Le verre à demi plein
Hier une amie blogueuse m’a dit que je suis «trop optimiste»; c’était une façon polie de dire que je ne suis pas réaliste. Évidemment, je sais depuis longtemps que c’est ce pensent plusieurs lecteurs de ce blog, mais comme j’ai l’esprit philosophique, ça m’a fait réfléchir à ce qu’on appelle RÉALISTE ou OPTIMISTE, et j’aimerais te faire part du résultat de mes réflexions.
Quand je travaillais encore, ma patronne était très optimiste. Quoi qu’il arrive, elle disait toujours «Il doit bien y avoir du positif là-dedans». Elle avait tout à fait raison puisqu’une chose 100% négative, ça n’existe pas. À cette époque j’avais l’habitude tous les jours de partir en douce quelques minutes avant la fermeture. Je me disais qu’il y avait tant de personnes dans ce bureau que ça passerait sûrement inaperçu. Or un jour je fus convoqué au bureau de la patronne et elle me donna une clé: «Je te donne une nouvelle responsabilité. À partir d’aujourd’hui tu fermeras le bureau à clé à la fin de la journée». J’étais coincé, mais il n’y avait rien à dire. C’est ainsi que je devins ponctuel.
Un autre patron aurait peut-être relevé ma faute; et qu’est-ce qu’on fait avec un employé fautif? On le punit. Mais elle avait réglé son problème sans même prononcer les mots de «départ hâtif». J’étais en admiration devant tant d’habileté. D’autant plus que je suis comme cela aussi: une dizaine d’année auparavant, j’étais le petit nouveau à l’école de Raja Yoga; un jour j’apprends (je ne sais plus comment) que les anciens me surnommaient «le p’tit positif»: «Ah ça? Le p’tit positif aurait sûrement trouvé la solution».
Mais contrairement à ma patronne, dans mon cas il ne s’agissait pas d’un trait de caractère, c’était plutôt une sorte de «vision» des choses. Par exemple, une personne a une graine d’arbre. Je vois bien la graine minuscule qu’elle tient dans sa main, mais en même temps je vois le chêne magnifique qu’elle deviendra. Alors si je dis: «Cette graine deviendra un chêne magnifique», la personne ne comprend pas puisqu’elle n’a dans la main qu’une simple graine, et elle aura tendance à croire que je ne suis pas réaliste. Cet exemple est fictif, mais donne une bonne explication du «phénomène».
Attention: je ne suis pas «clairvoyant» du tout (un mot inventé par le mental pour dire qu’on voit sans ses moyens). Aujourd’hui je comprends comment c’est possible, et aussi je vois que c’est la même chose dans TOUT LE MONDE (mais en potentiel seulement, alors qu’en moi c’est développé). L’explication que j’en donne, la voici: il semble que mon regard englobe plus de temps dans le passé et l’avenir, de sorte que ce qui est futur pour beaucoup est du présent pour moi (idem pour le passé). Mais pour moi le présent est peut-être 80-100 ans dans «l’avenir» de sorte qu’un événement qui se produira dans 5-6 siècles, c’est du futur. Je ne peux le connaître que vaguement et seulement dans les grandes lignes (par une autre méthode).
Quand je travaillais encore, ma patronne était très optimiste. Quoi qu’il arrive, elle disait toujours «Il doit bien y avoir du positif là-dedans». Elle avait tout à fait raison puisqu’une chose 100% négative, ça n’existe pas. À cette époque j’avais l’habitude tous les jours de partir en douce quelques minutes avant la fermeture. Je me disais qu’il y avait tant de personnes dans ce bureau que ça passerait sûrement inaperçu. Or un jour je fus convoqué au bureau de la patronne et elle me donna une clé: «Je te donne une nouvelle responsabilité. À partir d’aujourd’hui tu fermeras le bureau à clé à la fin de la journée». J’étais coincé, mais il n’y avait rien à dire. C’est ainsi que je devins ponctuel.
Un autre patron aurait peut-être relevé ma faute; et qu’est-ce qu’on fait avec un employé fautif? On le punit. Mais elle avait réglé son problème sans même prononcer les mots de «départ hâtif». J’étais en admiration devant tant d’habileté. D’autant plus que je suis comme cela aussi: une dizaine d’année auparavant, j’étais le petit nouveau à l’école de Raja Yoga; un jour j’apprends (je ne sais plus comment) que les anciens me surnommaient «le p’tit positif»: «Ah ça? Le p’tit positif aurait sûrement trouvé la solution».
Mais contrairement à ma patronne, dans mon cas il ne s’agissait pas d’un trait de caractère, c’était plutôt une sorte de «vision» des choses. Par exemple, une personne a une graine d’arbre. Je vois bien la graine minuscule qu’elle tient dans sa main, mais en même temps je vois le chêne magnifique qu’elle deviendra. Alors si je dis: «Cette graine deviendra un chêne magnifique», la personne ne comprend pas puisqu’elle n’a dans la main qu’une simple graine, et elle aura tendance à croire que je ne suis pas réaliste. Cet exemple est fictif, mais donne une bonne explication du «phénomène».
Attention: je ne suis pas «clairvoyant» du tout (un mot inventé par le mental pour dire qu’on voit sans ses moyens). Aujourd’hui je comprends comment c’est possible, et aussi je vois que c’est la même chose dans TOUT LE MONDE (mais en potentiel seulement, alors qu’en moi c’est développé). L’explication que j’en donne, la voici: il semble que mon regard englobe plus de temps dans le passé et l’avenir, de sorte que ce qui est futur pour beaucoup est du présent pour moi (idem pour le passé). Mais pour moi le présent est peut-être 80-100 ans dans «l’avenir» de sorte qu’un événement qui se produira dans 5-6 siècles, c’est du futur. Je ne peux le connaître que vaguement et seulement dans les grandes lignes (par une autre méthode).
2 commentaires:
Je suis certaine que tu apportes de la paix, au moins dans cet espace...je suis convaincue, Jigé, que tu es quelqu'un d'exeptionnel, et je ne peux qu'essayer de comprendre ce que "tu vois"...ou tenter de voir en méme temps ce que tu vois...je crois fortement en la magie des choses,aux signes que nous offrent le temps...si l'humanité tend á devenir meilleure, tant mieux pour les aieux que nous deviendront...
mes amitiés...
Chère KB,
Tout ce que je dis sur mon blog, c'est seulement pour qu'on comprenne un peu le sens de ce qu'on vit aujourd'hui et où ça mène de façon à ce qu'on ne soit pas tout à fait surpris quand ça se produira.
Mais que je le dise ou non, ça va arriver quand même (tout comme un adolescent deviendra adulte, qu'il le sache ou non, qu'il le veuille ou non).
Alors il est très peu important que tu croies ou que tu comprennes. L'important pour toi est de ne pas croire AVEUGLÉMENT.
(Et ne prends que ce qui peut t'être utile)
Amitiés,
JG
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