

Violence, haine et crime


Depuis très jeune cette question était si importante pour moi qu’il fallait à tout prix que je trouve la réponse. On aurait dit que ma vie en dépendait (ou plutôt mon bonheur, je l’ai compris plus tard). Comme si c’était LA question que je devais résoudre dans cette vie. (plus de détails dans L’HOMME QUI CHERCHAIT DES RÉPONSES)
CHERCHES ET TU TROUVERAS dit-on. Alors j’ai cherché, cherché obstinément jusqu’à ce que je trouve. «Pourquoi Dieu permet-il une telle chose?»: cette question, je me la suis certainement posée des centaines de fois, mais je n’ai jamais remis en cause l’existence du divin puisque je suis né avec la certitude de mon éternité (je dis MON éternité, mais c'est l’éternité –la divinité- de tout ce qui vit).
Aujourd’hui, j’ai trouvé la réponse –ou plutôt UNE des réponses (puisque tout mène là). Et je vois bien que dans ce monde, très peu ont résolu «la question»; en fait les rares personnes qui ont résolu cela sont qualifiées de «sages» et ils disent tous que c’est la plus merveilleuse expérience de leur vie, et que cela les a rendu pleinement heureux. Ils ont trouvé parce qu’ils ont cherché.
Pourtant ce n’est pas caché, c’est là, à la vue de tout le monde, les livres de sagesse le disent. Mais on ne sait pas voir. Il faut des yeux qui voient au-delà des APPARENCES (le plus souvent on ne voit QUE les apparences, c.a.d. un MASQUE sur la réalité); il faut «un regard différent».
S’il est exact que le mal existe dans ce monde (haine, violence et crime), on constate qu’il y a aussi de très belles choses (dévouement, courage, générosité) et si le premier doit (et va) disparaître, le second par contre est très désirable: et ça, on doit absolument le conserver.
En quoi consiste cette découverte? En fait ce n’est rien de nouveau. De tous temps de rares Hommes déterminés (qualifiés de sages) l’ont fait cette découverte, mais pour pouvoir la faire, ils ont dû se détacher de l’espèce (temporairement bien sûr). Mais maintenant c’est l’espèce toute entière qui va virer, simplement parce que le temps est venu. C’EST L’HEURE. L’urgence pour cela, je ne la dis pas. Mais nous allons voir, nous allons vivre des merveilles au-delà de nos plus beaux contes de fée.
Le secret, la spiritualité nous le dit depuis des milliers d’années (mais ce n’est pas un secret RATIONNEL, alors très peu l’ont compris): NOUS NE CONNAISSONS PAS ENCORE NOTRE VRAIE NATURE (L’ÂME). C’est pour faire cette découverte que nous revenons sur Terre vie près vie. Bien sûr que notre corps est sorti de celui du singe: il fallait bien qu’il sorte de quelque chose, sinon nous serions un «pur esprit». Mais l’Homme est BEAUCOUP plus qu’un corps, et beaucoup plus qu’un singe évolué.
Le secret total le voici: chacun de nous est POTENTIELLEMENT divin (parce qu’il est le divin qui s’est multiplié lui-même à l’infini. La religion catholique enseigne qu’il n’y a qu’un seul fils de Dieu: le Christ. Mais c’est faux! On nous a trompés. NOUS SOMMES TOUS FILS DE DIEU (potentiellement) puisqu’il n’y a que Lui et rien d’autre. Alors au lieu de se laisser vivre au p’tit bonheur la chance, cherchons notre être véritable (l’âme). Pour trouver, il faut chercher. Et si on cherche, on est sûr de trouver. C’est malheureux mais la plupart des Hommes préfèrent adorer un dieu que d’en devenir un. (Pour plus de détails, voir Jésus et le Christ)
L’âme n’est-il pas le divin manifesté en chacun de nous? Et puisque l’âme est faite de béatitude (comme le divin), devenir conscient de l’âme nous rend automatiquement et immédiatement pleinement heureux, et ce de façon ÉGALE (pas parfois plus heureux et parfois moins heureux: sans fluctuation). Cette jeune scientifique n’a que la science pour tâcher de comprendre. La science s’appuie sur le mental, et j’ai expliqué je ne sais combien de fois que le mental est INCAPABLE de voir les choses telles qu’elles sont: il ne peut les voir qu’à travers ses lunettes mentales déformantes (tout comme un chien ne voit pas LE monde, mais seulement un monde très canin).
Alors, si cette scientifique était là, je lui dirais que l’humanité est dans l’enfance. Et un enfant, dans son apprentissage de la vie, fait nécessairement de bonnes et de mauvaises choses. Mais ce n’est pas pour cela qu’on s’en débarrasse: on l’aime, on l’éduque, et un jour il sera un adulte remarquable. Haine, crime et violence ne seront plus que souvenirs alors.
