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La matière




 Le matérialisme considère que la matière est le fondement de toute réalité (par opposition au spiritualisme pour lequel l’esprit domine la matière). Selon cette définition la science est matérialiste et des millions de personnes, sans êtres scientifiques, le sont aussi. Mais qu’est-ce au juEinsteinste que la matière?


Depuis longtemps on s’est aperçu que la matière est composée d’atomes, et qu’un atome, mon Dieu, c’est quelque chose de très “matériel”; jusqu’à un jour de 1905 où un modeste employé du Bureau des brevets de Berne, passionné de physique, prouva que la matière est convertible en énergie; son nom était Albert Einstein.  Autrement dit, la matière, tout en étant de la matière, est aussi de l’énergie (et de l'énergie, ce n'est pas matériel -sauf pour la science bien sûr, où il n'est rien qui ne soit matériel ou issu de la matière).


Par la suite la science a fait des pas de géant dans la connaissance de la matière (mais elle est encore TRÈS loin de connaître toutes ses merveilles)  Par exemple, elle peut convertir certains métaux lourds (comme l’uranium) en énergie –par un processus très compliqué et à un coût astronomique- mais c’est toute la matière qui est “de l’énergie matérialisée”, pas seulement l’uranium.




Aujourd’hui, la science est allée beaucoup plus loin encore: en poussant ses recherches sur l’atome elle a découvert la mécanique quantique (mécanique des corpuscules): l’électron qui tourne autour de son noyau N’OBÉIT PAS à la loi de la mécanique générale (gravitation etc.); son mouvement est IMPRÉVISIBLE (c’est la science qui parle). En fait l’électron se comporte d’une façon tout à fait inattendue (plus de détails sur L’origine de l’univers et Les atomes).


Super intéressant, cette constatation! La science, par sa propre méthode et sa propre recherche, découvre des choses qui auparavant n’étaient enseignées que par la spiritualité (et de manière empirique -c.a.d. variant d’un “maître” à l’autre- ce qui la rendait souvent moins précise que la science -qui, elle, est "standard").


Mais pas surprenant, si l’on y pense. Il n’y a pas deux univers (celui de la science et celui de la spiritualité): il n’y en a qu’un; alors quoi d’étonnant si science et spiritualité arrivent toutes deux à une conclusion semblable en étudiant LE MÊME univers? Ce qui serait étonnant serait qu’elles décrivent deux univers en en étudiant un seul.

 
Ici quelques mots pour dire que religion et spiritualité sont DEUX choses distinctes et n’ont RIEN en commun. La première est dogmatique, tandis que la seconde est basée sur l’expérience (comme la science). L’une CROIT en Dieu et à une âme éternelle, tandis que l’autre n’a pas besoin d’y croire: elle en a  l’expérience vivante.


On ne peut qu’applaudir aux découvertes de la science. Mais si elle en est arrivée là, c’est parce que dès le début elle s’est limitée à un seul plan: le plan matériel qui, pour la spiritualité, est la base où reposent tous les autres plans.


Dès le commencement la science s’est efforcée de connaître la base matérielle des choses; elle a donc perdu de vue (ou était incapable de voir) la racine des choses: l’esprit formidable qui anime tout. Et étant incapable de la voir, elle a nié son existence.


En fait la science progresse par preuves; elle doit d’abord prouver l’étape actuelle avant de pouvoir aller à la prochaine. Elle n’a jamais dit que Dieu n’existe pas, elle cherche à comprendre, c’est tout; elle a dit: “Dans l’état actuel de nos recherches, nous sommes incapables de dire si Dieu existe”.


Plus on apprend à connaître le monde où on vit, plus on est admiratif devant ses merveilles et, comme disait une amie blogueuse: Il n’y a pas d’horloge sans horloger.
 
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Science ou spiritualité: qui dit vrai?

Tournesol Salut ami

UNE conception de l’univers (celle de la spiritualité) dit que tout ce nous voyons est issu de L’UN (qu’ils appellent parfois Dieu) et donc que l’unité est sa loi. Peut-être est-ce vrai, peut-être que non: si je ne cherche pas sérieusement à comprendre ce que cela veut dire, je ne le saurai jamais.

Tout d’abord, une simple constatation: la science n’a JAMAIS dit que Dieu n’existe pas. Elle dit: “dans l’état actuel de nos recherches, nous sommes incapables de savoir si Dieu existe”; mais des Hommes qui se disaient matérialistes ont faussement conclu que “DIEU N’EXISTE PAS”.

Si l’on regarde les choses d’une façon objective, on voit clairement que ce qui importe, c’est de comprendre le monde dans lequel on vit, pas de savoir qui de la science ou de la spiritualité a raison. De toutes façons, personne n’a raison à 100% ou tort à 100%. JAMAIS.

La science sait ce qu’elle dit (et peut le prouver) lorsqu’elle parle de la matière, mais fait piètre figure lorsqu’elle parle de choses abstraites (comme Dieu ou l’âme), qui ne sont abstraites  que pour elle. C’est là que la spiritualité peut nous aider.

Pour la spiritualité, Dieu et l’âme sont “le pain quotidien”: elle peut en parler “en long et en large”. L’esprit est son domaine, tout comme le domaine de la science est celui de la matière. “Est-ce que l’âme existe?” La science dit “Je ne sais pas” tandis que la spiritualité répond “Oui” et énumère les multiples avantages qu’il y a à connaître ce véritable moi qu’est l’âme.

Une des choses TRÈS intéressantes (et même gratifiantes) lorsqu’on étudie THÉORIQUEMENT la spiritualité, c’est de voir que toutes ces lois physiques qu’a découvert la science émanent d’une loi unique (qu’on appelle l’absolu ou l’un).

Connaître l’UN théoriquement est certes très “intéressant pour CONNAÎTRE mais pas pour AGIR –découvrir, inventer”. Par exemple, c’est intéressant de savoir que “tout est énergie”, mais c’est peu pratique. Ici la science est très utile: elle remarque que dans l’énergie, il y deux pôles: positif et négatif, recrée les conditions, et invente… la batterie électrique (de l’énergie portative).

Mais ce qui est vraiment intéressant, c’est d’explorer toutes les facettes du monde dans lequel on vit (pas seulement la facette matérielle). La science, pour avoir une connaissance détaillée du monde matériel (l’atome par exemple) a dû se concentrer sur lui, et a donc perdu de vue les multiples autres plans (et étant incapable de les voir, nie leur existence). Le défaut de la science n’en est donc pas un de nature; elle est myope (ne voit pas TOUTE la réalité), mais une myopie, ça se guérit.

D’ailleurs les savants de l’Antiquité reconnaissaient tous que l’univers était formé de plusieurs plans d’existence (qu’ils soient matérialistes ou non). Le matérialiste Démocrite après avoir étudié ces plans en a déduit que la matière était formée d’atomes (de l’énergie concentrée) sans jamais en avoir vu aucun, puisque le microscope électronique n’existait pas. (Sur la connaissance des anciens savants matérialistes de multiples plans d’existence voir PHYSIS).

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L’origine de l’univers

big bang

Tournesol Salut ami Comment l’univers physique est-il né? Au cours des années les réponses ont varié selon la compréhension limitée mais grandissante de la science.

Je passe sur les modèles Aristotélicien et Copernicien de l’univers. Pendant longtemps et jusque vers 1950, la science était d’avis que notre univers a toujours été ainsi, et puisqu’on n’anticipait rien de particulier, serait probablement toujours ainsi. Bien sûr on avait bien observé divers mouvements (comme l’éloignements des galaxies), mais il y avait une sorte d’équilibre ou de stabilité qui faisait que rien ne pouvait arriver là. C’est ce qu’on a appelé la “théorie de l’état stationnaire”.

Il faut dire qu’en ce temps-là on avait l’idée d’une sorte de développement organique: après une rapide croissance, l’univers atteignait le maximum de son développement et restait ainsi pendant très longtemps (on n’en pouvait connaître la durée), puis on supposait qu’il y aurait un déclin rapide. De sa naissance et de sa mort, on ne connaissait rien.

De nos jours, la modèle cosmologique le plus accepté est la théorie du “Big Bang” (d’abord proposée par le physicien britannique Fred Hoyle): il y a 13,7 milliards d’années l’univers connut une période d’une densité inouïe -et par conséquent d’une chaleur extrême- qui marqua le début de son expansion. (Voir AstroSpace qui explique cela très bien)

(Ici je passe sur les découvertes scientifiques qui ont mené à la conception moderne du Big Bang –et qui sont très techniques). Qu’il me suffise de dire que du fait de l’expansion l’univers était originellement plus dense et plus chaud, et s’est graduellement considérablement refroidi; à notre époque si les planètes sont encore relativement chaudes, l’espace, lui, est glacial; sa densité a aussi beaucoup diminué (quelques atomes par mètre cube).

Or on remarque qu’en remontant à l’origine de l’univers, les lois de la physique générale cessent soudainement d’être vraies pour laisser place aux lois de la physique quantique. C’est là ou des chercheurs comme Stephen Hawking peuvent nous surprendre: se basant sur les “trous noirs”, il a émis l’hypothèse que ce qui “avale” la matière peut aussi “régurgiter” de la matière, il est d’avis que la matière de l’univers viendrait “du néant” ou d’on ne sait où (= QUE LA SCIENCE NE CONNAÎT PAS). C’est ce qu’on appelle la “cosmologie quantique”.

Hawking (et sa cosmologie quantique) est sur le point de prouver que la matière est apparue de “de quelque part” et que tout l’univers origine de UN atome; et Albert Einstein avait prouvé que l’atome est convertible en énergie.

Conclusion inévitable: tout l’univers matériel est potentiellement de l’énergie  (voir Les atomes où j’explique que la mécanique quantique et la mécanique générale sont incompatibles). Ça veut dire que la gravitation, la propagation du son, l’optique, etc. NE SONT PLUS VRAIS au niveau de l’atome; là, la lévitation, bi-location, etc. sont possibles en théorie (= pas encore prouvé par la science).

Mais il y a plus: deux textes très anciens de l’Inde nous éclairent sur l’origine de l’univers. Comme  tout texte important de l’époque, ils parlent un langage mystique que nous ne comprenons plus cependant. L’un dit que l’oeuf primordial s’ouvrit pour donner naissance à l’univers. L’autre parle de “la respiration de Brahma”; traduit en langage moderne: la phase d’expansion de l’univers (expiration) sera suivie d’une phase de retour à l’origine (inspiration).

Je trouve cela très intéressant. Exactement comme si l’antique mysticisme et la science moderne avaient découvert la même chose, chacun en suivant son chemin propre; cela montre que l’exclusion mutuelle de la science et de la spiritualité, telle qu’on la voit aujourd’hui, n’est que superficielle: en réalité elles disent la même chose en employant une méthode et un vocabulaire différents.

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Les atomes

 

 Tournesol Salut ami

Puisque la réalité ultime montre que tout est fait d’atomes, d’une part, et que je ne perçois pas directement les atomes, d’autre part, je suis forcé de conclure que je ne perçois pas la réalité. Par exemple, quand je converse avec Sylvie, je ne la vois pas comme elle est réellement. En fait je ne vois RIEN de la réalité des êtres et des choses tels qu’ils sont réellement; je ne vois d’eux QU’UNE APPARENCE de réalité telle que me la montrent mes lunettes mentales déformantes. Rien de surprenant là puisqu’aucun être, en regardant LE monde, ne voit la même chose: une balle de laine est très différente pour un chaton ou pour un humain.

Mais attention: ça ne veut pas dire du tout que les apparences n’ont aucune valeur et qu’il faille les abandonner pour la réalité; ça c’est une erreur courante chez les apprentis spiritualistes. La spiritualité dit: “le monde est illusion”, et ils croient que le monde est faux, et qu’on doive s’en détacher pour trouver la réalité unique. Mais non, ce n’est pas comme ça du tout: le monde existe réellement, mais puisqu’il est faussement vu, il faut s’entraîner à percevoir la réalité qui est derrière.

“Percevoir la réalité derrière les apparences” est assez difficile car ça va à l’encontre de nos habitudes de perception (mais c’est très naturel par contre);  cela exige généralement plusieurs années et le résultat vaut cent fois le temps investi.

Mais ce que la science connaît de l’atome a beaucoup varié avec les années. Il y a plusieurs dizaines d’années elle croyait que le mouvement de l’électron autour de son  noyau obéissait à la loi de gravitation tout comme la planète autour de son soleil. Aujourd’hui on sait qu’il n’en est rien, le mouvement de l’électron étant imprévisible (ne suivant aucune trajectoire particulière, apparaissant et disparaissant “au hasard”, et même étant à deux endroits en même temps) contrairement à celui de la planète.

Observant la nature imprévisible de l’atome, le matérialiste Haeckel émit l’hypothèse qu’il faisait montre d’une “intention” et parla d’une “volonté dans l’atome”. Ici la  science et  la spiritualité semblent bien proches.

Aujourd’hui la science a découvert que la mécanique quantique –des corpuscules/particules- est INCOMPATIBLE avec la mécanique générale (incluant la loi de gravitation): la mécanique quantique semblant libre (n’obéissant à aucune loi), tandis que le système de mécanique générale semble emprisonné dans une régularité prévisible qui permet d’en tirer des lois physiques.

On croit rêver: la science et la spiritualité arrivant aux mêmes conclusions,  chacune en suivant son chemin propre. “Ceux qui savent” pressentent même une complémentarité féconde, pendant que dans nos sociétés modernes les partisans du matérialisme s’opposent aux partisans de la spiritualité –et vice-versa (une opposition d’opinions bien sûr).

 

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OBLIGÉ d’agir

 

Tournesol Salut ami 

Dans ce monde matériel, on AGIT de la naissance à la mort (même respirer ou penser sont des actions). En fait la spiritualité (qui connaît plusieurs plans ou mondes) appelle le plan matériel “le monde de l’action”. Elle ajoute qu’on est PRISONNIER/ESCLAVE de l’action, et tout ce qu’elle nous  dit de faire, c’est pour LIBÉRER l’Homme (mukti, moksha). Mais comment peut-on être prisonnier de l’action (ou dit d’une façon plus moderne, en quoi est-on obligé d’agir)?

Quoi que je fasse (lire un livre, jardiner, etc.), ce n’est jamais une action libre et indépendante. Mon action a une cause et une conséquence. TOUJOURS. Une action qui n’est causée par rien (c.a.d. qui n’a pas de cause) et qui n’a aucune conséquence, ça n’existe pas.

Je ne suis pas libre d’agir ou de ne pas agir: j’y suis OBLIGÉ. On peut ne pas en être conscient et croire qu’on agit librement, mais c’est comme ça pour TOUTES les actionsfumer, même les plus banales. Fumer une simple cigarette, par exemple.

Peut-être que je fume ce matin-là PARCE QUE je suis particulièrement nerveux. Je suis nerveux PARCE QUE j’ai eu une mauvaise nouvelle: le directeur me renvoie; je perds mon emploi.  Il me renvoie PARCE QUE les affaires vont mal. Elles vont mal PARCE QU’il n’y a plus de contrats. Il n’y a plus de contrats PARCE QUE c’est la crise économique. C’est la crise économique  PARCE QUE… (et ainsi de suite ad nauseam).

Si je regarde mon action de près (n’importe quelle action, pas seulement fumer), jPas libree m’aperçois qu’elle n’est qu’une réaction en réponse à l’action qui l’avait précédé, qui elle-même était une réaction à l’action précédente, etc. Je peux croire que j’ai décidé librement d’agir, mais en réalité mon action est un tout petit maillon d’une immense chaîne d’actions/réactions.

Je prends alors conscience que, quoi que je fasse, mon action a été prédéterminée par l’action  précédente: je croyais agir mais en fait je réagissais. Une fois que je me suis aperçu de cela (la plupart ne le voient pas, ils croient qu’ils ont décidé de leur propre chef), qu’est-ce je peux faire?

Eh bien, je peux entreprendre une démarche pour me libérer de la longue chaîne des “actions/réactions”, mais pour chercher à me libérer, le pré-requis est de savoir que je suis prisonnier. J’en parlerai prochainement dans Les conséquences de nos actions.

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Histoire à méditer

 

 Tournesol Salut ami

Ce que je me propose de dire aujourd’hui est si nouveau que je ne sais pas comment le dire. Alors, au lieu de publier un article propret, bien ficelé et présenté comme il se doit (avec début, développement et conclusion), je vais le jeter comme ça me vient sur la table; à chacun de l’accepter ou non si ça lui convient.

Je ne démontre rien, je ne cherche pas à prouver quoi que ce soit; en fait “le fardeau de la preuve” (pour utiliser un terme juridique) repose sur toi, ami. Bien sûr, ce que je dis est vrai pour MOI car c’est MON expérience, mais TOI seul peut sentir si ça t’es utile (c’est TA vie, après tout). Ce que je dis n’a aucune valeur historique car je ne suis pas attaché à l’exactitude des faits matériels; par contre, j’ai à coeur d’expliquer les choses d’une manière qui aide à comprendre (et pour ce faire j’utilise un langage non-rationnel qui exclut les exactitudes historiques car elles m’apparaissent très “mentales/intellectuelles”). Mais assez de mises-en-garde littéraires, voici une “histoire à méditer”:

Le monde est rempli de violence, de haine et de crime; et tout cela mène à un inconfort extrême, une sorte de souffrance (surtout morale, mais qui se traduit parfois physiquement) qui fait que la vie n’est pas une jouissance permanente, mais une sorte d’alternance bonheur/malheur (heureusement qu’il y a ces moments de joie, sinon personne ne voudrait vivre).

Bien sûr, tous ne perçoivent pas cette souffrance de vivre; seuls quelques-uns y sont sensibles. C’est pour eux que la spiritualité a inventé tous ces moyens: s’identifier à la joie ineffable, transformer la souffrance en joie, etc. Jusqu’à tout récemment, toutes les spiritualités du monde n’avaient qu’un but: établir dans  leurs adeptes un état de joie permanente qui transcende toute forme de souffrance. Leur raisonnement était simple: puisque le monde est souffrance, détachons-nous du monde et élevons-nous vers la joie sublime que nous concevons.

Depuis quelques dizaines d’années, une nouvelle forme de spiritualité a tranquillement fait son apparition. Elle est encore assez faible (comme tout nouveau-né), mais elle grandit rapidement, et surtout elle a un tel pouvoir de transformation terrestre que d’ici quelques dizaines d’années à peine, elle fera l’unanimité partout dans le monde (pour elle il n’y a pas des matérialistes et des spiritualistes, il n’y a que des êtres humains).

En fait, il n’y a pas deux spiritualités: la “traditionnelle” et la “nouvelle”, il n’y en a qu’une (l’Absolu n’est pas plus Absolu maintenant qu’il l’était, disons, il y a plusieurs milliers d’années). C’est l’humanité qui a vieilli/progressé/évolué, alors “on” nous donne une “nouvelle” FORME de spiritualité, mieux adaptée à nos besoins.

Cette spiritualité nouvelle, j’en reparlerai amplement, mais que j’en parle ou non, qu’on y croit ou pas ne change rien car elle est en train de croître (TRÈS rapidement) dans les atomes –ou les cellules???- DE TOUT LE MONDE. Et lorsqu’elle aura suffisamment grandie à l’insu de tout le monde, elle sortira au grand jour. C’est pour cela que je disais et répétais que

 

DEMAIN SERA PLUS BEAU QUE NOS PLUS BEAUX CONTES DE FÉE

 

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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