Ces immigrants qui nous enrichissent
Il est naturel de considérer l’immigrant comme un étranger : après tout il vient d’ailleurs, il n’est pas des nôtres. Vrai? Faux! Si nous examinons nos habitudes de vie, nous verrons que nous ne mangeons plus de la même façon. Ça s’est beaucoup amélioré. As-tu déjà mangé du mechoui ou des shiitaké? Si oui, tu sais que ces mets que nous apprécions ne sont pas originaires de chez-nous, mais ont été apportés par des gens venus d’ailleurs.
En fait nous sommes de moins en moins Canadiens, Français, Belges, etc. et de plus en plus « citoyens du monde ». Un Canadien épouse une Japonaise, une Française et un Camerounais, etc. Des gens de partout vont vivre partout. C’est comme si l’Évolution elle-même nous criait : vous ne voyez donc pas que vous êtes une seule espèce? »
Les animaux vivent en clans, c’est bien connu (la seule exception, c’est ceux qui vivent en solitaires; dans ce cas, ce que je dis du clan est vrai de l’individu). Une troupe de lions qui mange une proie, par exemple, partageront la même nourriture, mais qu’il survienne des lions d’une troupe « ÉTRANGÈRE » et c’est la guerre immédiate. Et comme notre corps est d’origine animale (plus précisément primate), nous réagissons tout naturellement d’une façon suspicieuse face à quelqu’un qui n’est pas de NOTRE groupe.
J’ai toujours remarqué que lorsque que l’un d’entre nous a l’occasion de parler à un de ces gens venus d’ailleurs, ce n’est pas à un étranger qu’il parle, mais à un être humain comme lui (la seule –et rare- exception est le raciste). Autrement dit l’autre quel qu’il soit nous rappelle TOUJOURS que nous sommes un être humain (qu’il en soit conscient ou non). À chaque fois que nous considérons un immigrant comme un des nôtres, nous nous éloignons de (la réaction naturelle chez) l’animal, et nous nous rapprochons de l’ÊTRE HUMAIN. Grâce à « celui qui vient d’une autre région de NOTRE (= à moi et à lui) habitat, la Terre » nous devenons donc un meilleur être humain. Et ça c’est une chose précieuse.
J’ai toujours remarqué que lorsque que l’un d’entre nous a l’occasion de parler à un de ces gens venus d’ailleurs, ce n’est pas à un étranger qu’il parle, mais à un être humain comme lui (la seule –et rare- exception est le raciste). Autrement dit l’autre quel qu’il soit nous rappelle TOUJOURS que nous sommes un être humain (qu’il en soit conscient ou non). À chaque fois que nous considérons un immigrant comme un des nôtres, nous nous éloignons de (la réaction naturelle chez) l’animal, et nous nous rapprochons de l’ÊTRE HUMAIN. Grâce à « celui qui vient d’une autre région de NOTRE (= à moi et à lui) habitat, la Terre » nous devenons donc un meilleur être humain. Et ça c’est une chose précieuse.
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