 100 personnes qui liront cette histoire comprendront 100 choses différentes, et elles sont valables… POUR CHACUN D’EUX. La seule chose qui devrait compter POUR TOI, c’est: “est-ce que cette histoire peut être utile POUR MON PROGRÈS?”. À chacun de décider.

Jadis et pendant plusieurs milliers d’années le SAVOIR était détenu par quelques rares Hommes qui le distillaient aux humains illettrés d’alors sous forme de contes ou de pièces de théâtre; il faut dire que pendant très longtemps 95-96-97% des Hommes ne savaient pas lire: c’était plus une “masse humaine” qu’un ensemble d’individus.

Ce fut ainsi jusqu’à l’antiquité grecque où des philosophes voulurent partager leurs connaissances avec l’ensemble des Hommes (dont beaucoup avaient appris à lire); ils s’aperçurent alors que seule la partie la plus matérielle du savoir pouvait être standardisée, et pas la partie la plus spirituelle (on ne peut pas apprendre à “devenir spirituel”). C’est ainsi que la connaissance cessa d’être globale, et que naquirent la science et la spiritualité.

Comme les connaissances de ceux qui détenaient LE SAVOIR étaient empiriques (= basées sur leur expérience propre) elles variaient beaucoup d’une personne à l’autre. Les connaissances des SAVANTS (ceux qui détenaient la partie matérielle du SAVOIR) étaient basées sur la théorie, ce qui les rendaient plus facilement transmissibles; cette standardisation des connaissances forma les tout premiers balbutiements de la science*.

* LA SCIENCE est encore très jeune (présentement elle a plus de questions que de réponses). Cependant ses récents développements laissent entrevoir un avenir glorieux.

Comme les SPIRITUALISTES acquéraient leurs connaissances spirituelles en expérimentant sur leur propre personne (en observant les divers états de conscience, par exemple), celles-ci n’étaient pas facilement transmissibles, et ne furent jamais “POPULAIRES”. Au début (et pendant un certain temps), les différences entre SCIENCE et SPIRITUALITÉ avaient peu de conséquences: il s’agissait simplement de deux façons différentes de considérer une même chose (= notre  monde).

C’est plus tard que les choses se gâtèrent –graduellement. Pour une raison qu’il ne convient pas de dire ici, quelque chose d’obscur et d’égoïstement dogmatique s’interposa entre SCIENCE et SPIRITUALITÉ, créant un fossé qui les séparait. Avec le temps le fossé s’élargit, et aujourd’hui le divorce entre ces deux SEMBLE irrémédiablement prononcé.

Aujourd’hui l’humanité a vieilli, tout le monde (ou presque) sait lire et peut penser par lui-même. On se rend de plus en plus compte que ce monde est injuste et “irrespirable”. Mais ça, c’est connu et archi connu: depuis si longtemps les conditions de vie sont difficiles, mais les gens ne se révoltaient pas (“C’est comme ça la vie”); en fait, l’idée qu’on puisse se révolter contre la vie leur était complètement étrangère. Ce qui est nouveau, c’est que maintenant beaucoup refusent ces conditions, et c’est général (pas du tout une exception qui touche seulement un groupe ou un pays): les gens N’ACCEPTENT PLUS des conditions qu’ils jugent impossibles, car ils le ressentent comme une profonde injustice. Ils ne sont pas heureux et ILS LE DISENT collectivement: un peu partout ils s’assemblent pour le dire/manifester/protester.

Alors on voit le tableau: c’est un mouvement d’individus réunis ensemble, c.a.d. que c’est aussi quelque chose de COLLECTIF. Bien sûr, ce n’est pur, c’est encore mélangé à toutes sortes de choses –qui servent de PRÉTEXTE pour s’assembler (vie chère, chômage élevé, politiciens incapables, etc.); c’est inévitable au début, mais ça augure bien pour l’avenir: ce sera une humanité remarquable.

Dans toute cette histoire, nous aurons gagné quelque chose de précieux: ce fantastique SAVOIR que quelques individus désintéressés possédaient, il est d’ores et déjà certain que chacun de nous y aura accès. 

Et comme “SAVOIR EST GAGE DE BONHEUR”…

 

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Le lion qui se croyait un mouton


 

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La philosophie pose la question de notre origine (D’où est-ce que je viens?),  mais ce ne sont pas tous les Hommes de chaque génération qui se sentent interpelés: “Mais d’où est-ce que je viens RÉELLEMENT?”. Beaucoup ne comprennent même pas la nécessité de connaître leur origine car ils croient qu’ils la connaissent déjà: “Je sais d’où je viens: je viens de mon père et selon les lois de la génétique, j’ai telles qualités et tels défauts, c’est mon caractère et il est unique”.
 
Et si je n’étais pas qui je crois que suis? Si j’étais BEAUCOUP PLUS? Le conte qui suit (que j’ai déjà conté dans TU ES ÉTERNEL) est une des multiples variantes d’une fable d’Ésope et semble suggérer que notre vraie nature (qui est inconnue de NOUS) est infiniment précieuse et vaut la peine de la chercher. Je vais donc te conter l’Histoire du lion qui se croyait un mouton.
 
Un jour un fermier rentrait chez lui en passant par la forêt et trouva un lionceau qu’il ramena à la maison où il le mit avec ses moutons. Puis le temps passa et le lionceau devint un superbe lion; mais comme il avait grandi parmi les moutons, il se croyait l’un d’eux, naturellement; un jour qu’il était au bord de l’étang, il aperçut son reflet dans l’eau: il réalisa alors qu’il était différent des moutons et pour la première fois poussa un vrai rugissement.
 
Voilà: on est tous des lions qui se croient des moutons (on ne connaît pas sa vraie nature); on se croit mortel simplement parce que le corps meurt, et qu’on croit qu’on est le corps; certains croient même que l’Homme est animal simplement parce que son corps vient de celui de l’animal.
 
Nous ne nous voyons pas comme nous sommes réellement: nous croyons que nous sommes un “mouton” parce qu’autour de nous, il n’y a que des “moutons”. Ce que nous appelons “notre personnalité” n’est pas LE VRAI MOI. Si on y pense, chacun de nos réflexes, chacun de nos défauts et de nos qualités a déterminé ce que nous appelons MOI. Ainsi nous sommes  devenu un mouton parmi les autres dans le troupeau, programmé pour agir comme un mouton, inconscients de notre véritable nature. Il est grand temps de se regarder dans le miroir de l’étang et de se libérer de la fausse image de soi que les contraintes modernes nous ont imposé.
 
IL FAUT RÉVEILLER LE LION QUI EST EN NOUS.
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La vie de l’autre côté

 

la vie de l'autre côté

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C’est LA question que chacun se pose au moins une fois au cours de la vie: “qu’est-ce qui se passe APRÈS la vie?”. Il n’y a pas UNE réponse qui soit vraie pour tout le monde: chacun a la sienne, qui est parfaitement valable POUR LUI (l’erreur commence quand on veut répandre (=“déverser”) sa croyance sur l’autre). Chacun est UNIQUE, non? Alors pourquoi ce qui est bon pour l’un devrait-il être bon pour l’autre? Simple question de logique.

Quand j’étais en 1ère année on m’a appris qu’il y avait trois états de la matière: gazeux, solide et liquide. Puis, quelques années plus tard (au cours de physique précisément), j’ai appris qu’un liquide peut devenir solide ou gazeux si on abaisse ou élève sa température (par exemple, l’eau devient glace ou vapeur selon sa température). Ce que j’avais appris au cours de physique n’invalidait pas les trois états de la matière, mais le précisait. 

Même si on en a l’expérience directe, à quoi sert de dire ce qui se passe après la mort? J’aurais sans doute fait un pitoyable missionnaire car j’ai toujours été plus curieux des croyances (et pensées) de mes semblables que des miennes propres. Cependant, comme ce que je sais au sujet de la vie et de la mort peut être utile à quelques-uns, j’ai décidé de le partager, étant entendu que mes pensées à ce sujet ne sont pas destinées à remplacer les tiennes, mais à les préciser.

Il ne faut pas s’étonner des multiples croyances sur “l’après vie” car tant qu’on ne connaîtra pas vraiment ce qu’est la vie, on ne saura pas non plus ce qu’est réellement la mort; or on est à 100 lieues de connaître la vie. L’autre jour, en parlant de Dieu, j’ai dit que c’était la CONSCIENCE première de tout ce qui existe; c’est vrai, mais c’est aussi LA VIE suprême (et la JOIE suprême, l’AMOUR suprême… tout ce qui est SUPRÊME pour nous: Dieu, c’est LE Suprême). C’est aussi LA VIE (Quand le Christ est devenu conscient d’être divin, il n’a pas dit “Je suis Dieu”, mais: “Je suis la Vie”). Notons aussi qu’âme (= Dieu en chacun) se dit ANIMA en latin (ce qui anime, rend vivant). 

Si Dieu est la Vie, et que Dieu est partout, il en découle que LA VIE EST PARTOUT, logique non? Si donc on croit qu’une chose n’est pas vivante, c’est qu’on n’est pas conscient de la vie qui est là: une chose peut très bien ne pas être vivante EN APPARENCE, mais elle faite d’atomes (comme tout ce qui existe) et un atome, c’est VIVANT. Un atome est l’aspect matériel de “l’INFINI” (l’infiniment petit, alors que DIEU est l’infiniment grand). Descartes avait donc raison de situer l’Homme entre deux INFINIS (l’infiniment petit et l’infiniment grand); sauf que ces deux infinis n’en font qu’un seul.

L’idée que nous faisons de DIEU est  COMPLÈTEMENT, TOTALEMENT, 100% inadéquate, ce qui ne peut qu’être NORMAL puisque, quel que soit son âge, chacun de nous fait partie d’une humanité dans l’enfance. De plus, nous avons tous NÉCESSAIREMENT des qualités ET des défauts. L’idée que Dieu n’aime QUE les qualités en nous, et pas les défauts est UNE IDÉE PUREMENT HUMAINE (inventée DE TOUTES PIÈCES par des humains).

Il faut savoir que la vie humaine sur Terre s’apprête à être TRÈS DIFFÉRENTE très bientôt (c’est DÉJÀ commencé). “Attendez: on ne peut raisonnablement pas y croire; depuis si longtemps on nous a fait accroire tellement de conneries”. Ah, est-ce plus raisonnable de croire que ce monde va continuer comme si de rien n’était malgré de graves pénuries prochaines (eau potable, alimentation, essence, etc.)? Quand il n’y avait que des animaux, et pas encore d’Hommes, ce n’était pas raisonnable de prédire l’arrivée des premiers Hommes; et pourtant ne sommes-nous pas là aujourd’hui?

Ceux qui savent comment fonctionnent la Nature vous diront que les grands progrès de l’humanité se sont toujours produits lors de brèves périodes de crise (suivies de longues périodes d’assimilation dudit progrès). En réalité nous sommes à une de ces périodes de progrès. ET NOUS SOMMES LÀ. Alors nous allons voir, nous allons assister à ce formidable “bond en avant”. En fait, c’est beaucoup plus intéressant que cela, car le progrès se passe EN NOUS (dans nos atomes). Si nous voyions les choses différemment, nous agirons différemment avec elles (par exemple, si nous comprenons que nous avons avantage à prendre soin de notre environnement, nous agirons différemment avec lui). ET NOUS REBÂTIRONS LE MONDE CONFORMÉMENT À NOTRE NOUVELLE VISION.

Mais ce n’est pas tout: dès que la vie cesse d’être la vie, elle devient la “non vie”, c.a.d. la mort; en d’autres mots, la vie ne peut cesser d’être la vie sans devenir la mort. Dès lors on est OBLIGÉ d’admettre (sous peine d’être taxé d’illogisme) que LA VIE EST ÉTERNELLE (et puisqu’on sait que le corps meurt, c’est la preuve qu’on n’est pas le corps).

Voyons! Qu’est-ce qu’on sait encore? Ah oui, il paraît que nous, êtres humains, avons une façon de percevoir les choses qui complique tout (quand tout est pourtant si simple): par exemple, il nous semble tout à fait naturel de dire MA vie, TA vie, SA vie. Mais non, ce n’est pas comme ça du tout: il y a “LA” vie (qui n’appartient à personne en particulier) et elle confère la vie à MON corps, TON corps, etc.; et quand MON corps meurt, c’est qu’elle reprend la vie qu’elle m’avait prêté pour un temps. Trop cool, hein?

Donc on est toujours vivant; simplement, si on n’a plus de corps, on ne peut plus agir dans le monde physique, c’est tout (le corps meurt périodiquement, et si on veut/doit revenir sur Terre, on doit le remplacer). C’est à la base de la croyance en la réincarnation qui est répandue partout sur Terre, sauf dans les religions mono… (monoquoi, déjà? ah oui): monothéistes –Judaïsme, Christianisme et Islam.

Bien sûr il y a ceux (assez nombreux à notre époque) qui ne jugent que sur les APPARENCES: si les apparences montrent que le corps n’est plus vivant, ils croient qu’on est mort. De toute évidence, juger sur les apparences (au lieu de la RÉALITÉ) est source d’erreur: le corps, c’est comme un appareil-radio: si mon appareil-radio ne fonctionne plus, je ne peux plus entendre la musique que j’entendais très bien avant, mais ça ne veut pas du tout dire que l’orchestre n’existe plus.

Quand cette idée que “LA MORT N’EXISTE PAS RÉELLEMENT” se généralisera (c’est sûr de venir BIENTÔT) une nouvelle page  sera véritablement tournée pour l’humanité (attention: ce ne sont pas des spéculations ou “des imaginations”): la science appelle “planétarisation” la période actuelle qui verra l’émergence d’une “humanité nouvelle” (c’est son mot). Depuis 2002 un néologisme a même été créé pour tenir compte de “l’impact humain”: ANTHROPOCÈNE (du grec anc. Άνθρωπος, anthropos: être humain); l’anthropocène est l’ère géologique actuelle qui succède à l’holocène (période du quaternaire s’étendant sur les 10,000 dernières années).

Bien sûr, il y a des choses qui SEMBLENT mourir ou qui SEMBLENT dépourvues de vie, mais ce n’est qu’une APPARENCE seulement (et pas la réalité): elles  sont très vivantes, mais ne manifestent aucune vie, alors nous disons qu’elles sont mortes. Je répète: TOUT EST VIVANT, et c’est nous qui ne voyons pas la vie qui est là. “Voir la vie qui est là” est beaucoup plus simple qu’on ne croit généralement (nous compliquons les choses), et en plus c’est très naturel (j’appelle cela “changer de regard”, “voir autrement”).

Tout le monde sent que “demain ne sera pas la continuation d’aujourd’hui, ce sera très différent” (il faudrait être aveugle pour ne pas le voir). Mais s’il n’y aura pas continuation, ça ne veut pas dire qu’il n’y aura pas continuité: les conditions qui prévaudront demain, c’est aujourd’hui qu’il fôt (zut, une fôte:) faut les préparer.  ET C’EST PRÉCISÉMENT CE QUE L’ON VOIT. De nos jours un très grand nombre de personnes prouvent par quantité de petites actions quotidiennes qu’ils ont à coeur la qualité de leur milieu de vie (environnement).

Comme une chose mène à son contraire, on remarque aussi un intérêt assez généralisé des gens envers leurs semblables (il n’est pas rare que quelqu’un dise qu’il veut “travailler avec le public”, “aider les autres”, etc.). Bref, malgré un individualisme certain, les choses sont très encourageantes pour un avenir proche. Si les choses continuent comme ça, à la question: “qu’est-ce qui se passe APRÈS la vie?” on pourra répondre

“C’est la vie qui continue”

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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