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L’Occident et la charia (3)

dogme & monothéisme

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En 2001 un président américain borné et étroit d’esprit (George W. Bush) a si mal géré la crise du 11 septeGWBmbre, que toutes les personnes du Moyen-Orient devinrent automatiquement suspectes simplement parce que la vingtaine de criminels responsables de cette action terroristes étaient d’origine arabe.

Un mois plus tôt (le 31 juillet 2001) la Cour Européenne des Droits de l’Homme a statué que “la loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’Homme(texte intégral)”. Est-ce une condamnation de l’Islam? Bien sûr que non, et il faut absolument éviter que des gens se sentent persécutés parce qu’ils sont musulmans; mais ça veut dire que l’Islam est un terreau fertile pour une force qui est CONTRE tout progrès humain (cette force se prétend musulmane mais donne mauvaise réputation aux véritables musulmans).

De nos jours cette force rétrograde est incarnée dans l’Islam par une minorité d’ISLAMISTES. Et l’ISLAMISTE montre par son attitude déplacée d’une extrême religiosité, qu’il est musulman avant de faire partie de l’espèce humaine, c.a.d. une attitude incompatible avec la démocratie et les droits de l’Homme.

Il faut distinguer MUSULMAN et ISLAMISTE. Un musulman est un croyant de l’Islam (religion très valable, comme toutes les religions), tandis qu’un islamiste est un “musulman extrême”: il insiste pour afficher ostentatoirement qu’il est musulman (par opposition aux autres).

Si les arabes ont mauvaise réputation en Occident, c’est uniquement à cause de quelques islamistes, minoritaires mais très agissant.

Aujourd’hui c’est l’âge des Droits de l’Homme, pas d’une interprétation étroite et moyennâgeuse de la charia. La réalité montre qu’il n’y a que très accessoirement des Occidentaux et des Arabes: en réalité il n’y a que des ÊTRES HUMAINS. Évidemment, présentement, les faits ne favorisent pas cela: ce n’est qu’un potentiel (= quelque chose qu’on SAIT être vrai, qui cherche à se réaliser, mais qui est ENCORE contredit par les apparences).

Les Droits de la Personne ne protègent pas seulement les Occidentaux, mais tout le monde (ça veut dire les Arabes aussi). Et la charia va CONTRE les Droits de la Personne. Autrement dit, les deux sont incompatibles. Une rapide comparaison nous en convainc tout de suite: pour les Droits de l’Homme, tous les êtres humains ont les mêmes droits; pour la charia, seul les hommes ont des droits, les femmes n’en ont pas. La charia CONDAMNE l’homosexualité, alors que les Droits de la personne disent qu’il est un être humain comme tous les autres (un homosexuel n’est pas un criminel qu’on doit punir –contrairement à ce que dit la charia: c’est un homme comme toi et moi).

NOTE. Toutes les religions (surtout les 3 religions monothéistes) sont archi-conservatrices (ça veut dire qu’elles ne progressent pas –ou à peine). Les Juifs n’ont pas changé un seul mot à la Torah depuis des milliers d’années (id. pour la Bible depuis 2000 ans, et le Coran depuis 1400 ans).

Les Européens ont résolu cela en se débarrassant de la religion catholique (en l’envoyant au Vatican). Résultat: aujourd’hui ils ne sont pas très religieux, mais ils ont progressé. Pour les Arabes, c’est différent: la religion est omniprésente et règle la vie du musulman de sa naissance à sa mort. Et puisque la religion a peu tendance à évoluer, il n’est pas surprenant que les Arabes ne progressent pas vite.

Je répète pour qu’on comprenne bien: avec les Droits de la personne l’avenir de l’espèce est ouvert, tandis que la charia est un OBSTACLE à cet avenir.

Sur dix Hommes qui travaillent en usine en Occident on ne sait pas qui est chrétien, qui est juif, ou qui est musulman (à moins qu’il ne le dise ouvertement), et c’est peu important puisque ce sont avant tout ses qualités d’Homme (H majuscule: l’être humain) qui comptent, pas sa religion; mais il y a une petite minorité d’islamistes qui viennent habiter dans nos pays et qui insistent pour montrer qu’ils sont différents de nous: musulmans (ils voilent leurs femmes, amènent avec eux leurs “crimes d’honneur”, etc.) et ça, ça doit disparaître. ET ÇA VA DISPARAÎTRE.

Partout où il se trouve, l’Homme est un solutionneur hors pair de problèmes. Mais pour pouvoir “trouver la solution”, il faut avoir un problème à résoudre, et dans les pays arabes, la charia n’est pas un problème: tout le monde est musulman (ou presque) là-bas, simplement il y a des gens très religieux et des gens peu religieux, c’est tout.

En Occident c’est différent: à cause de l’immigration arabe, les gens ont été confrontés à une culture très différente de la leur. Dans Qui est le musulman? je disais que “…si on examine les trois religions monothéistes (Judaïsme, Christianisme et Islam) on se rend vite compte que, passé le particularisme inhérent à chacune, elles ont beaucoup plus de choses qui les rapproche que de différences…”. La charia est justement un de ces “particularismes” auxquels les ISLAMISTES tiennent absolument; et puisque la charia n’est pas un problème pour les arabes, c’est à nous Occidentaux à résoudre cela.

Dans un premier temps cette immigration massive a déstabilisé l’Occident, et la première réponse a été inadéquate naturellement (comme par exemple l’interdiction du voile islamique); jusqu’à maintenant cette “cohabitation forcée” a pris la forme d’une sorte de rivalité ou de confrontation voilée dû à une incompréhension mutuelle; mais ce n’est qu’un premier contact, la constatation de part et d’autre qu’il y a bien un problème à résoudre. C’EST ABSOLUMENT CERTAIN D’ÊTRE RÉSOLU, mais ça prendra du temps (quelques générations).

Un problèrésolutionme, c’est fait pour être résolu, non? (pas pour être évacué comme le pensent certains groupuscules islamophobes), et comme “un problème insoluble, ça n’existe pas” on est sûr de trouver la solution (d’autant plus que nous sommes “un solutionneur hors pair”). Je disais que nous trouverons la solution, mais c’est qui NOUS? Est-ce que ça n’inclue pas aussi les arabes? Quand nous (= les Occidentaux et les non-Occidentaux –incluant les Arabes) en aurons fini des “dogmes” et des “monothéismes”, peut-être découvrirons-nous que nous sommes tous frères.

En fait, nous sommes DÉJÀ frères puisque nous faisons tous partie de UNE humanité (comme l’ADN le prouve). Pour le découvrir, facile (sauf pour le mental, qui décidément complique tout): il n’y a qu’à enlever ce qui empêche de nous rendre compte que NOUS SOMMES de la même famille (la famille humaine). Et qu’est-ce qui nous DIVISE et nous EMPÊCHE de nous en rendre compte? Une seule chose: la religion (ou plutôt la façon TRÈS INADÉQUATE dont nous comprenons et interprétons la religion). Le fait que certains se croient chrétiens et d’autres, musulmans, est de toute évidence un OBSTACLE qui ne fait que nous DIVISER et qui encourage l’EXCLUSION mutuelle.

Alors que faire? Éliminer les religions? Bien sûr que non, car s’il est vrai que les religions nous divisent, elles enseignent tout de même des valeurs universelles et ça, c’est une chose absolument nécessaire. Mais nous avons tendance à oublier que UNIVERSEL veut dire tout le monde, pas seulement les musulmans ou seulement les chrétiens. Officiellement il n’y a donc RIEN qui empêche un Arabe d’être musulman ou un Européen d’être chrétien.

Reste un problème à résoudre: les Droits de l’Homme sont INCOMPATIBLES avec la charia. Attention: ce n’est PAS DU TOUT une question de chrétiens vs musulmans, c’est une simple question de progrès humain. Incompatibles ça veut dire qu’elles ne peuvent PAS exister côte à côte: soit l’Occident adopte la charia (loi religieuse) comme base de sa législation et de son administration (et c’est un énorme recul pour TOUTE L’HUMANITÉ –incluant les arabes), soit les pays musulmans adoptent les Droits de la Personne.

Avant l’immigration arabe on aurait pu dire: chacun sa loi dans son pays (la charia dans les pays musulmans et les Droits de la Personne en Occident). Mais maintenant c’est trop tard pour cela: on a passé le point de non-retour déjà. Maintenant c’est l’un ou c’est l’autre. Décidément l’Évolution savait ce qu’elle faisait en provoquant “la Grande Migration”, comme si elle nous criait à tous: “Mais vous ne voyez donc pas que vous êtes tous de la même espèce?”. Personnellement, j’ai toujours vu que les arabes ont une sensibilité spirituelle particulière (qui nous manque à nous, Occidentaux), et qu’en même temps ils sont maintenus dans un immobilisme qui les empêche de progresser. C’est cet immobilisme qui doit cesser.

Si je regarde les forces en présence dans les pays arabes, je vois trois choses; (1) une petite minorité d’islamistes très religieux qui sont fortement en faveur de la charia ET QUI SONT TRÈS AGISSANTS (tellement qu’ils semblent occuper le devant de la scène -pour le moment), (2) une énorme majorité de musulmans qui ne sont en faveur de la charia que parce qu’ils croient que “c’est comme ça que ça doit être”, et puis “l’imam a dit que Dieu l’a ordonné”, et comme on obéit aveuglément à l’imam, on ne se demande même pas si c’est vrai, (3) un groupe de gens encore minoritaire, qui semble peu organisé mais qui croît rapidement, et qui sont CONTRE les islamistes et la charia (surtout des jeunes je crois*). Le (1) semble actif pour le moment, mais il est rétrograde et sera BIENTÔT une chose du passé, le (2) changera rapidement dès que le (1) disparaîtra, le (3) est la force de demain et une promesse pour un avenir souriant (et proche).

NOTE. Les jeunes représentent l’avenir, et sont une force montante. Dans les pays arabes ils n’ont souvent connu que le pouvoir en place. Le “printemps arabe” a montré que quand ils s’assemblent, c’est une force à laquelle RIEN ne résiste.

Attention: les jeunes ont bien un rôle à jouer pour initier la chose, mais ils seront appuyés et suivis par une très forte majorité de gens de tous âges. Et ne nous fions surtout pas à la situation présente (qui semble contredire cela): les choses peuvent basculer TRÈS soudainement. Dans toute cette histoire, les Occidentaux ne sont ni meilleurs ni pires que les autres peuples; simplement ils remplissent les conditions qui favoriseront l’émergence d’une famille humaine, c’est tout.

Alors pour les Arabes, l’Islam, oui, mais la charia, non; musulman oui, islamiste non.

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L’Occident et la charia (2)

 

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Les récents événements survenus au Canada sont très éloquents sur les “dangers” de la charia (je pèse mes mots) pour le monde (et non pour les seuls Occidentaux). Je ne donne ici que l’exemple de la France, mais c’est la même chose partout en Europe.

Nous avons vu que la charia est la loi canonique qui règle la vie du musulman. Nous avons le code civil (civique), et ils ont la charia: jusque là rien que de très normal. Le problème commence quand une minorité d’islamistes* quittent leur pays pour venir vivre chez nous. Comme ils ont une forte tendance au prosélytisme, ils cherchent à imposer LEUR loi dans NOS pays, et ça c’est inadmissible.

Il  faut  distinguer  MUSULMAN  et  ISLAMISTE.  Le musulman est un croyant de l’Islam (religion de paix), tandis qu’un islamiste est un “musulman extrême”: il insiste pour afficher ostentatoirement qu’il est musulman (par opposition aux Occidentaux qui les accueillent). C’est comme si, tout en habitant chez nous, il nous disait que nous ne sommes pas OK et que lui l’est. C’est non seulement d’une extrême étroitesse d’esprit, mais en plus c’est intolérable. Si les arabes ont mauvaise réputation en Occident, c’est uniquement à cause d’une petite minorité d’islamistes.

Les pays occidentaux essaient d’accommoder le mieux possible leurs minorités. Les islamiste prennent cela pour un signe de faiblesse, et essaient “d’étirer l’élastique au maximum”: ils tentent d’obtenir toujours plus d’accommodements (qu’ils appellent des DROITS).  Comme la morale est très importante pour eux, ils pensent facilement que “les Occidentaux sont immoraux et ont des moeurs relâchées”; ce n’est pas cela du tout: la religion n’occupe pas une place prépondérante dans notre vie, c’est tout. LA RELIGION N’EST PAS TOUT DANS LA VIE. Partout où ils émigrent, par leur extrémisme les islamistes discréditent la communauté musulmane de l’endroit et lui font un tort considérable. 

Nous voici face à une culture si différente de la nôtre que jusqu’à présent la cohabitation semble prendre la forme d’une sorte de compétition ou de rivalité. Mais comme  d’habitude, C’EST MAL VU  (“L’essentiel est invisible pour les yeux; on ne voit bien qu’avec le coeur” –St-Ex). L’issue finale (l’unification de l’espèce humaine) ne fait aucun doute; c’est le chemin pour y parvenir que l’on ne comprend pas. Avant que la situation soit “harmonisée” (pour employer un terme à la mode) il se passera bien 2-3 générations. France, musulmane

DES STATISTIQUES QUI EN DISENT LONG. Selon un sondage CSA datant de 2008 54% des musulmans en France seraient en faveur de la charia, et le Figaro nous apprend que seuls 14% des musulmans français se considèrentd’abord comme Français. 60% mettent sur un pied d’égalité leur religion et l’appartenance à la nation française. 22% se considèrent d’abord comme musulmans. Attention, la charia ce n’est pas seulement manger halal, être en faveur de la polygamie, coObaid-Chinoyntre les mariages interconfessionnels et l’homosexualité. C’est aussi être d’accord pour qu’on te coupe une main si tu voles, ou qu’on lapide la femme mariée qui a un amant.

Crimes, honneur et loi de Dieu; et vive la charia! Gageons que ce n’est pas ce que se disait la comédienne d’origine algérienne Rayhanna quand elle fut aspergée d’essence en plein Paris en janvier 2011 en se rendant au théâtre où elle donnait un spectacle. Ça me rappelle qu’au seul Pakistan (pays majoritairement musulman, appliquant une charia dure), il y a environ 150 femmes par année qui sont brûlées à l’acide (le 1er mars 2012 la réalisatrice Pakistanaise Sharmeen Obaid-Chinoy a été brûlée au vitriol). Tout récemment (février 2012), Naziran, une jeune musulmane de 20 ans fut aspergée d’acide à Chambéry (Savoie) à la sortie de l’école.

élections arabes

Alors quand on voit l’avancée des islamistes dans les pays arabes “libérés de la dictature”, c’est décevant: “Tout ça rien que pour ce pauvre résultat?” On se réjouissait de ce formidable “printemps arabe”; trop vite semble-t-il. Les forces archi-conservatrices occupent le terrain. En Tunisie, le parti ENNAHDA (qui se prétendait modéré) tente petit à petit d’imposer la charia dans la constitution. En octobre 2011 Libération nous apprenait que le président du Conseil National de Transition en Lybie (qui appartenait à l’ancien régime) a affirmé que la législation serait fondée sur la charia. En Égypte les élections n’ont pas encore eu lieu, mais les Frères musulmans (parti islamiste) ont un candidat très à droite, et une immense majorité est favorable à la charia: 82% des égyptiens musulman  sont en faveur de la lapidation pour punir l’adultère et 84% sont pour la peine de mort pour ceux qui quittent l’Islam (récemment un chrétien copte s’est fait couper l’oreille pour avoir eu “une liaison illicite” (?) avec une musulmane).

Un chrétien qui se convertit à l’Islam, c’est OK, mais pas l’inverse d’après les musulmans qui ont poussé des cris d’indignation quand un (=1) journaliste musulman s’est converti au christianisme. En lisant entre les lignes, on comprend que si les musulmans (qui sont des Hommes qui pètent et rotent comme tous les êtres humains, donc des Hommes comme nous) sont aussi étroits d’esprit, c’est à cause de la religion qui leur lave le cerveau depuis qu’ils sont nés et qui réussit à les garder dans l’ignorance. Moi je suis peut-être “un Occidental immoral” (comme disent les islamistes), mais je ne couperais l’oreille de personne.

Il semble qu’une majorité de musulmans ne comprennent même pas en quoi la charia est répréhensible; mais les sociétés arabes ne sont pas un bloc monolithique à tendance unique: il faut savoir que dans les pays arabes même il y a de plus en plus de gens qui sont contre la charia des islamistes. ON PEUT TRÈS BIEN ÊTRE MUSULMAN TOUT EN ÉTANT CONTRE LA CHARIA (le Maroc par exemple, tout en reconnaissant la charia comme loi religieuse, a une administration laïque).

Jusqu’à présent nous avons vu que la charia pose un problème en Occident (qui est résolument pour les droits humains –qui sont INCOMPATIBLES avec la charia). À dessein je n’ai montré que l’application dure de la charia; mais bien que cela existe réellement, c’est minoritaire.  Et il faut se garder de confondre les musulmans avec une minorité d’islamistes. La 3e et dernière partie parlera des pistes de solution.

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L’Occident et la charia (1)

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Selon Wikipédia la charia codifie à la fois les aspects publics et privés de la vie d’un musulman, ainsi que les interactions sociales. L’Occident (qui a une administration laïque) a le code civil (civique) et le code criminel, et l’Islam a la charia (citée dans le Coran comme “la voie à suivre pour le musulman”). L’interprétation et l’application de la charia varient de modérée à extrême selon les pays (au Maroc, par exemple, elle n’est pas appliquée du tout, tandis qu’au Bahreïn ou en Arabie Saoudite elle forme la base de la justice et de l’administration, et les Talibans sont archi-stricts dans son application). Voir la video de F2 montrant l’application de la charia dans la vallée du Swat au Pakistan.

L’Occident est laïque depuis que Napoléon Bonaparte a relégué la puissante Église catholique à un petit état maintenant appelé Vatican (depuis 1929). Avant cela cette Église était partout présente dans toutes les sociétés d’Europe et avait de nombreux privilèges, au point que Napoléon disait d’elle qu’elle était “un état dans l’état”.

À l’opposé de la laïcité occidentale, on trouve les sociétés arabo-musulmanes où la religion est omniprésente (elle vous dicte même quoi ne pas manger et comment s’habiller). Les Occidentaux, qui sont résolument laïques s’inquiètent de la montée récente de la charia.

Au Canada on a remarqué que les musulmans peu pratiquants s’intègrent mieux que ceux qui sont très religieux (ce qui me fait dire que ce n’est pas les arabes qui causent problème, c’est la religion). Selon le dernier recensement, le Canada compte un peu moins de 600,000 musulmans, dont 108,000 au Québec, mais le “phénomène” de la charia est plus récent: en 2005 une mouvance islamiste minoritaire mais agissante a tenté sans succès d’imposer des tribunaux basés sur la charia en vue d’arbitrer des litiges familiaux (voir la vidéo de Radio-Canada); évidemment les chances de succès étaient nulles dès le départ, mais connais-tu un immigrant, autre que musulman, qui essaie d’imposer SA loi dans TON pays?

Bien sûr, ce ne sont que des minorités, l’Islam étant une religion de paix (et la majorité des imams étant aussi pacifiques que nos prêtres). Mais ces minorités extrémistes sont très actives et elles n’ont pas l’air de comprendre que leur action risque de jeter le discrédit sur la communauté musulmane tout entière. Il y a aussi des musulmans qui sont venus au Canada pour fuir la charia dans leur pays. En fait, ces minorités ne nous respectent pas: vouloir nous imposer la charia, c’est comme nous dire que notre code civil n’est pas valable.

Foudil SelmouneLe 22 novembre 2011, le Téléjournal de Radio-Canada rapportait les propos ahurissants de l'imam Foudil Selmoune de Brossard (Rive-sud de Montréal): les lois de Dieu ordonnent l’amputation et la lapidation parce que ça sert de leçon aux autres et ça crée une société et une ambiance où il y a la paix et la justice. Selmoune ajoute que “la lapidation des femmes, c'est aussi dans la charia. Il faut voir pourquoi Dieu a fait ces lois: c'est pour créer une société saine, pure, claire, équilibrée et balancée. C'est pour éviter les crimes, éviter les malentendus. [...] Ce n'est pas nous qui nous donnons ce droit; ce sont des lois de Dieu et on ne peut pas les changer” -(bravo Mr Selmoune, pour votre “arbitrage des litiges familiaux” -ton ironique- vous avez des arguments “tranchants”). Face aux fortes réactions négatives plusieurs leaders des Frères Musulmans ont prétendu que les propos de l’imam auraient été «manipulés pour nuire à la communauté musulmane”. Il n’est pas difficile de voir que de telles idées sont archi-rétrogrades, moyennâgeuses, et sont un obstacle à tout progrès humain. Shaffia

Un mois plus tôt (20 oct. 2011), c’était l’affaire Shafia. Ce ressortissant Afghan a été reconnu coupable du meurtre de ses deux filles, qui étaient devenues “trop québécoises” à son goût (des jeunes filles ancrées dans la culture canadienne, qui aimaient écouter de la musique pop et utiliser leur téléphone cellulaire). Son procès, hautement médiatisé, a été l’occasion pour nous de découvrir une sorte de crime qui n’existait pas jusque là chez nous car on ne le trouve que  dans certaines sociétés musulmanes: le “crime d’honneur” (personnellement je ne vois pas du tout ce qu’il y a d’honorable dans un crime, mais c’est un fait: ça existe). J’ai donc fait une recherche Google:

Wikipédia définit  ainsi le “crime d’honneur”: “c’est un crime perpétré en réaction à un comportement perçu comme ayant apporté le déshonneur à une famille, et ayant donc enfreint le code d'honneur. La plupart des victimes, qui ne sont pas nécessairement auteur des faits reprochés, sont des femmes” et l'ONG Human Rights Watch donne la définition suivante: “Les crimes d'honneur sont des actes de violence, le plus souvent des meurtres, commis par les membres masculins d'une famille à l'encontre de ses membres féminins, lorsqu'ils sont perçus comme cause de déshonneur pour la famille tout entière. Une femme peut être la cible d'individus au sein de sa propre famille pour des motifs divers, comprenant : le refus de participer à un mariage arrangé, le refus des faveurs sexuelles, la tentative de divorce — que ce soit dans le cadre de la violence conjugale exercée par son mari ou dans un contexte avéré d'adultère. La simple interprétation selon laquelle son comportement a "déshonoré" sa famille est suffisante pour enclencher une représaille”.

Ces cas montrent que la montée des islamistes (il faut distinguer musulman et islamiste) pose un problème pour le Canada –et un problème est fait pour être résolu. Dans la prochaine partie nous verrons comment l’Europe réagit.

 

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Les inconvénients de la démocratie

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Dans mon article sur La démocratie je dis pourquoi c’est le meilleur système que nous ayons présentement, même s’il a aussi ses inconvénients, alors que dans celui-ci je mets l’emphase sur les inconvénients. Pour une idée plus complète on aura donc avantage à lire les deux.
 
 
Partout où elle fleurit la démocratie défend ce qu’elle appelle “les droits de la personne”. Évidemment, tout le monde devrait avoir le droit à la vie (et à tout ce qui la favorise, comme la nourriture et le logement), et la liberté (de pensée et de parole). C’est le MINIMUM acceptable et ceux (individus ou pays) qui n’ont pas ce minimum ont avantage à faire ce qu’il faut pour l’acquérir. Mais aucun système n’étant parfait, la démocratie a aussi ses inconvénients.
 
 
La démocratie donne l’impression de respecter tout le monde car chacun y a les mêmes droits (il y aurait une apparente LIBERTÉ et une apparente ÉGALITÉ). Un examen plus attentif cependant révèle de graves lacunes qui me font dire que ce système (qui convient parfaitement à notre mode de vie archi-individualiste) recèle ce qui m’apparaît comme une contradiction dans la façon courante de considérer les choses (et cette contradiction restreint de beaucoup sa valeur). Comment expliquer, par exemple, pourquoi dans un pays comme la France, deux personnes nées en France (l’une Française de souche, l’autre, Française d’origine arabe) ne sont pas traitées de façon égale? Bien sûr, devant la loi elles sont égales, mais dans la vie quotidienne c'est autre chose. Comme la France est un exemple de démocratie moderne, on doit se questionner sur la valeur de la démocratie.
 
 
Cet exemple de la France n’est cependant qu’une toute petite chose. Il y a de bien plus graves contradictions: d’une part, la logique veut que deux idées différentes et opposées ne soient pas toutes les deux vraies en même temps (si l’une est vraie l’autre est fausse); d’autre part, en démocratie chacun peut penser ce qu’il veut. Autrement dit, chacun peut avoir son idée propre mais une seule est vraie; si je suppose que c’est celle de tel groupe qui est vraie, ça veut dire que tous les autres se trompent. Et le mental se croit logique! Totalement inacceptable! Si c’est cela qu’on appelle démocratie,  alors je n’en veux pas: je veux quelque chose de mieux.
 
 
NOTE * Par exemple, la théorie scientifique de l’origine de l’univers est très différente de celle de la bible. Est-ce que ça veut dire que seuls les scientifiques ont raison et que les gens religieux se trompent? (Peut-être bien que tous deux ont raison mais ne se comprennent pas car ils parlent un langage différent –en paraboles pour l’un et rationnel pour l’autre) et cela les limite toutes deux. J’ai donc avantage à comprendre le langage de l’une et de l’autre.
 
 
Outre la démocratie, il existe une autre façon de considérer cela: TOUTES les idées sont OK, et chacun prend celle qui lui est le plus utile pour son progrès du moment. On peut admettre que l’autre est différent de soi, n’est-ce pas? S’il est différent de moi, ça veut dire que ce qui est bon pour lui n’est pas la même chose que ce qui est bon pour moi. Donc, il lui faut (= il a absolument besoin de) une idée différente de la mienne. Logique, non? Ça veut dire que si j’admet que MON idée est bonne pour moi et que SON idée est bonne pour lui, je dis bye bye à la démocratie qui dit que c’est l’idée de la majorité qui l’emporte.
 
 
On se rend compte alors d’un inconvénient majeur de la démocratie: sa façon de rendre tout le monde égal convient à une majorité d’individus en écrasant l’individu unique* que chacun est au nom de l’intérêt général. Pour rendre tout le monde ÉGAL, elle ne connaît que l’UNIFORMITÉ (au lieu de l’UNITÉ): elle NIVÈLE (elle coupe la tête des plus grands et donne un coup de pied au derrière des plus petits pour les forcer à grandir, de cette manière tout le monde est de la même grandeur, égal, et dans la moyenne). Il ne faut donc pas s’étonner que ça mène à un appauvrissement continuel puisqu’il n’y a personne de supérieur (sauf bien sûr un enrichissement matériel qui conduit à un consumérisme à outrance, qui nous ÉLOIGNE toujours plus du bonheur).
 
 
* Dans une élection, par exemple, ce n’est pas chacun qui l’emporte, mais la majorité. Il y a donc des GAGNANTS et des PERDANTS (la démocratie ne s’occupe pas de tout le monde, mais uniquement de la majorité). Quand les perdants acceptent qu’ils ont perdu et se rangent du côté de la majorité gagnante, on dit qu’ils “suivent les règles de la démocratie”.
 
 
Ultimement ce que nous voulons vraiment c’est être heureux, pas être démocratique! La démocratie est simplement un moyen d’atteindre ce but; si non seulement elle ne nous rapproche pas de ce but, mais nous en éloigne (comme on a vu plus haut), nous sommes stupides de suivre ces règles, non?

 

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Le bocal

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Tout le monde a déjà vu un poisson rouge dans un bocal, mais qu’est-ce qu’il se dit le poisson? À travers les parois de son bocal, il voit bien que “ça bouge dehors”, mais il ne sait pas vraiment ce que c’est: “comment peut-on vivre là, puisqu’il n’y a pas d’eau?

C’est comme la truite qui vit dans un lac et qui aurait eu un aperçu de “l’extérieur”. Elle a beau essayer de dire aux autres truites ce qu’elle a vu, mais c’est très difficile. La vie en-dehors du lac est si différente de la vie dans le lac qu’elle ne sait pas bien dire: la langue des truites ne convient pas, il faudrait un autre langage.

Alors dire: “Vous savez, il y a de la vie là où il n’y pas d’eau” ne peut que susciter le doute chez les autres truites (parmi elles il y a aussi des truites sceptiques). Et c’est tout à fait normal car une truite ne peut pas vivre en dehors de l’eau, c’est IMPOSSIBLE. Seulement la pauvre truite est certaine de ce qu’elle a vu mais elle ne sait pas bien l’expliquer; en fait, elle ne comprend pas elle-même comment c’est possible. Elle croit, puis elle doute, croit à nouveau, puis retombe dans le doute: “est-ce que je ne suis pas un peu fou de croire cela? Et pourtant j’ai bien vu”. Puis de nouveau le doute, le maudit doute: “Et si je m’étais trompé? Si c’était une illusion?” Mais elle continue, poussée (encouragée) par son expérience: “Il y a bien de la vie là pourtant”.

Alors comment peut-on vivre quand le corps est mort? Comment peut-on dire: “AVEC OU SANS CORPS ON EST VIVANT”? Comment peut-on dire que quand le corps est devenu cadavre, on vit d’une vie beaucoup plus intense que quand on avait un corps? Tout le monde est là pour dire que vous vous trompez, n’est-ce pas? Et pourtant…

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Le temps

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Notre relation au temps est ambigüe: tout le monde est d’accord pour acquérir de l’expérience, mais personne ne veut vieillir. Or il faut du temps pour les deux: si (hypothétiquement) le temps n’existait pas, on ne vieillirait jamais mais on ne pourrait pas acquérir d’expérience non plus (même une pomme a besoin de temps pour mûrir). La raison de cette ambiguïté est simple: nous ne connaissons pas la véritable nature du temps.

Ça peut sembler élémentaire, mais nous voyons les choses tels que nous sommes et si nous étions différents, nous les verrions différemment. Il en découle une chose potentiellement transformatrice (= susceptible de nous faire voir TOUT CE QUI NOUS ENTOURE de façon complètement différente): il suffit de changer d’attitude intérieure vis-à-vis des choses pour qu’elles nous apparaissent tout à fait différentes. Les chose n’ont pas changé, c’est nous qui avons changé et les voyons différemment (“maintenant tout est différent, et pourtant rien n’a changé” –dicton zen).

Cela vaut aussi pour le temps. On dit parfois que “on a l’âge de son coeur”. Il y a beaucoup de vrai là-dedans puisqu’on a l’âge qu’on veut (en fait on est sans âge). Mais on ne se voit pas SANS ÀGE. Comme on croit qu’on est le corps, on a l’âge du corps (c’est faux mais c’est ce qu’on croit) et puisque le corps vieillit, on croit qu’on vieillit; on croit même qu’on meurt quand le corps meurt.

Tout cela est faux, bien sûr (en fait, rien n’est TOTALEMENT faux, tout a une part de vérité, si infime soit-elle; mais c’est MAL VU): ce n’est PAS la réalité, ce n’est qu’une APPARENCE –qui déforme la réalité et nous empêche de la voir (c’est comme un masque plaqué sur un visage; le masque n’est pas totalement faux, mais il nous empêche de voir le visage). Alors si ce que nous voulons c’est connaître la réalité, il faut “enlever le masque”. C’est difficile car on est habitué à vivre dans les APPARENCES, mais c’est seulement quand le masque est retiré qu’on comprend combien la réalité nous était cachée (et la réalité est 100 fois plus belle que les apparences).

Il faut savoir que c’est l’Homme qui a développé le concept du temps afin d’appréhender plus facilement le monde qui l’entoure et ainsi agir dessus: notre conception du temps nous donne une sorte de prise sur l’Éternité qui nous permet de CHANGER les choses. Les philosophes ont beaucoup étudié le temps, et leurs conclusions sont de deux sortes: les uns sont d’avis que le temps est une propriété fondamentale de l'Univers, tandis que d’autres croient que c’est un produit de l'observation intellectuelle et de la perception humaine.

En dehors de toute réflexion philosophique, il apparaît que la Nature ne connaît pas le temps, elle ne connaît que l’éternité. Mais sa façon d’exprimer l’éternité est particulière: non pas l’immobilité (qui serait une sorte de mort, d’où aucune vie ne pourrait sortir), mais une immuabilité qui se traduit par un changement perpétuel: les choses changent sans cesse. Comme les choses physiques ne durent pas éternellement, elles doivent mourir pour permettre à des choses nouvelles de venir. Ainsi il y a renouvellement permanent, ce qui se traduit par un changement perpétuel. Dans la Nature, ce la se produit de deux façons:

  1. toute chose finit par se changer en son contraire (comme le jour finit par se changer en soir, puis en nuit).
  2. le changement perpétuel se manifeste par toute une série de cycles: des petits cycles dans des cycles plus grands, le tout se répétant à différentes échelles de façon identique (plus de détail dans Structure fractale).

Le temps n’existe donc pas réellement, seul le “sans temps” existe (c.a.d. l’Éternité). Mais l’Éternité est une chose que l’Homme comprend difficilement –si tant est qu’il y croit: a-t-on déjà vu quelque chose qui dure toujours et ne cesse jamais? (C’est faux, mais c’est ce qu’est l’Éternité pour lui: une sorte d’immortalité ou de durée indéfinie). Voulant imiter la Nature qui lui semblait découper l’éternité en une infinité de cycles, il imagina d’innombrables divisions et subdivisions, où il distinguait passé, présent et futur.

Cela lui a permis d’appréhender les choses afin d’agir dessus, mais l’empêche du même coup de connaître la véritable nature de l’éternité. Pour quelqu’un qui cherche à connaître la réalité (et non se contenter d’agir sur elle) toutefois, la conception habituelle du temps est  à rejeter car inadéquate. Une autre conception (qui découle d’une réflexion sur le présent) convient mieux pour cela.

Comme le passé n’existe plus et que le futur n’existe pas encore, la seule chose qui semble réelle est le présent. Si on cherche à définir ce qu’on appelle “le présent” on fait une découverte extraordinaire, qui rend l’Éternité tout d’un coup potentiellement plus accessible (en tout cas plus compréhensible): à cet instant précis, c’est bien le présent, mais ce ne l’était pas il y a cinq minutes, et dans cinq minutes, ce ne le sera plus. Et en resserrant les critères: il y a une seconde était-ce déjà le présent, et dans une seconde, est-ce que ce ne sera pas le futur?

Alors on réalise que le passé et le futur n’ont pas vraiment d’existence; en réalité seul un minuscule, indéfinissable instant présent existe. Tout à coup cet insubstantiel moment prend une importance démesurée (incommensurable même): “est-ce que ce n’est pas l’éternité qui s’incarne?” À ce moment-là un indicible vertige nous envahit, et pendant un court instant l’on semble comprendre: le temps n’existe pas réellement; il n’y a que l’éternité. En fait comme l’Homme ne perçoit pas l’Éternité, il a inventé le temps pour tenter d’apprivoiser cet état où le temps n’existe pas.

Reste une contradiction: “comment acquérir de l’expérience sans vieillir?” En fait la contradiction n’est qu’apparente et découle du fait que nous ne nous connaissons pas: si nous admettons qu’il n’y a que le NON TEMPS (= l’Éternité), force nous est de reconnaître que nous sommes éternels (si nous n’en sommes pas convaincus, il faut relire cet article); et puisque nous savons de façon certaine que le corps meurt, il n’y a qu’une possibilité: nous ne sommes pas le corps.

Ce qui ne veut pas du tout dire que le corps est inutile, au contraire. Quand on est supposément morts (= très vivants, mais ceux qui ont encore un corps croient qu’on est mort), il n’y a plus aucune évolution/progrès: on est comme on est: si dans telles circonstances on a l’habitude de se fâcher, eh bien on se fâche, c’est tout: c’est notre caractère, on est comme cela. Ce n’est QUE sur Terre (dans un corps) qu’on peut apprendre à changer la tendance à la colère en sérénité. Et puisque qu’être toujours serein est mieux que se fâcher, on revient sur Terre (se réincarne) pour l’apprendre. La Terre (le plan physique) est une infime partie de la réalité, mais comme toute chose, elle est unique: on a besoin d’elle pour apprendre (la Terre, c’est le lieu où l’on apprend).

Mais alors, si le temps n’est qu’une invention pratique de l’Homme, et que seul l’éternité existe, les conséquences sont potentiellement fantastiques: ça veut dire que chacun de nous est éternel (comme Dieu) parce qu’il vient de Dieu: “Dis-moi d’où tu viens, et je te dirai qui tu es”: comme on croit qu’on vient de l’animal (du singe), alors on meurt, comme l’animal (la vérité est que c’est seulement notre corps qui vient de l’animal); mais si on admet qu’on vient du divin? De toute évidence, on n’est pas encore divin: on souffre, est malade, etc. Être divin n’est encore qu’un potentiel pour nous.

Mais si on fait une réalité de ce potentiel…

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QUI EST DONC CE JIGÉ?

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Laval, Québec
L'AVC qui a laissé mon corps handicapé en 1990 m'a aussi donné une compréhension inouïe de tous les êtres vivants (surtout humains mais aussi animaux).
Les scientifiques disent que nous utilisons seulement 10% du cerveau. Peut-être mon 10% s'est-il légèrement déplacé car des choses qui sont faciles à la plupart me sont impossibles ou difficiles et des choses qui leur sont extraordinaires sont très ordinaires pour moi.

Mes amis disent que je suis philosophique car je ne prends pas la vie pour acquis: je la questionne jusqu'à ce qu'elle me donne des réponses. Mais cela m'a amené à découvrir quelques uns de ses secrets, et ces secrets, je veux les partager avec toi, ami. (Voir L'HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES -juil. 2008)

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