Ce texte est la 2e partie de L’EFFET PAPILLON que l’on doit absolument lire pour le comprendre.
Lorsque j’ai écrit l’effet papillon il y a quelques mois j’étais évidemment convaincu de cette vérité intéressante, mais ça restait plutôt théorique pour moi. Or il ya à peine quelques semaines j’ai pu le constater (sans pour autant comprendre ce que ça signifie, ni même si ça signifie quelque chose). Une personne du sud de la France avec qui je correspondais me dit inopinément un jour que le chiffre 19 est spécial pour elle, qu’un des ses fils est né un 19, etc. Je fus estomaqué car le 19 est également significatif pour moi et j’ai aussi un fils qui est né un 19. À part ce nombre 19, la seule chose que nous ayons en commun est une forme de pensée fort semblable (et aussi que nous nous trouvons mutuellement sympathiques1).
Je ne crois pas que ça veuille dire quelque chose. C’est juste une façon qu’a la Terre de nous dire : Hé! Vous n’êtes 6 milliards d’individus qu’en apparence seulement. En réalité, vous êtes UNE espèce. Une personne me disait récemment que le corps ne s’arrête pas au visible et elle ajoutait très poétiquement : « …une sorte d’arbre généalogique qui nous ramène à une racine unique » et c’est très exactement vrai (littéralement). En fait, dans l’économie de la terre, il n’y a pas que l’espèce humaine; il y a tous les animaux2 aussi. Et comme chacun sait, l’Homme3 est rattaché au Règne animal par son corps, qui est sorti de celui du grand singe4. Et la science est en mesure de remonter un à un tous les degrés de l’évolution, de l’Homme au singe, et de celui-ci jusqu’au protozoaire5. Il y a donc une « parenté » entre tous les êtres vivants et selon ma propre expérience (qui n’est valable que pour moi)6, il y a effectivement unité entre tous les êtres vivants puisque nous partageons tous une chose unique : la Vie7 (et c’est la même Vie qui anime le lombric et l’Homme puisqu’il n’y en a pas deux).
Il y a unité dans le monde, et TOUS les êtres vivants sont interdépendants (un peu comme le sang qui circule dans notre corps : c’est le même sang que l’on trouve dans le cerveau et dans les pieds et il baigne tous les organes, donc tous lui doivent la vie). C’est un peu comme si nous étions 6 milliards de gouttes d’eau (pour réduire le problème à l’humanité), chacune se croyant indépendante de toutes les autres. On sort du mental (pas le détruire ou régresser : aller au-delà) et immédiatement nous savons que nous faisons partie de l’océan, que nous en avons toujours fait partie : c’est seulement l’Homme qui ne le voyait/savait plus, l’océan, lui, a toujours eu à cœur le bien-être des gouttes qui le composent; et nous nous sentons si bien : c’est comme si nous étions revenu chez soi après une longue absence. Et c’est là toujours. Il peut nous arriver des drames dans la vie : ça n’a pas d’importance, cet AMOUR est toujours là avec nous. Et puisqu’on est devenu océan, on ne peut pas ne pas aimer toutes les gouttes : elles font partie de nous, n’est-ce pas.
NOTE. Le véritable « effet papillon » tel que je le décris n’a absolument rien à voir avec le film américain du même nom d’Eric Bress (2004) –sauf le titre. Il raconte l'histoire d'un mésadapté social qui a le pouvoir de retourner dans son enfance et d'y changer les événements de sorte que toutes les personnes de son entourage ont eu une vie complètement différente et se retrouvent aujourd'hui dans diverses situations, alors que lui-même reste inchangé malgré tous ces changements. Film curieux, au suspense évident et à l'atmosphère de paranoïa, mais qui est très mal nommé (à moins que son auteur l'ait volontairement nommé ainsi pour qu'il se vende plus facilement et génère plus de profit), mais qui trahit une complète ignorance de L'EFFET PAPILLON.
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1. En fait j’ai une forme de pensée plutôt universelle qui fait que je suis sympathique à beaucoup. 2. La science a classifié le Règne animal en Poissons, Insectes, Reptiles, Oiseaux et Mammifères. 3. Par l’utilisation de la majuscule, je distingue l’être humain en général (Homme) et le mâle humain –par opposition à la femelle- (homme); Homme et homme sont donc deux mots différents. 4. La science classe l’Homme parmi les primates. Certains scientifiques disent qu’il appartient au Règne animal, tandis que d’autres considèrent qu’il est si différent de l’animal qu’ils lui attribuent un Règne à part : Humain. Comme je suis de formation spiritualiste et non scientifique je suggère qu’il a un corps d’origine animal et une âme d’origine divine. 5. Certains scientifiques ne classent pas les organismes unicellulaires (protozoaire) parmi les animaux. 6. Selon Bergson la certitude n’engage que son détenteur. 7. De même que je distingue Homme et homme, j’utilise la majuscule pour distinguer la Vie globale dont la vie présente n’est qu’une infime partie.
Lorsque j’ai écrit l’effet papillon il y a quelques mois j’étais évidemment convaincu de cette vérité intéressante, mais ça restait plutôt théorique pour moi. Or il ya à peine quelques semaines j’ai pu le constater (sans pour autant comprendre ce que ça signifie, ni même si ça signifie quelque chose). Une personne du sud de la France avec qui je correspondais me dit inopinément un jour que le chiffre 19 est spécial pour elle, qu’un des ses fils est né un 19, etc. Je fus estomaqué car le 19 est également significatif pour moi et j’ai aussi un fils qui est né un 19. À part ce nombre 19, la seule chose que nous ayons en commun est une forme de pensée fort semblable (et aussi que nous nous trouvons mutuellement sympathiques1).
Je ne crois pas que ça veuille dire quelque chose. C’est juste une façon qu’a la Terre de nous dire : Hé! Vous n’êtes 6 milliards d’individus qu’en apparence seulement. En réalité, vous êtes UNE espèce. Une personne me disait récemment que le corps ne s’arrête pas au visible et elle ajoutait très poétiquement : « …une sorte d’arbre généalogique qui nous ramène à une racine unique » et c’est très exactement vrai (littéralement). En fait, dans l’économie de la terre, il n’y a pas que l’espèce humaine; il y a tous les animaux2 aussi. Et comme chacun sait, l’Homme3 est rattaché au Règne animal par son corps, qui est sorti de celui du grand singe4. Et la science est en mesure de remonter un à un tous les degrés de l’évolution, de l’Homme au singe, et de celui-ci jusqu’au protozoaire5. Il y a donc une « parenté » entre tous les êtres vivants et selon ma propre expérience (qui n’est valable que pour moi)6, il y a effectivement unité entre tous les êtres vivants puisque nous partageons tous une chose unique : la Vie7 (et c’est la même Vie qui anime le lombric et l’Homme puisqu’il n’y en a pas deux).
Il y a unité dans le monde, et TOUS les êtres vivants sont interdépendants (un peu comme le sang qui circule dans notre corps : c’est le même sang que l’on trouve dans le cerveau et dans les pieds et il baigne tous les organes, donc tous lui doivent la vie). C’est un peu comme si nous étions 6 milliards de gouttes d’eau (pour réduire le problème à l’humanité), chacune se croyant indépendante de toutes les autres. On sort du mental (pas le détruire ou régresser : aller au-delà) et immédiatement nous savons que nous faisons partie de l’océan, que nous en avons toujours fait partie : c’est seulement l’Homme qui ne le voyait/savait plus, l’océan, lui, a toujours eu à cœur le bien-être des gouttes qui le composent; et nous nous sentons si bien : c’est comme si nous étions revenu chez soi après une longue absence. Et c’est là toujours. Il peut nous arriver des drames dans la vie : ça n’a pas d’importance, cet AMOUR est toujours là avec nous. Et puisqu’on est devenu océan, on ne peut pas ne pas aimer toutes les gouttes : elles font partie de nous, n’est-ce pas.
NOTE. Le véritable « effet papillon » tel que je le décris n’a absolument rien à voir avec le film américain du même nom d’Eric Bress (2004) –sauf le titre. Il raconte l'histoire d'un mésadapté social qui a le pouvoir de retourner dans son enfance et d'y changer les événements de sorte que toutes les personnes de son entourage ont eu une vie complètement différente et se retrouvent aujourd'hui dans diverses situations, alors que lui-même reste inchangé malgré tous ces changements. Film curieux, au suspense évident et à l'atmosphère de paranoïa, mais qui est très mal nommé (à moins que son auteur l'ait volontairement nommé ainsi pour qu'il se vende plus facilement et génère plus de profit), mais qui trahit une complète ignorance de L'EFFET PAPILLON.
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1. En fait j’ai une forme de pensée plutôt universelle qui fait que je suis sympathique à beaucoup. 2. La science a classifié le Règne animal en Poissons, Insectes, Reptiles, Oiseaux et Mammifères. 3. Par l’utilisation de la majuscule, je distingue l’être humain en général (Homme) et le mâle humain –par opposition à la femelle- (homme); Homme et homme sont donc deux mots différents. 4. La science classe l’Homme parmi les primates. Certains scientifiques disent qu’il appartient au Règne animal, tandis que d’autres considèrent qu’il est si différent de l’animal qu’ils lui attribuent un Règne à part : Humain. Comme je suis de formation spiritualiste et non scientifique je suggère qu’il a un corps d’origine animal et une âme d’origine divine. 5. Certains scientifiques ne classent pas les organismes unicellulaires (protozoaire) parmi les animaux. 6. Selon Bergson la certitude n’engage que son détenteur. 7. De même que je distingue Homme et homme, j’utilise la majuscule pour distinguer la Vie globale dont la vie présente n’est qu’une infime partie.
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