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Bonjour

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 Salut ami3 Chacun de nous a quelques amis proches, de rares ennemis (rivaux, compétiteurs) qu’il aime détester, et une foule de personnes leur sont plus ou moins indifférentes (tel le commis de l’épicerie où il va habituellement). Et bien sûr ça nous semble normal (“Hé ho, c’est comme ça la vie, soyez réaliste, enfin!”) Mais que se passerait-il donc si, au lieu d’un anonyme, ce commis devenait pour nous… une personne?

Il y a quelque temps une amie blogueuse m’a rappelé une chose très vraie, mais que j’avais tendance à oublier: “Un seul sourire, un seul mot d'amitié et encore mieux d'amour, et tous les nuages sont dissipés”. Le lendemain, sans raison particulière, une autre amie est venue sur mon blog et comme ça, juste pour le plaisir, m’a dit bonjour.

Ce geste passablement banal m’a donné à réfléchir. D’habitude c’est le contraire qui se passe: je suis au bout “distribution”,  c’est moi le “garçon donneur” occupé à distribuer encouragements et paroles d’amitié, et je ne m’attend pas à recevoir. Alors j’avais oublié comme ça fait plaisir de se faire dire bonjour. Et je me suis surpris à rêver (on peut rêver,non? Avant d’être réalité, tout accomplissement humain n’a-t-il pas commencé par être un rêve?):

Comme ce sera beau le jour où il n’y aura plus d’indifférents nulle part, où l’étranger ne sera plus un étranger, mais “un semblable”. D’ailleurs la Terre (qui est beaucoup plus sage que l’Homme, son enfant chéri) a décidé de nous montrer qu’il n’y a qu’une seule humanité: de nos jours il y a ce que j’appelle “la Grande Migration”: des Hommes de tous les pays migrent dans tous les pays. C’est comme si la Terre  s’amusait à mélanger tous ces humains et leur disait: MAIS VOUS NE VOYEZ DONC PAS QUE VOUS ÊTES UNE SEULE RACE?

Aujourd’hui cette idée d’une seule humanité fait son chemin. Le phénomène est même irréversible. En visitant des blogs j’ai été étonné par le nombre de gens qui se disent citoyens du monde. On peut penser que “c’est une belle idée, mais quand il voyage, il a besoin de son passeport comme tout le monde”. Eh bien on se trompe.  Bien sûr officiellement on est encore loin du “citoyen du monde”. Mais ça va changer, ça peut même changer très vite. Et puis, toute réalité humaine n’était qu’une idée avant d’être réalité, non?

Partout sur la planète les événements s’organisent pour obliger tous les peuples à une solidarité inconnue dans l’histoire de l’humanité. Et on est forcé de constater que C’EST ENSEMBLE QU’ON EST LE PLUS FORT, pas en se divisant en factions et en se faisant la guerre.

Alors on voit tremblements de terre, inondations, volcans ou marées noires, et on se lamente: J’ai tout perdu: que vais-je devenir? Ou bien on croit que c’est un accident, un pur hasard ou un coup du sort.  Le fait est que l’Homme est ainsi fait qu’il a besoin d’avoir un problème à résoudre pour pouvoir trouver la solution et ainsi apprendre/progresser. Alors on peut dire qu’il en a constamment des problèmes à résoudre! Mais ce n’est pas un hasard ou un accident du tout, comme on croit: c’est une grâce.

Cette grâce désorganise notre vie (qui n’est pas intéressante d’ailleurs, puisqu’on ne cesse de s’en plaindre) afin que nous soyons libres et ouverts à la magnifique vie qui est imminente (un peu comme la graine qui doit d’abord pourrir afin de germer). Cette “nouvelle vie”. elle ne va pas apparaître toute prête comme par magie (“Et une nouvelle vie! Une!”) Ça ne va pas nous tomber “tout cuit dans l’bec”. Non! C’est nous les Hommes qui allons la bâtir. Seulement, toutes ces catastrophes auront fait de nous une espèce solidaire, capable de la bâtir, cette nouvelle vie.

Voilà, ami, ce qu’un simple bonjour m’a inspiré. Si ce rêve te plaît, pourquoi ne travaillerais-tu pas à en faire une réalité?

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Les racines de l’Homme

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Salut ami Pour pouvoir croître, étendre ses branches et s’épanouir, une plante doit plonger ses racines dans le sol. Une plante sans racines, ça ne peut tout simplement pas exister. ET DE LA QUALITÉ DU SOL DÉPEND LA QUALITÉ DE LA PLANTE.

Un Homme, c’est comme une plante: s’il veut exister, il est absolument nécessaire qu’il y ait quelque chose d’où il tire son existence (ou plus exactement, qui lui permette d’exister). Beaucoup de personnes ne croient pas au divin; on ne peut les blâmer de rejeter la description puérile de Dieu véhiculée par la religion.

Mais ne pas croire au divin sous prétexte que certains de nos semblables (qui sont prêtres, pasteurs, imams ou rabbins) en donnent une idée puérile, est extrêmement limitatif: ça nous donne une connaissance incomplète et forcément inadéquate de la réalité. Ainsi croire que l’Homme résulte de ses gènes ou de son hérédité nous donne une perception erronée: on croit alors que l’Homme est son corps, et il en découle une conséquence inéluctable: quand le corps disparaît, l’Homme disparaît.

Et puisqu’on croit que l’Homme est son corps, il n’est pas question de croire en une hypothétique âme: “aucun bistouri n’a jamais révélé une supposée âme, voyons; soyez réaliste enfin!”. Croire cela est l’équivalent de croire que la musique que j’entendais dans mon appareil radio n’existe plus parce celui-ci ne fonctionne plus. On ne rit pas parce qu’on comprend que quel que soit son âge, tout Homme fait partie d’une humanité dans l’enfance (l’humanité n’existe que depuis 3-4 millions d’années alors que la Terre en a 4,5 milliards) et comme tel, ne peut avoir qu’une “conception d’enfant” du monde qui l’entoure.

Il devrait donc être évident que si nous existons, c’est que “nous avons nos racines fermement plantées dans le sol”. Ce sol, c’est le divin. Et puisque “DE LA QUALITÉ DU SOL DÉPEND LA QUALITÉ DE LA PLANTE”, nous pouvons donc en déduire sans crainte de nous tromper que NOUS SOMMES TOUS D’ORIGINE DIVINE (et non matérielle).

Ce sol primordial, ce divin qui permet à tous les êtres d’exister et les nourrit, je ne sais pas ce que c’est, c’est tellement plus grand que moi que je ne comprendrai jamais. Mais ça existe. Il est absolument certain que ça existe. Nous n’existerions même pas sinon. En fait on peut dire que la preuve que le divin existe, c’est que le monde existe (donc nous aussi). Il n’y a rien qui ne soit le divin.

Le divin, c’est TOUT ce qui existe

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Qualités et défauts (1)

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Salut ami

Nous, Hommes, avons une caractéristique qu’aucun être terrestre ne possède: nous savons aisément distinguer ce qui est bien et ce qui est mal. Et c’est du bien et du mal que j’aimerais parler aujourd’hui, ou plus exactement de leur action sur notre caractère que nous appelons qualités et défauts.

Nous avons l’habitude de dire: J’Ai telles qualités et tels défauts; c’est MON caractère, JE suis fait comme ça. C’est une façon courante de penser, mais c’est une mauvaise façon (plus exactement ça montre le jeune âge de l’humanité). En fait qualités et défauts existent indépendamment de nous. Avant que nous naissions ils existaient, et longtemps après que nous serons morts ils existeront encore. Ils n’ont pas besoin de nous pour exister.

Simplement, à cause de l’ego dont nous sommes tous affublés, nous avons pris l’habitude d’accueillir en nous certains de ces qualités/défauts, et nous disons: ce sont MES qualités, MES défauts, c’est MON caractère. L’ego en nous s’approprie les choses (tout comme nous ne possédons pas ce corps que nous utilisons; il nous a été PRÊTÉ à la naissance et nous devrons le RENDRE un jour).

Nous croyons que le corps nous appartient, alors quand il meurt nous sommes convaincus que c’est nous qui mourons. Mais c’est faux! Complètement, 100% faux. Nous croyons que qualités et défauts nous appartiennent, alors nous avons honte des uns et sommes fiers des autres. Quand j’étais plus jeune j’ai connu une jolie blonde aux yeux d’un bleu magnifique; elle se savait belle et cela la rendait presque insupportable. Je m’étais alors demandé comment on peut se réjouir de quelque chose que l’on ne contrôle pas ou dont on n’est pas responsable: elle n’avait pas décidé: je vais naître belle, n’est-ce pas, elle était était née comme ça, c’est tout (c’est son hérédité ou ses gènes qui ont décidé pour elle), alors pourquoi en être fière? De même les défauts: si je suis avare ou nerveux, je ne l’ai pas voulu, “on m’a fait comme ça”, alors pourquoi aurais-je honte de ce que je suis?

Si “distinguer les choses en bien et mal” a été à l’origine d’un effroyable bouleversement intérieur pour l’Homme (l’animal n’avait pas cela du tout: il vivait en harmonie avec la Nature), il est inutile de tenter de retourner en arrière et de régresser au rang d’animal (d’ailleurs la Nature ne régresse pas: elle ÉVOLUE, progresse et nous pousse en avant).

Cette capacité de voir le bien et le mal en toute chose est à la fois une bénédiction et une terrible chose: à cause d’elle nous pouvons CHOISIR (aucun animal ne le peut). Du poisson à l’oiseau et au mammifère, en passant par l’insecte et le reptile, tout animal est partie intégrale du monde dans lequel il vit. Certes il peut agir et réagir dans ce monde (et subir les conséquences de ses actions/réactions), mais il ne peut aller à l’encontre des lois du monde dans lequel il vit car il en fait partie.

Avec l’Homme, c’est différent. Parce qu’il peut distinguer le bien et le mal, il a le choix: il peut faire la bonne chose ou il peut faire la mauvaise chose (toutes deux volontairement ou involontairement, par ignorance). Et, tout comme l’animal, il subit les conséquences de ses actions/réactions. Mais comme il peut choisir et se tromper (s’il fait le mauvais choix), ces conséquences sont plus malencontreuses pour lui.

Mais pouvoir distinguer le bien et le mal est aussi un énorme avantage pour l’Homme. C’est comme s’il avait toujours avec lui une boussole qui lui indique s’il s’éloigne ou s’il se rapproche du bonheur (grâce à cette boussole l’Homme est CERTAIN d’être pleinement heureux un jour).

J’ai déjà expliqué que tout dans ce monde est potentiellement divin (chacun de nous aussi). Mais ce n’est qu’en devenant conscient de sa véritable identité (le VRAI moi qui est d'origine divine, et non mortelle comme le corps) qu’on peut découvrir cela. Aussitôt qu’on l’a découvert, tout devient divin: nous-mêmes d’abord, mais aussi tout ce magnifique monde qui nous entoure: amis et parents, maison et vêtements, etc. Et on n’a JAMAIS quitté le monde physique pour cela. Autrement dit, tout est parfaitement matériel.

“Maintenant tout est différent, et pourtant tout est resté pareil” (dicton zen)

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La force divine

 
 
 
Salut ami 
On sait en théorie qu’il y a UNE SEULE humanité; mais on ne vit pas comme s’il y avait une seule humanité; on vit comme s’il y avait 6 milliards d’individus distribués dans 195 pays. Et comme si cette division ne suffisait pas, chaque individu a sa pensée propre qu’il oppose parfois à d’autres pensées (c’est UNE UNIQUE faculté: le mental, qui permet nos milliards d’idées contradictoires, et parfois opposées). C’est ainsi que dans chaque pays on retrouve des personnes qui disent croire en Dieu et des personnes qui disent ne pas croire en Dieu.

On appelle les premiers CROYANTS et les autres MATÉRIALISTES ou AGNOSTIQUES. Si l’on regarde de près ce Dieu, on se rend compte que tous le personnifient (= croient que c’est une sorte de personnage un peu géant assis dans le ciel et occupé à surveiller les Hommes: “Tiens! Celui-là a fait un péché!): les uns croient dur comme fer à un Dieu qu’ils n’ont jamais vu mais dont ils se font une idée très inadéquate (pour ne pas dire puérile), tandis que d’autres rejettent catégoriquement cette conception puérile.

Il y a à peu près deux ans, croyant naïvement en donner une image plus juste, j’ai même décidé de dire “le divin” au lieu de “Dieu”. En vain puisqu’on s’est tout de suite habitué à mon vocabulaire (“Quand il dit le divin, ça veut dire Dieu”). J’utilisais un mot différent, mais on comprenait de la vieille manière (la conception habituelle de Dieu m’apparaît comme puérile et obsolète).

Il fallait donc en donner une image plus juste et plus exacte qui rallierait à la fois croyants et matérialistes –c.a.d. les êtres humains dans leur ensemble. Or il y a une chose intéressante: c’est que ce divin que personne n’a vu n’est pas un personnage, c’est une force (une force sans laquelle rien n’existerait, un peu comme sans oxygène aucun corps ne pourrait vivre).

En fait j’ai dit et redit que notre véritable nature est divine, et que “nous pouvons tout ce que nous ne pouvons pas” (disent ceux qui savent). Mais il y a un hic. C’est que cette “véritable nature” est une inconnue pour nous (sauf rares exceptions), nous ne la connaissons pas car elle est encore inconsciente. Pour la trouver, il faut donc la chercher; et pour chercher quelque chose, il faut d’abord croire que ça existe. Le problème, c’est que si on est matérialiste, on ne ne croit pas à notre nature divine; pourquoi la chercherait-on alors? Logique, non?

Mais attendez! Il y a bien l’exemple de tel ou tel navire qui a coulé il y a plusieurs siècles, et dont on recherche l’épave remplie d’or sans jamais l’avoir vue (bien sûr, dans ce cas on a des raisons d’y CROIRE –récits, cartes). “Mais chercher le divin!?! Pas très réaliste!” Eh bien, ceux qui cherchent le divin, c’est qu’ils ont des raisons d’y croire aussi: témoignages, miracles. Alors, où est la différence?

Il y a une chose qui, si on le savait (et si on le comprenait VRAIMENT), pourrait changer toute notre vie: IL N’Y A RIEN D’AUTRE QUE LE DIVIN puisque LE DIVIN, C’EST TOUT CE QUI EXISTE (minéral, végétal, animal et humain: TOUT). Ça veut dire que TOUT ce que nous voyons est du divin qui s’ignore. Et ça élimine toute conception d’un personnage plus grand que nature. Dieu en hébreu se dit ELOHIM (אֱלֹהִים); et ELOHIM est un pluriel: tout ce qui existe (donc nous aussi) est divin. Simplement, pour des raisons dont je parlerai un jour, nous sommes INCAPABLES de nous en apercevoir.

Il est donc tout à notre avantage de connaître notre monde (le connaître vraiment). Qu’est-ce que le divin? Présentement, on connaît la moitié de l’équation: TOUT EST FAIT D’ATOMES. “Seule une APPARENCE nous montre une montagne, une maison, un chien ou un Homme, dit la science, en réalité il n’y a que des milliards d’atomes dans une mer d’atomes indifférenciés”.

L’autre moitié de l’équation nous devient accessible lorsque nous croyons à une dimension non matérielle: qu’est-ce alors qui donne une FORME particulière à tous ces atomes indifférenciés, et qui nous les montre en montagne, chien, etc.? Simple, des moules, pardi. Et puisqu’aucun “moule d’atomes n’est jamais apparu sous un scalpel ou un bistouri, force nous est d’admettre que ce “moule'” est non-physique. Autrement dit, si nous croyons que tout est matériel, toute une partie de la réalité nous échappe.

En Inde des  maîtres spirituels discutent pour tâcher de savoir si le divin est personnel ou impersonnel. En ce qui me concerne, ce n’est pas important (= une façon polie de dire que c’est du brassage de mots). L’important pour nous c’est de RÉALISER (= rendre réel) notre vraie nature, qui est divine car “ça vient avec” de multiples (excellentes) choses –comme la longévité, une santé des plus fortes, un bonheur durable, etc.- DANS CE MONDE PHYSIQUE (tout ce que la religion place dans un ciel post-mortem, il est sûr et certain que nous l’aurons ici-même).
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Physis

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Salut ami «Physis (ϕ́φύσις) est un des concepts fondamentaux de la philosophie grecque. Les Romains l'ont traduit par natura…» (Encyclopaedia Universalis). Bien expliquer ce concept dépasse le cadre de cet article; qu’il me suffise de dire ici que ce que les Grecs appelaient PHYSIQUE (et les Romains, NATURE) a très peu à voir avec ce que l’on entend aujourd’hui par ces mots. De nos jours le mot «physique» désigne le physique purement matériel, tandis que pour les anciens grecs ce mot indiquait les multiples plans d’existence qui forment l’univers (dont le plan matériel n’est que le plus bas).


De même les Romains utilisaient le mot natura pour désigner la nature universelle (dans tous ses plans d’existence), alors que de nos jours ce que nous appelons NATURE est en fait la nature matérielle.


Ça veut dire qu’un matérialiste dans l’antiquité (comme Démocrite) et un matérialiste d’aujourd’hui ont TRÈS PEU en commun. Autrement dit en à peine 3000 ans nous avons perdu énormément de connaissances qui étaient familières aux anciens (comme la notion de plan), et nous avons acquis une connaissance remarquable de la matière et de tout ce qui est matériel (pour les Anciens le plan purement matériel était si peu important qu’ils ne l’ont même pas étudié en profondeur –sauf les matérialistes, bien sûr).


Les nostalgiques déploreront évidemment tout ce que nous avons perdu. Mais c’est mal connaître le fonctionnement du merveilleux univers dans lequel nous vivons: pour nous permettre d’étudier le plan matériel, tous les autres plans nous ont été cachés de sorte qu’aujourd’hui nous connaissons très bien un unique plan: le monde matériel.


Il est évident que nous connaissons la structure de la matière mieux qu’aucun savant de l’antiquité; cela ne fait aucun doute (“Regardez comme nous avons progressé”). Mais le prix à payer est très élevé: perdre la connaissance de tous les autres plans. Aujourd’hui si nous voulons connaître quoi que ce soit de ces plans, il faut faire appel à la spiritualité (qui est moins précise que la science).


Il est vrai que les matérialistes d’aujourd’hui s’appuient sur la science alors que dans l’antiquité il n’y avait pas de science, seulement des connaissances empiriques (qui étaient moins précises que la science, quoique plus profondes, et qui variaient d’un “maître” à l’autre selon sa qualité).


On peut compenser ce manque en devenant familier avec les deux conceptions (science et spiritualité). Faire cela non seulement nous enrichit considérablement, mais en plus cela nous élargit l’esprit à un point difficilement imaginable: il devient assez vite évident que science et spiritualité ne sont pas opposées mais complémentaires (c.a.d. qu’elles se complètent l’une l’autre, et que nous avons besoin des deux pour une connaissance complète).



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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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